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c’est-à-dire à la fin du xiiie siècle. Ensuite,
vient
la formation des États scandinaves et, au xixe seulement, étape suiv
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tout l’ensemble du continent, et les Germains qui
viennent
à la rencontre des Celtes, se mélangent avec eux et finissent par rec
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de l’Europe. Voilà nos premières origines. À cela
viendront
s’ajouter, au Moyen Âge, l’apport des Arabes, et, à partir du xixe s
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x origines asiatiques du peuple hongrois, qui est
venu
comme un corps étranger dans l’Europe. Donc, pour lui, sa culture éta
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s en commun, à nos valeurs de base, d’où qu’elles
viennent
. Voilà simplement quelques pistes. Pourquoi pas un colloque sur chacu
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surface ; la nôtre est dix fois plus dense. J’en
viens
à la Suisse. C’est sans doute le pays le mieux placé pour éviter une
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ivés ensemble. Le mot « propriété », par exemple,
vient
du latin « proprius » qui veut dire « plus près », de « propes », « p
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rsonnaliste et à diverses associations… Si un fou
venait
me dire : tout cela ne peut pas continuer, il faut donner la même fro
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ut pas s’imaginer la vocation comme une force qui
vient
vers nous et qui nous commande. Nous ne sommes pas « aimantés », mais
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structures de l’État-nation. La vraie révolution
vient
d’en bas. Ce qui me donne un peu confiance dans le nouveau régime fra
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Quoi ou il en soit, il me semblait important d’en
venir
à une littérature fondée spirituellement, intellectuellement et polit
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ls sont, les chances d’éviter dans les années qui
viennent
accidents et malentendus, violations d’engagements, attaques surprise
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rvivance de l’antique unité et germe de l’union à
venir
, la Suisse est plus que jamais nécessaire à l’Europe à condition qu’e
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(10 février 1983)x Le maréchal von Hindenburg
vient
d’être réélu président de la République, en avril 1932, contre l’agit
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ncien caporal Adolf Hitler, né Autrichien, et qui
vient
d’être naturalisé. Ce jour-là, devant le vieil aristocrate prussien s
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u « dernier carnaval de cette bourgeoisie dont je
viens
d’admirer les trésors patinés dans la haute demeure familiale des Goe
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» Il faut croire un homme qui dit cela… D’où lui
vient
le pouvoir surhumain qu’il développe pendant un discours ? Une énergi
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d’autrui, attisant non le remords mais la haine.
Viennent
alors les promesses de grâce : en rejetant le traité de Versailles, «
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Néant. « Das Nichts nichtet (le néant néantit) »,
venait
d’écrire le grand philosophe Heidegger — un temps séduit par les myth
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urs, en fin de banquet, mais rarement quand on en
vient
à voter le budget. Or, je vous le disais hier : seul le budget ne men
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es nôtres. Il s’agit de l’opposition entre ce qui
vient
d’en haut, de l’État, qui descend vers les départements, les district
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l’Europe, ni au niveau des sols ; et puis ce qui
vient
d’en bas, du sol, de l’humus, et qui monte vers les communes, les com
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pe, surtout, je crois, pendant les dix années qui
viennent
. Je pense qu’ensuite il y aura une évolution, tant du côté européen q
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ation des régions et des pouvoirs locaux. Nous en
venons
ici au cœur du débat qui nous a occupés ces deux derniers jours. Je c
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enant un jacobin, un Robespierre ou un Saint-Just
venait
me dire : « Tout cela, c’est très joli, mais désormais, tu n’auras pl
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à l’heure, en entendant parler M. Birre, il m’est
venu
une autre idée. Dans la grande discussion sur les régions introduite
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c’est de présenter les objections qui pourraient
venir
sur tel ou tel point, qu’il se forme à lui-même avec une imperturbabl
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ux à l’instant où je l’apprends. Mais aussitôt me
vient
l’idée des espaces infinis de silence, d’ignorance et de nuit qui me
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en que l’on possède », c’est-à-dire « dont on est
venu
à chef ». (Je propose une nouvelle recherche à Pierre-Arnold, dans la
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ces trois dernières sources que je dois d’en être
venu
à découvrir, dans les années 1930, que l’Europe était la vraie patrie
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s meilleurs auspices possibles : une invitation à
venir
parler de « l’Esprit européen » lors des premières Rencontres interna
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me sens en effet un peu seul ! Mais d’autres vont
venir
, et ce ne sera pas long. Si toutefois, on leur laisse le temps de se
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u’en Europe. L’article de Business Week auquel je
viens
d’emprunter tant de chiffres alarmants, constate avec une sérénité in
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es. Mais aucun de nous, je m’en assure, ne serait
venu
ici pour le seul plaisir de dresser un bilan ou pour célébrer les bon
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contemporaine sur l’évolution des civilisations,
venons
-en à notre objet spécifique. Le patrimoine européen s’est constitué d
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, il est aveugle comme les taupes. Mais le soleil
vient
du ciel, vient de Zeus, c’est-à-dire de « celui qui voit très loin ».
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s sur l’énergie, le Club-Énergie de l’Est vaudois
vient
d’adresser un texte de Denis de Rougemont à tous ses membres et sympa
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les garanties nécessaires à sa collaboration. Il
vint
chez moi, rue Saint-Placide, dans l’appartement que me louait Georges
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chez Paulhan ? » — « Oh, dis-je, vous savez, j’y
viens
presque tous les jours, j’ai un bureau en bas, non, vraiment… » — « E
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e vénération de la part d’André. Mais un jour… Il
vient
vers moi l’air sombre et me dit d’entrée de jeu : « Votre dernier liv
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de joyeuse acceptation, et puis un scrupule m’est
venu
, presque un doute : étais-je vraiment l’homme de la circonstance ? Ca
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ique et de psychanalyse ! Mais il est temps d’en
venir
au grand essai sur l’inventeur des Essais qui couronne toute une œuvr
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acle, paru en 1971, et Montaigne en mouvement qui
vient
d’ouvrir sa carrière. C’est le dernier paru qui me retiendra ce soir.
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elligence, ou aux heures de défaillance, ou l’âge
venu
: ils se reposaient d’eux-mêmes en devenant “patriotes”. Je songe à d
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n française. ⁂ Ceci dit sur un plan général, j’en
viens
à mon cas personnel, pour la première fois en public. On s’étonne sou
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s tout intérieures auxquelles il est temps que je
vienne
. Vers ma vingt-quatrième année, j’avais découvert deux auteurs qui fu
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e après que mon ordonnance m’eut annoncé ce qu’on
venait
d’entendre à la radio. Ces deux pages ont changé ma vie en m’expédian
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’État fédératif au Parti centralisé, dès qu’on en
vient
aux décisions opérationnelles. Quelques exemples suffiront à illustre
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aux prophète » (automne 1996)ax ay « … Je sens
venir
des catastrophes organisées par nos soins diligents quoique inconscie
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la pomme et en a donné à Adam. Yahvé se fâche. Il
vient
en Eden, vers le soir, et appelle l’homme : « où es-tu ? » Adam et Èv
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mplement les contradictions de nos désirs. Ils ne
viennent
que de là, que de nous ! Nous n’osons pas avouer nos vrais désirs. No
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omplot protestant ! » Chaque matin qui suivit, il
vint
entrouvrir la porte capitonnée me demandant de passer chez lui pour c