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e la thèse de l’auteur du volume, le Martiniquais
Frantz Fanon
. Sartre la cite et il ajoute, impressionné : « Ce ton est neuf. » Moi
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t qui, loin de résulter de la colonisation, comme
M. Fanon
le répète, la rendit possible, voire inévitable : je veux parler de l
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ales ? Vous voulez rire, et vous n’y arrivez pas.
M. Fanon
, et J.-P. Sartre derrière lui, ont grand tort de crier aux « siècles
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mpe à l’Élysée en 1961. Je laisse à MM. Sartre et
Fanon
le soin de démontrer que cet exemple n’infirme en rien leurs thèses,
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littéralement la création du tiers-monde », écrit
Fanon
. Ses richesses ne proviendraient que de ses vols, c’est-à-dire de son
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peine et grandit puissamment. C’est tant pis pour
Fanon
et son marxisme — d’ailleurs emprunté à l’Europe. Mais qu’en est-il d