1 ocres » comme le voulait Rousseau, ou en tout cas variable selon les fonctions qu’elle assure. Elle doit être « à la taille de l

2 aille de ses problèmes » — qui sont « à géométrie variable  » comme on vient de le voir, jamais délimités par une frontière d’Éta

3 légeances. Je suis pour des régions « à géométrie variable  », suivant la fonction que la région est censée remplir. On peut avoi

4 ant à la réalisation de ces « régions à géométrie variable  », comme je les nomme, sur lesquelles nous avons beaucoup discuté le

5 es très importantes sur cette notion de géométrie variable , ainsi que M. Naef, qui malheureusement a dû nous quitter hier et don

6 oue c’est que cette notion de régions à géométrie variable , à frontières multiples, à territoires différents, variables selon le

7 à frontières multiples, à territoires différents, variables selon les fonctions et qui se regroupent de différentes manières (com

8 os des complexités que pose la région à géométrie variable . M. Norton écrit : « We need not fear that we cannot manage implicati

9 le pouvoir politique dans une région à géométrie variable  ? » Si l’on dit que le pouvoir est d’abord aux communes, on peut très

10 une image de ce que pourrait être cette géométrie variable . De même, plusieurs communes pourraient former une région énergétique

11 uction, sur ce qu’il y a de plus fragile, de plus variable , et qui peut être ruiné : l’économie. Il faut la fonder sur l’humus,

12 dite avant moi ! » XI. Des régions à géométrie variable Je pense avoir toujours dit et décrit le contraire de ce qu’il m’e

13 que je les souhaitais, c’est-à-dire à « géométrie variable  » selon les fonctions à assurer. Comment faire face à pareille comple

14 . Toynbee13. Microcosme des combinaisons à doses variables de nos sources multiples à l’échelle continentale, la Suisse l’est au

15 lture ne dépend pas d’un centre, mais d’un nombre variable de foyers de création qui s’allument ici ou là, deviennent d’un siècl