1 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
1 a vie, bien plus antichrétien par cela même qu’un J.-P. Sartre , qui se place au niveau de la morale dans le prolongement des exigenc
2 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
2 Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)j Je viens de passer deux mois au
3 s, qui nous dit cela, mais un éloquent moraliste, Jean-Paul Sartre  ; et sa fureur ne jaillit pas d’un quelconque examen des évidences, m
4 l’auteur du volume, le Martiniquais Frantz Fanon. Sartre la cite et il ajoute, impressionné : « Ce ton est neuf. » Moi, ce qui
5 oulez rire, et vous n’y arrivez pas. M. Fanon, et J.-P. Sartre derrière lui, ont grand tort de crier aux « siècles d’oppression ». A
6 grande pompe à l’Élysée en 1961. Je laisse à MM. Sartre et Fanon le soin de démontrer que cet exemple n’infirme en rien leurs
7 de sa terre et des richesses qu’elle contient ?). Sartre renchérit : c’est avec cela que l’Europe a fait non seulement ses cap
8 illeurs emprunté à l’Europe. Mais qu’en est-il de Sartre en cette lugubre affaire ? Il nous faut expliquer l’anachronisme. Sar
9 affaire ? Il nous faut expliquer l’anachronisme. Sartre se meut dans un village intellectuel et projette sur l’« Europe » des
10 s États-Unis d’Europe, publié en 1950 chez Nagel. Sartre arrive un peu tard avec sa diatribe contre un régime que plus personn
11 agissait de la faire. j. Rougemont Denis de, «  Sartre contre l’Europe », Arts, Paris, 17 janvier 1962, p. 1 et 4.
3 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
12 sme européen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre , semble avoir persuadé nos élites comme nos masses que l’Europe est u