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iollet-le-Duc. Pour l’Allemagne, le cas n’est pas
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différent. Vous avez une grande culture germanique, on peut le dire,
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authentique donc de petite taille. Une communauté
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vaste devient une collectivité et l’État y installe sa géométrie. Dan
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dération européenne, et même pour certains objets
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vastes comme la protection des océans, à la fédération mondiale. Le f
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DF, affirmant que la probabilité d’accident était
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faible pour qu’ils en tiennent compte. Mais ce ne sont pas les mêmes
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la communauté soit réelle, elle ne doit pas être
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grande mais de dimension « médiocre », disait Rousseau. Ou, comme dis
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raiment une fédération parce qu’elle est beaucoup
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grande. Toutefois, les Américains ont gardé un plus grand sentiment d
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azisme, du stalinisme… L’État-nation est beaucoup
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grand pour être un véritable animateur des affaires quotidiennes dans
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es quotidiennes dans le carcan des frontières, et
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petit à l’échelle du monde. Vous avez écrit aussi « une région, comme
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« la Suisse ne fait pas le poids », « qu’elle est
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petite », etc. Mais dans ma longue carrière d’historien des idées, je
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une inflation qu’on disait galopante, et c’était
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peu dire, quand l’État émettait des billets de 100 millions et d’un m
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La question qui se posait alors à l’inquiétude de
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rares observateurs était la suivante : « Comment se peut-il que des i
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pu achever qu’en cinq ans. Je ne m’en plains pas
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, parce que cela m’a obligé à m’éloigner un peu de l’actualité et des
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ouvé que mon livre, pour une fois, n’arrivait pas
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tôt ! Pendant ce temps, d’autres événements, comme les manifestations
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je n’avais pas été habitué par mes autres livres,
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difficiles ou trop en avance sur l’opinion du temps. Au moment de tir
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habitué par mes autres livres, trop difficiles ou
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en avance sur l’opinion du temps. Au moment de tirer maintenant quelq
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res, qui chercheraient à se nourrir de choses pas
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irradiées, qui vivraient dans la terreur, qui seraient tous plus ou m
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tropole régionale. Eh bien, cela me paraît encore
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tributaire de l’ancienne approche, l’économique d’abord, que nous dev
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tion européenne. Un certain nombre de tâches sont
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grandes pour être réglées par la fédération européenne, et pour celle
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’il faudrait réformer en même temps. L’Europe est
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petite pour que l’on s’arrête à elle seule. Bien entendu, il a parfai
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e le dresse notre généalogiste — et je ne saurais
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l’en féliciter — nous propose une seconde conclusion, plus imprévue :
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ci : le vrai danger n’est pas là où on le dénonce
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facilement, dans le contrôle allégué de nos vies privées par les Pouv
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oisir, sans laquelle nous courons à des désastres
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exactement calculables. Je renouvelle ma proposition de créer dans ch
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ire romain, et par là même corrigé quelque peu la
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célèbre définition donnée par Paul Valéry d’une Europe purement médit
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vœux. Laissez-moi vous citer de lui deux passages
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peu connus, le premier tiré de Par-delà le bien et le mal, le second
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s centrales qui les dénoncent comme gigantesques,
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chères et trop dangereuses, ignorent qu’ils dénoncent là les raisons
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les dénoncent comme gigantesques, trop chères et
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dangereuses, ignorent qu’ils dénoncent là les raisons mêmes qui font
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inlassablement réitérés des communistes. C’en est
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pour le PCF. Le 15 janvier 1933, la revue Europe, dirigée par Jean Gu
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du Saint-John Perse avant le 10 septembre. Est-ce
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vous demander ? Je vous en prie. On vous la donne, votre Europe. Tout
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pas vous reconnaître… Je ne veux pas… Je souffre
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! » André Breton à New York Notre première rencontre se produis
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pproche théologique des auteurs dont je parle est
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engagée — et peut-être engageante dans le cas d’Elisa pour avoir été
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ue Breton soit très gêné par votre dernier livre.
Trop
chrétien, sans doute, à ses yeux. Moi, vous savez… Je crois que vous
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il le faut ; moi j’essaie de masquer des lacunes
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certaines. Enfin, Staro est un pur citadin, et je me sens de plus en
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ean Starobinski. Après ce livre, je ne serais pas
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surpris de le voir céder — s’en rendant compte à peine — à la tentati
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mmuns. Pour former un groupe, il ne faut pas être
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ni trop peu. Il y a un optimum à trouver. Trop peu ce serait une fami
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our former un groupe, il ne faut pas être trop ni
trop
peu. Il y a un optimum à trouver. Trop peu ce serait une famille ou u
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re trop ni trop peu. Il y a un optimum à trouver.
Trop
peu ce serait une famille ou un complot. Trop nombreux, c’est le brou
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er. Trop peu ce serait une famille ou un complot.
Trop
nombreux, c’est le brouhaha. La foule étouffe toute possibilité d’éch
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à l’heure : il s’agit de trouver un optimum entre
trop
petit et trop grand. La dimension d’une polis — ville ou État — ne do
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s’agit de trouver un optimum entre trop petit et
trop
grand. La dimension d’une polis — ville ou État — ne doit pas dépasse
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ne compte pas ». Voilà bien le méfait majeur des
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grandes dimensions — oui, même en Suisse ! — d’une communauté, d’un É
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ti bien sûr, mais offrant par là même ce qui fait
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souvent défaut sur l’agora réelle : le temps de la réflexion sur ce q
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st le sort des non-conformistes18. On a peut-être
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négligé la dimension téléologique de son système de pensée, qui en es
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e commune ne peut pas tout faire. Il y a beaucoup
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de communes, par exemple, qui sont trop petites pour entretenir une é
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beaucoup trop de communes, par exemple, qui sont
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petites pour entretenir une école, en France surtout. Mais même dans
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de l’Europe au-delà des nationalismes. On ignore
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souvent que l’idée de marché commun se trouve dans Par-delà le bien e
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finitif en Suisse, je me suis trouvé, sans savoir
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comment, engagé dans la lutte militante pour la fédération de nos peu
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e côté les plus probables, qui sont, comme il est
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facile de l’imaginer, l’aggravation universelle des conflits internat
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uples de l’Europe : fait capital, dont nous avons
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peu conscience. Déjà le problème des régions devient le problème numé
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dimension. Il s’agit de trouver un optimum entre
trop
petit et trop grand. La dimension d’une polis — ville ou État — ne do
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s’agit de trouver un optimum entre trop petit et
trop
grand. La dimension d’une polis — ville ou État — ne doit pas dépasse
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la presse soviétique, « certains voulaient aller
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vite », et par exemple « abolir le fédéralisme », tandis que d’autres
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déjà commencé, parce que m’ayant lu, ils savaient
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bien ce qu’ils faisaient. Dois-je me le reprocher ? Toute prise de co
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dire ? » Je me garde bien de répondre, je m’amuse
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. Finalement il jette en riant : « on va dire que c’est un complot pro