1 acré ou du social, mais que son sens dépend d’une attitude intime, d’une libre appréciation de la personne quant à savoir si l’a

2 le paradoxe concret : les qualités techniques, l’ attitude utilitariste, l’efficience en un mot, qui ont permis au problème de s

3 ème de se poser, sont précisément les qualités et attitudes qui prédisposent le moins à l’usage fécond du loisir. À l’inverse, le

4 grave de ce siècle qui la concerne, mais bien les attitudes (religieuses sans le savoir) qui justifient cette immoralité ; enfin,

5 mauvais en principe. Comme elle sent qu’une telle attitude est plus hérétique que chrétienne, ou plus religieuse que rationnelle

6 aventure indéfinie, mais qui traduit une certaine attitude constante devant la vie. L’explication d’un phénomène par ses causes

7 ’aboutissement logique dans notre siècle, c’est l’ attitude et la pratique fédéralistes : l’union dans la diversité, l’équilibre

8 ar qui ?) Les enquêtes sur « la Jeunesse » et ses attitudes sentimentales, dans la faible mesure où elles sont concluantes, donne

9 e espèce de généralisation ou de statistique. Les attitudes que la majorité de nos contemporains sont censés adopter vis-à-vis de

10 toi-même ), adopte, vis-à-vis de l’érotisme, une attitude plus nuancée. »