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Il s’agit de cette harmonie dont parlait ce que j’
oserai
appeler le premier slogan européen, cette pensée d’Héraclite qui veut
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né de la rencontre absolument irrationnelle, et j’
oserais
dire antiprovidentielle, du Chaos et d’un fils du Chaos. C’est donc d
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nze mois plus tard exactement. Le 20 mars 1939, j’
osais
déclarer, dans une chronique du Figaro sur l’occupation de Prague, qu
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s la meilleure défense étant l’attaque, dit-on, j’
oserai
donc avancer que je fonde quelque espoir dans l’extrême vulnérabilité
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suggère jalousie inconsciente, fascination qui n’
ose
pas s’avouer. Nous étions au contraire en pleine prise de conscience
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ate ! Et le voilà. Je lui dis : « Léon-Paul, je n’
ose
plus vous serrer la main ! J’ai peur d’être Don Juan au dernier acte…
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l est sauté. Cas unique, dans l’Europe moderne. J’
ose
y voir le plus grand privilège des Suisses : quelle que soit leur pet
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ministration, et de présidences de comités : je n’
ose
pas vous dire combien depuis trente ans, plusieurs centaines, je le c
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là-dessus, m’en fait même peut-être un devoir. J’
oserai
donc aborder sans aucune précaution la question que beaucoup se posen
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ie. M’ont-elles « perdu pour la littérature » ? J’
ose
dire que non. De mon action européenne, j’ai tiré huit volumes, c’est
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. Ils ne viennent que de là, que de nous ! Nous n’
osons
pas avouer nos vrais désirs. Nous les déguisons en « impératifs techn