1 ’État-nation. Cela me rappelle une phrase souvent répétée par Michel Debré, qu’il a encore utilisée dernièrement dans Le Monde,

2 bles — l’un n’allant pas sans l’autre comme je le répète depuis un peu plus d’un demi-siècle. 4. Il existe une demi-douzaine d

3 nations et les États totalitaires. Je ne cesse de répéter que la seule force des États totalitaires, c’est la somme de nos faib

4 sse, l’autre sur le continent européen. Or, je le répète , la Suisse n’est pas réductible à son économie, et prendre l’une pour

5 ose à se mettre sous la dent. Ils continuaient de répéter  : « Unissons-nous, unissons-nous ! » Mais ce n’était pas le moyen de

6 C’est un mot savant dont on pourrait se passer en répétant simplement la règle de formation du fédéralisme, telle que l’a exprim

7 je crois être purement provocante de sa part, il répète cette phrase : « Vivre, c’est prendre des risques ! » Il s’agit de sa

8 omistes au service des gouvernements occidentaux, répétant que l’informatique ne manquera pas de créer « au moins autant d’emplo

9 érés parfois et finalement déçus. Mais quand nous répétions « Ni gauche ni droite » cela ne signifiait pas centrisme ou neutralis

10 aire, autogérée, régionaliste, fédéraliste… Je le répète  : c’était là le seul programme constructif des années 1930. Et il l’e

11 ougemont ne se fait pas faute de le dire et de le répéter . Mais quand ils réussissent à se dégager de leur canton — alors pas d

12 aurait pu penser, pour l’avoir tellement entendu répéter , que Dieu l’était. Le retour de Dieu, précisément, se confirme dans l

13 lan. Je n’arriverais pas à moi. Mon chemin, je le répète , c’est mon moyen. Là j’ai retrouvé des choses qui sont dans Nietzsche

14 bitez chez moi, qu’est-ce qu’on va dire ? » Et il répète à travers ses dents serrées : « qu’est-ce qu’on va dire ? » Je me gar