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i a été son élément formateur, c’est une sorte de
philosophie
politique qui est le fédéralisme. La décision de se mettre ensemble d
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ejoindre l’universel. Je crois que cela, c’est la
philosophie
qui doit être à la base de tout ce que nous imaginons de la région. C
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i voulait dire : institutions de l’Empire romain,
philosophie
grecque de la cité, Écritures judéo-chrétiennes. Mais il faut y ajout
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à cet ami : « Pour moi, le fédéralisme, c’est la
philosophie
personnaliste plus les ordinateurs. » Il m’a répondu : « Ah, celle-là
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teur est en train d’amorcer une renaissance de la
philosophie
». Là-dessus, deux remarques suffiront je l’espère. Quand Papert prét
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ins — via les deux Amériques — et l’influence des
philosophies
extrême-orientales (yoga hindou et bouddhisme zen.) Enfin, nous avons
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cines — c’est-à-dire du passé — dans une certaine
philosophie
fortement politisée de la fin du xixe et du début du xxe siècle : r
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spiritualité, à travers les valeurs éthiques, les
philosophies
, les arts et les sciences, jusqu’à la technique et aux problèmes écon
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des, un philosophe danois, grand interprète de la
philosophie
allemande, qui avait beaucoup entendu parler de Kierkegaard, professe