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doit être avant tout et après tout, un espace de
participation
civique, favorisant la formation et le développement d’une communauté
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as que des obstacles de principe s’opposent à une
participation
suisse, pour autant que celle-ci s’avérerait profitable tant à la CEE
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s conditions posées par l’identité suisse à toute
participation
active à une Europe unie. Ou encore : au lieu de justifier nos refus
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ablement à innover. Les principales conditions de
participation
active de la Suisse à une union européenne sont faciles à formuler. C
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e qui me paraît la plus englobante : un espace de
participation
civique. Cela entraîne pas mal de choses, cela veut dire d’abord que
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rd que c’est petit, car autrement il n’y a pas de
participation
possible, qu’elle soit civique, économique ou politique. Il ne faut d
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e plus aucun moyen de les articuler. VI. De la
participation
Il demande, c’est une forme de phrase : « Est-ce que la participat
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ande, c’est une forme de phrase : « Est-ce que la
participation
correspond à un besoin réel des citoyens ? » Non ! Elle correspond à
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e évidence qui saute aux yeux : s’il n’y a pas de
participation
des citoyens, il n’y a pas de société, en tout cas pas démocratique.
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s ou négatives. Mais que je parle de région et de
participation
civique, il est bien entendu qu’il ne s’agit de rien de comparable au
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de se rendre autonomes, de recréer des cadres de
participation
civique, de se faire « Suisses » : formule de paix. y. Rougemont
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se donc les régions définies comme des espaces de
participation
civique, c’est-à-dire des communautés plus proches de la paroisse que
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de se faire « Suisses », de recréer des cadres de
participation
civique. L’autonomie énergétique d’un foyer, c’est la définition de l
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ntité économique, mais c’est d’abord un espace de
participation
civique. Je veux dire une communauté assez petite pour que la voix de