1 culture commune des Européens, jusqu’aux premiers siècles de notre ère, tout le monde les connaît. C’est ce que Valéry a résumé

2 ement de la Vienne des trente premières années du siècle . Je pense que Vienne était, plus peut-être que Paris, le centre de la

3 l’État-nation a conquis le monde en moins de deux siècles … » Les deux autres schémas sont celui de la Confédération helvétique

4 l à l’épée, arrêt au premier sang. — xviiie -xxe siècles  : pistolet — un coup chacun. — Fin du xxe siècle : chacun lance une

5 faibles aujourd’hui, tendent vers zéro, comme le siècle tend vers sa fin. Tandis qu’avec les mêmes humains, pas meilleurs cer

6 de l’État-nation en 1792, il y aura bientôt deux siècles . Évaluons rapidement ces divers types par rapport à leur compatibilit

7 E. Gagliardi) : elle est demeurée jusqu’en notre siècle le seul témoin du mouvement des communes médiévales. Seule fédérée, q

8 Hitler, l’anti-prophète de notre siècle (10 février 1983)x Le maréchal von Hindenburg vient d’être réélu p

9 n peu croyable se sont noués les destins de notre siècle . La défaite de 1918 avait précipité l’Allemagne dans un chaos sans pr

10 ystère. Les effets fracassants déclenchés dans le siècle par son apparition sont bien connus : on n’y retrouve pas, à l’analys

11 r le mouvement qu’Hitler sut enflammer dans notre siècle existait en puissance dans l’âme humaine depuis la formation de la pr

12 ascistes, a su répondre à la question centrale du siècle , qui est religieuse au sens élémentaire de ce terme, sens vital et mo

13 mont Denis de, « Hitler, l’anti-prophète de notre siècle  », L’Hebdo, Lausanne, 10 février 1983, p. 44-48.

14 , c’est le Portugal, de loin le plus ancien : six siècles sans modifications. Mais c’est le seul, les autres ont varié dans des

15 ice Barrès et par la droite française au début du siècle , dans une abondante littérature, elle n’oubliait qu’une chose : c’est

16 je voudrais que me soient parvenues, du fond des siècles , des « histoires de famille » sur celui qui, pour moi, est le plus pr

17 r de mon père) évoquent le Saint-Aubin du dernier siècle , celui de mon arrière-grand-père Denis, de sa première femme normande

18 cifiques, tels que L’Europe en jeu , Vingt-huit siècles d’Europe , Lettre ouverte aux Européens ou Rapport au peuple europ

19 (1939), La Part du diable (1942), Vingt-huit siècles d’Europe (1961), Journal d’une époque (1968), et L’Avenir est not

20 t cela peut être la Paix. Ce dilemme domine notre siècle , commande l’avenir de notre humanité et sans doute de toute vie sur l

21 port slave. Sans oublier de mentionner dans notre siècle , l’influence des arts et des rythmes africains — via les deux Amériqu

22 . Chez tous les esprits étendus et profonds de ce siècle , l’œuvre commune de l’âme a consisté à préparer, à supputer et à anti

23 s les plus dramatiques et urgents de cette fin de siècle , par exemple le thème caractérisé par ces trois mots : Travail, chôm

24 es nucléaires accumulés pendant le petit quart de siècle qui nous sépare de l’an 2000. À l’inverse, le choix de l’énergie sola

25 cinquante ans en avance sur l’évolution de notre siècle et les vrais contemporains de ce que ce siècle découvre aujourd’hui.

26 re siècle et les vrais contemporains de ce que ce siècle découvre aujourd’hui. Ce que j’affirme ici, c’est que nous n’avons pa

27 eul dépositaire de la plus belle contrepèterie du siècle  ? Je ne l’ai jamais entendu citer par d’autres. Je vais pour sortir d

28 l’avenir. Je cite encore : « Le malaise de notre siècle est dû pour une large part au poids excessif des impératifs d’avenir,

29 réation qui s’allument ici ou là, deviennent d’un siècle à l’autre plus rayonnants, brillent soudain d’un vif éclat, puis se m

30 u’elle va dominer sans conteste jusqu’à la fin du siècle , et qu’elle a contribué plus que toute autre circonstance à faire ent

31 sommet de la vie littéraire et intellectuelle du siècle était le groupe de la Nouvelle Revue française , je ne pouvais rêver

32 question est intégralement cité dans Vingt-huit siècles d’Europe (Paris : Payot, 1961), p. 302-303. À propos des grands espri

33 1961), p. 302-303. À propos des grands esprits du siècle Nietzsche dit : « S’ils appartinrent à une patrie, ce ne fut jamais q

34 enri Heine, Schopenhauer ». Cité dans Vingt-huit siècles d’Europe, p. 302. Traduction anglaise : The Idea of Europe (New York 

35 chose de nouveau au débat des idées politiques du siècle , c’est bien cela : une synthèse des trois thèmes les plus mobilisateu