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visent le pouvoir, elles empêchent la création de
puissances
, de superpuissances. Les régions désarment la guerre. Comment défin
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ase que j’ai écrite et que j’aime beaucoup : « la
puissance
, c’est le pouvoir que l’on prend sur autrui ; la liberté, c’est le po
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comparer les « mégatonnages » (nombre d’armes et
puissance
explosive totale des arsenaux nucléaires américain et soviétique) est
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tion », d’un « trône », d’un « génie » ou d’une «
puissance
», comme saint Paul désigne les esprits de second rang qui peuvent dé
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dividu ne compte plus, n’est que le support d’une
puissance
qui échappe à nos psychologies… On me demande sottement s’il est inte
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itler sut enflammer dans notre siècle existait en
puissance
dans l’âme humaine depuis la formation de la première société. Hitler
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crit avec une surprenante précision le réveil des
puissances
souterraines qu’il se propose d’opérer : Tous les grands mouvements
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et qui m’écrase et me repousse avec bien plus de
puissance
, même physique, que tous ces corps horriblement tendus. Je suis seul
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animée par les trois antivertus théologales de la
Puissance
, de la Race et de la Haine. L’idolâtrie du sang et du sol n’est autr
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n échange, comme bénédiction, un accroissement de
puissance
. Ce message que, de sa prison, à la veille de la guerre, m’avait fai
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tat national, et d’autre espoir que le rêve d’une
Puissance
recouvrée aux dépens de la Liberté, la sienne propre non moins que ce
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e non moins que celle des autres. Mais le rêve de
Puissance
totale n’est qu’un cauchemar. Une nation ne peut le rêver, le mimer e
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artie sur un tout humain. Il n’y a en fait que la
puissance
d’un parti sur sa propre nation, systématiquement amputée de tout ce
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bas, de l’humus. J’ai toujours insisté sur cette
puissance
de la germination, qui peut fissurer des rochers, qui est irrésistibl
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st elle seule, qui s’est dressée contre la grande
puissance
totalitaire de l’Est et qui l’a comme frappée de stupeur interdite, p
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deux réponses possibles : — ou bien le but est la
puissance
de l’État et des pouvoirs économiques et militaires ; c’est donc la G
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nt ou parfois se composent en chacun de nous : la
puissance
et la liberté. La puissance sur autrui et la liberté personnelle. La
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n chacun de nous : la puissance et la liberté. La
puissance
sur autrui et la liberté personnelle. La puissance collective de la t
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uissance sur autrui et la liberté personnelle. La
puissance
collective de la tribu, du clan, de la cité, du roi, puis de l’État m
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propre destin. Or, parmi ceux qui optent pour la
puissance
, une minorité très restreinte est motivée par la volonté d’exercer le
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’allons pas croire pourtant qu’entre le besoin de
puissance
à tout prix et le besoin de liberté à tous risques, l’humanité se div
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’existe pas non plus de liberté réelle sans nulle
puissance
, ni de puissance qui ait quelque saveur sans au moins l’illusion qu’o
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lus de liberté réelle sans nulle puissance, ni de
puissance
qui ait quelque saveur sans au moins l’illusion qu’on l’exerce « libr
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cte ses ordres, masque effrayant d’une volonté de
puissance
qui se dissimule de la sorte pour nous faire croire qu’elle nous est
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de valence civique, comme un atome dépourvu de sa
puissance
de combinaison. Le pire c’était l’individualisme tel qu’on le définis
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’Europe. L’idée générale n’étant pas de créer une
puissance
nouvelle — un « troisième Grand » dans le cas de l’Europe — mais seul
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a liberté. En vérité, beaucoup veulent d’abord la
puissance
; ceux qui ne la veulent pas personnellement, la veulent comme garant
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rouve que c’est le désir de la liberté, non de la
puissance
. Qu’appelez-vous liberté ? Se réaliser soi-même, pouvoir obéir à sa v
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x finalités s’offrent à l’homme d’aujourd’hui, la
puissance
et la liberté. Comment voulez-vous empêcher ceux qui veulent la puiss
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Comment voulez-vous empêcher ceux qui veulent la
puissance
d’asservir ceux qui veulent la liberté ? Il y a là un problème de dim