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ltures nationales. Comment introduire un dialogue
si
on nie l’existence de ses interlocuteurs ? C’est la première question
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fédération, sur la base même de ses différences.
Si
elle n’arrive pas à se fédérer, c’est-à-dire à dépasser le tabou des
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rope comme culture, d’une culture symphonique, ou
si
vous voulez, d’un orchestre. Il y a le langage commun, la musique, l’
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n’est pas la bonne base. Jean Monnet a pensé que,
si
l’on maîtrisait les relations économiques en Europe, la politique et
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par la foi, dans la nuit, sans savoir à l’avance
si
son pied trouvera une terre ferme. La personne est l’expression perma
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du, tout cela sert à faire des bombes et tant pis
si
c’est dangereux, on mettra la police pour surveiller… Ce sont ces mul
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pépin, ce soient plutôt les autres qui trinquent.
Si
la France et l’Italie installaient à nos frontières de grands établis
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le-même manipulée… Il y a beaucoup plus sérieux :
si
l’on se dispute à coup d’arguments idéologiques, on dissimule ainsi d
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p de bataille — par exemple à l’Europe, comme l’a
si
aimablement dit le président Reagan. Eh bien, c’est de la folie ! Le
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je le dis avec toute ma conviction. Je pense que
si
les Soviétiques étaient jamais tentés d’occuper l’Europe, ils n’aurai
11
, une défense répandue sur tout le territoire. Et
si
cette défense, proche de la guérilla, ne suffisait pas, il faudrait a
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er le russe dans les écoles. De telle manière que
si
les « Ivan » pénètrent dans notre pays, et s’y installent en garnison
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causer avec eux, leur demander ce qu’ils font là,
si
loin de chez eux, les démoraliser par l’amitié… Bien d’autres procédé
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guerre. La guerre nucléaire, c’est bien plus fou,
si
l’on y pense, que de dire désarmons-nous et offrons nos poitrines nue
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là un moyen de dissuasion formidable. Cependant,
si
un conflit devait éclater dans deux mois, ou dans deux ans, je me dem
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r dans deux mois, ou dans deux ans, je me demande
si
nous aurions le temps de préparer techniquement cette défense non vio
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comme disait Aristote, que son nombre ne soit pas
si
grand que l’on ne puisse plus la réunir sur l’agora où chacun doit po
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r quotidiennement huit fois la frontière, et plus
si
l’on oublie quelque chose chez soi ! Ici, autour de Genève, la fronti
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l’école personnaliste et à diverses associations…
Si
un fou venait me dire : tout cela ne peut pas continuer, il faut donn
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atre pays qui divisent des familles entières qui,
si
elles ne parlent plus la langue originelle, ont du mal à communiquer
21
e qui a dû se produire sous les jacobins et faire
si
facilement de la France un État-nation de citoyens-soldats. Nous pouv
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sière des individus que l’État fera son ciment ».
Si
chacun devient une personne, impossible d’en faire du ciment ! Alors,
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dispose des moyens de répondre à cette question.
Si
le Christ revenait sur terre et plus précisément en Suisse, pensez-vo
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aires. Nous disons que cela ne peut que mal finir
si
l’on ne se décide pas à tout changer tout de suite : je veux dire à d
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philosophe Sidney Hook lui répondit aussitôt : «
Si
nous vous suivions, nous finirions par être à la fois rouges et morts
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ment relève d’un âge mental de joueurs de billes.
Si
j’ai trois billes (ou missiles) et toi six, j’ai raison d’être inquie
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les) et toi six, j’ai raison d’être inquiet. Mais
si
j’en ai 30 000 et toi 60 000, nous sommes « à égalité » à toutes fins
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, mais d’attitudes et de positions fondamentales.
Si
l’on n’est pas rigoureux dans l’énoncé du thème, on court des risques
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rois vérités : 1. La Suisse ne peut pas subsister
si
l’Europe ne s’unit pas. 2. L’Europe ne peut s’unir que selon la formu
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ire d’innover dans ce domaine aussi, comme il est
si
bien vu de le faire dans le domaine des sciences physiques, dans celu
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pays de l’Est actuellement satellisés par Moscou.
Si
cet élargissement-là (à des domaines autres qu’économiques) — souvent
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x hypothèses, tout change. Au lieu de se demander
si
le fait d’adhérer, de « join Europe » comme disent les Anglais, d’ent
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Innsbruck, Galway, Bordeaux. Les progrès ont été
si
rapides qu’à Bordeaux, en 1978, on a discuté sérieusement la possibil
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peuple ! Je ne suis qu’un petit homme du commun !
Si
je perds mon prestige, je perds tout ! Vous, monsieur Burckhardt, vou
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elligent. Ne voit-on pas qu’un homme intelligent,
si
cela compte en lui le moins du monde, il ne vaut rien pour un destin
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Guide de l’inconscient Tout s’est passé comme
si
Hitler, ayant posé le diagnostic exact de notre société occidentale,
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dans les masses les trouvera prêtes à s’enflammer
si
« la cruelle déesse de la Misère » les a d’abord conditionnées. Sous
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avec son cloître et sa chapelle, que nous sommes
si
heureux d’avoir découvert. Cher Monsieur Veillon, puis-je vous prier
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eorges Lukacs… — rendez-vous vraiment historique,
si
tôt après la guerre. Tout le monde s’est accordé sur l’idée que le su
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ou moins fous et condamnés à terme. Le seul moyen
si
l’on veut éviter cette guerre, qui serait comme on l’a dit hier le gr
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ndes. Il y a certes des raisons à cette tactique,
si
c’est le seul moyen de forcer l’attention générale. Je suis résolumen
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testantisme, réalité mondiale et sans frontière. (
Si
j’étais catholique, ou communiste, ce serait pareil.) De plus, je fai
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Je ne me perds pas du tout dans cette diversité.
Si
on la décrivait d’une manière théorique, ce serait horriblement compl
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arce qu’elles ne m’intéressent plus ! Mais alors,
si
maintenant un jacobin, un Robespierre ou un Saint-Just venait me dire
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olitique dans une région à géométrie variable ? »
Si
l’on dit que le pouvoir est d’abord aux communes, on peut très bien i
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de, c’est-à-dire de la création du désert qui est
si
grave au Brésil, en Afrique et au Canada. Le problème de la destructi
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r vous, car cela vous condamne à l’immobilité ! »
Si
un homme veut marcher, il ne peut pas avoir plus d’un pied à la fois
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oliquement élargi du terme. On m’a demandé hier,
si
je voyais des conclusions pratiques se dégager de ce colloque. Je vou
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ement sur le fait qu’il concorde à 95 % avec moi.
Si
vous ne gardez pas cela à l’esprit, vous aurez l’impression que c’est
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a, seulement on ne réformerait rien dans le monde
si
l’on disait que l’on ne peut entreprendre une réforme que si l’on est
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ait que l’on ne peut entreprendre une réforme que
si
l’on est sûr qu’elle est réalisable partout ! C’est la première démar
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par la guerre totale, ceci est tout à fait clair.
Si
quelque chose s’oppose à ce mythe, c’est la volonté de recréer des co
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est le but général de tout cela ? C’est la paix.
Si
vous voulez absolument un mythe, c’est le seul que je puisse proposer
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n’ai pas pensé une seconde au modèle yougoslave —
si
même il y en a un ! — en écrivant mon livre. Je me suis inspiré du mo
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é, moins on a de chances de tenir de lui ! » Mais
si
les noms sont vérifiés, les chiffres que je viens de citer sont, de t
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té arithmétique est donnée par les intermariages,
si
fréquents dans notre pays. Si l’on s’en tient à nos ancêtres du xviii
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les intermariages, si fréquents dans notre pays.
Si
l’on s’en tient à nos ancêtres du xviiie au xve siècle, on y trouve
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, les Allemagnes et la Scandinavie. C’est à peine
si
l’on trouve, en remontant très haut, deux ou trois Piémontais et un T
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e de la haine. Comment un Suisse le croirait-il ?
Si
je me sens presque partout chez moi dans l’Europe franco-germanique,
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du et que nous ne pourrions retrouver un jour que
si
l’Autre était battu… Une idée nous orientait tous : si jamais nous po
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Autre était battu… Une idée nous orientait tous :
si
jamais nous pouvions retourner en Europe, le premier devoir serait de
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ermes étant indissociables. La liberté était vide
si
elle ne comportait pas de responsabilités civiques concrètes, et la r
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iques concrètes, et la responsabilité était nulle
si
les actes n’étaient pas librement accomplis. Par l’exercice même de s
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Mais d’autres vont venir, et ce ne sera pas long.
Si
toutefois, on leur laisse le temps de se manifester. Qui ça : On ? Le
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ques amoncelées à tous les points stratégiques ».
Si
elles étaient toutes allumées simultanément, dit-il, « leurs effets s
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es simultanément, dit-il, « leurs effets seraient
si
dévastateurs qu’ils rendraient impossibles toutes représailles ». Mai
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tester la tendance totalitaire d’un gouvernement,
si
« démocratique » qu’il se prétende par ailleurs. C’est là que réside
68
n nomme des Comités pour la retenir ! C’est comme
si
tout d’un coup on se jetait sur une chaise pour l’empêcher d’aller ca
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our l’empêcher d’aller casser les vases de Chine.
Si
on laisse la Bombe tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. Elle s
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mme de l’esclavage des machines n’est rien encore
si
on ne lui offre en échange de la monotone manutention mécanique, que
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nalyse lui sont applicables. Quand on lui demande
si
la machine peut éprouver des émotions, il répond qu’il travaille au M
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t je voudrais enfin opposer à Papert cette phrase
si
belle d’un des plus grands experts actuels de l’informatique, Joseph
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s-tu ? Je l’ignore et j’y vais. » Répondons-lui :
si
l’on ne sait où l’on va, mieux vaut n’y pas aller… dans certains cas…
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r un bilan ou pour célébrer les bons vieux temps.
Si
nous nous intéressons au patrimoine, c’est dans le souci d’un héritag
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le souci d’un héritage à transmettre vivant ; et
si
nous nous intéressons à l’histoire, plus que toutes les générations p
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rès et son titre célèbre : La Terre et les Morts,
si
dangereusement évocateur du Blut und Boden des nazis… Mais l’homme n’
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sumée dans la communauté. Comment se sentir libre
si
l’on n’est responsable de rien ? Et comment serait-on responsable si
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nsable de rien ? Et comment serait-on responsable
si
l’on n’est pas libre de ses actes ? N’allons pas croire pourtant qu’e
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es par leurs dimensions, incroyablement chères et
si
dangereuses que nos pays, tout en jurant qu’elles sont inoffensives,
80
nt de l’Est et de l’Ouest en Europe, affrontement
si
mal compris aujourd’hui. À l’Est, trois dictatures d’un type nouveau,
81
, car nous sentions déjà — comme Koestler le dira
si
bien quelques années plus tard — qu’elle ne serait que la guerre entr
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On vient de nous dire comment il avait été perçu.
Si
les notes que j’ai prises pendant qu’il parlait sont exactes, John He
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er d’un antifascisme systématique, qui épouserait
si
étroitement, pour mieux le contrer, les comportements et les position
84
ui montre au moins que nous nous sommes compris :
si
opposés que soient les mots d’ordre du PC et les positions personnali
85
int de mesurer, ce jour-là, pour la première fois
si
durement, le degré d’abaissement moral auquel la discipline partisane
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banal, mais bientôt davantage surpris de les voir
si
curieux des avis de ce jeune homme qui venait de publier dans la revu
87
r que diriger la NRF était sans doute une tâche
si
complexe, et à tant d’égards périlleuse, que ces petites bouffées de
88
vous êtes déçu. Et moi, je serais plus tranquille
si
vous étiez à Strasbourg, à la place de ces 87 parlementaires. affectu
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z pas à Cully. Je n’y suis plus et pour cause, et
si
de la correspondance m’y parvient, elle sera probablement exterminée.
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s que j’aurai une adresse. Et vous me direz alors
si
vous consentez à donner quelques pages à cette jeune revue de mes ami
91
lique par quelques exemples. Jean Starobinski, ou
si
vous le permettez, « Staro », comme on l’appelle dans toute l’Europe,
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cette « amitié que chacun se doit », comme le dit
si
joliment Montaigne, alors que je n’ai jamais cessé de m’engager pour
93
e simple fait que nous ayons, à partir d’origines
si
différentes, choisi Genève pour y vivre et travailler, plutôt que Par
94
ang de Pierre-Jean Jouve ; mais aussi, les textes
si
purs qui présentent, dans un des grands albums de Skira, ces images d
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», thème qui revient vingt fois dans les Essais.)
Si
vous êtes curieux de notre lauréat, lisez son livre sur Montaigne : c
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bilités, d’abord en paroles, puis, s’il convainc,
si
un groupe le choisit pour le représenter, par l’action publique. Plat
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du continent. Les règles impératives à respecter
si
l’on veut que l’agora fonctionne ont été formulées par Aristote, nota
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notre Antiquité », écrit Ramuz. À quoi s’ajoute —
si
même il n’en résulte pas — le fait paradoxal aux yeux des modernes, q
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est devenue le pays le plus cultivé du continent,
si
l’on en juge aux indices de lecture, à l’intensité de la vie musicale
100
ion d’habitants12. Quelle est alors cette culture
si
vivante, si créatrice, qui pourtant n’est pas nationale ? Une seule r
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nts12. Quelle est alors cette culture si vivante,
si
créatrice, qui pourtant n’est pas nationale ? Une seule réponse demeu
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me tout un chacun, ma révolte entre 19 et 23 ans.
Si
on m’avait demandé alors ce que je croyais, j’aurais dit que je croya
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ne lecture enthousiasmante. Je suis convaincu que
si
Nietzsche avait pu lire Kierkegaard, tout aurait changé dans la pensé
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ïevski, l’autre Kierkegaard. Que serait-il arrivé
si
Nietzsche n’était pas devenu fou juste un mois après avoir reçu cette
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e attachée à mon pied : elle n’éclaire rien, sauf
si
j’avance. J’avance par la foi, et voilà le rôle de la foi : j’ai quel
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omber dans le vide. Je dois inventer mon sentier.
Si
je prenais les routes nationales, j’arriverais au mieux à la capitale
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istes des années 1930 (Paris : Seuil, 1969). 19.
Si
Marx est mort — titre de Jean-Marie Benoist (Paris : Gallimard, 1970)
108
rt l’Europe, et la nécessité vitale de son union,
si
les Alliés gagnaient, la délivraient d’Hitler. Et dès mon retour défi
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re : nul n’est tenu pour responsable de ses actes
si
ceux-ci n’ont pas été accomplis librement (les juristes connaissent b
110
e, personne n’est vraiment libre de ses décisions
si
celles-ci ne peuvent entraîner aucun effort concret. Poursuivant ce r
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ésirs inavoués, les plus actifs. Je serai content
si
j’ai pu contribuer par mes écrits et mon action à une prise de consci
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bilités, d’abord en paroles, puis, s’il convainc,
si
un groupe le choisit pour le représenter, par l’action publique. Plat
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du continent. Les règles impératives à respecter,
si
l’on veut que l’agora fonctionne, ont été formulées par Aristote, not
114
x et le parquet, qui ne contient rien d’original,
si
ce n’est le droit de « contrôle de l’activité judiciaire de tous les
115
sonne ne vous entendra. On ne peut être libre que
si
l’on est responsable et l’inverse est vrai. Devant un tribunal, si vo
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nsable et l’inverse est vrai. Devant un tribunal,
si
votre avocat peut prouver que vous n’étiez pas libre quand vous avez
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rançais et il semble bien qu’ils l’aient adoptée.
Si
mon livre a apporté quelque chose de nouveau au débat des idées polit
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nt nos valises et dit : « tout cela s’est arrangé
si
soudainement. Cela me ferait presque croire à la providence. Mais dit