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fait par la conquête, le non-respect des contrats
sacrés
(cas de la Bretagne) ou par des jeux de traités plus ou moins discuta
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r éprouvé en sa présence par un frisson d’horreur
sacrée
, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône », d’un « gé
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ts-nations. IV. De la nécessité des fondements
sacrés
Il a raison : ni le personnalisme, ni les régions, ni même le fédé
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que le personnalisme aboutirait à l’exclusion du
sacré
. Je ne vois pour ma part absolument aucun texte personnaliste qui pui
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t vrai que « le bureau de Paulhan » était un lieu
sacré
de ma mythologie, « lieu propice aux surprises, piège à l’insolite in
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ins des autels et leur feu perpétuel, symboles du
sacré
, « foyer » par excellence de la communauté, et à côté le bouleutérion
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en 1968. Ce jour-là, j’ai vécu jusqu’à l’horreur
sacrée
la réalité de l’anti-agora, de la dimension monstrueuse, massifiante,
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p d’idées. Je pense en particulier à la notion de
sacré
qui revient à plusieurs reprises dans vos écrits. Caillois m’a beauco