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it tout le plateau suisse et tuerait tout sur son
passage
, non seulement dans les quelques heures qui suivraient, mais rendrait
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mes, les vivres ; mais elles n’interdisent pas le
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de ce qu’il faudrait arrêter : les épidémies, les maladies, les pollu
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ccidentaux de travail et de loisir, finalement le
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du fric au troc. Votre personnage historique préféré ? Je dirais Guil
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nque, et à peine un état civil. Il est le lieu de
passage
des forces de l’Histoire, le catalyseur de ces forces qui déjà sont d
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crée les deux. Une seule chose serait détruite au
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: l’État-nation. Je voudrais vous rappeler l’importance du mot commun
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t de ses vœux. Laissez-moi vous citer de lui deux
passages
trop peu connus, le premier tiré de Par-delà le bien et le mal, le se
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nifeste que l’Europe veut devenir une. Le second
passage
prolonge ces phrases, je cite : Ce qui m’importe, c’est l’Europe une
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que du critique et prend la parole en son nom. Ce
passage
est pour moi bien émouvant. Je cite : « L’acte ultime de la critique
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, « Vocation culturelle de la Suisse en Europe »,
Passages
, Zurich, septembre 1985, p. 3-4. aq. Présenté par cette note en fin
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s erreurs d’interprétation sont patentes. 21. Le
passage
de Par-delà le bien et le mal dont il est question est intégralement