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st-à-dire à dépasser le tabou des États-nations à
souveraineté
absolue, elle reste incapable, par définition, de s’unir : on ne base
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e de l’État-nation intégralement centralisé et de
souveraineté
absolue pose aujourd’hui l’obstacle majeur à toute espèce d’union de
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et unifiant le tout, le dogme de la sacro-sainte
souveraineté
nationale absolue et indivisible. C’est en son nom que, ces jours-ci,
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bien évidentes. Dénoncer le dogme meurtrier de la
souveraineté
nationale absolue et indivisible, est le premier devoir de tous les c
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’y est ajouté la divinisation de l’État avec sa «
souveraineté
absolue » et c’est ainsi que l’on voit une guerre imbécile comme cell
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re… La vraie raison de cette guerre, c’est que la
souveraineté
nationale a été atteinte. L’honneur de l’État-nation a été atteint. D
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ion actuellement en vigueur la garantie de leur «
souveraineté
». Parmi les divers types d’Europe unie que l’on peut envisager, deux
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incipaux à l’union des peuples européens étant la
souveraineté
nationale absolue d’une part, la division de l’Europe par le rideau d
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asser simultanément par en haut et par en bas les
souverainetés
nationales, et de ramener les pays de l’Est dans une communauté avec
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os peuples. À cette union s’oppose le dogme de la
souveraineté
absolue des États-nations. Il est devenu parfaitement clair qu’on ne