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u’il s’agit maintenant d’assumer, et de défendre.
Car
un double péril la menace, l’un intérieur, l’autre extérieur à la cit
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use. La technique nous ramène à la religion
Car
la culture n’est, en fin de compte, qu’un prisme diffracteur du senti
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ntester après coup l’unité d’action, non le choc.
Car
il y eut un choc initial, un commencement soudain, une grande libérat
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Science, recherche « impitoyable » de la vérité.
Car
la vérité, pour la foi, ne peut être que celle de Dieu, même quand el
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encombrant. Mais cela n’est vrai qu’en Occident,
car
on n’observe rien de tel en Inde, en Chine ou en Afrique. Comment nou
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ais reliée en même temps par ce qui la distingue.
Car
pour aimer, il faut être distinct de l’objet même de l’amour, auquel
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la par condescendance, je n’en fais pas un ordre.
Car
il vaut mieux se marier que de brûler. » Il n’en reste pas moins qu’a
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foule élabore à l’abri de toute sanction sociale
car
c’est là qu’on peut voir apparaître le sens réel du phénomène que j’a
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devait prendre des siècles, et n’est pas terminé.
Car
la révolution que nous sommes en train de vivre renouvelle en partie
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ée vers un au-delà de plénitude, vers le Plérôme.
Car
cette nature qui nous paraît miraculeuse n’est encore qu’un mirage re
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nde », et qui pourtant est « au-dedans de nous »,
car
il est plus nous-mêmes que nous, parce qu’il est en chacun de ceux qu
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sais, l’amour commence, l’amour a déjà commencé,
car
c’est lui qui le sait dans toi. À la question fondamentale que pose
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de la chair pour ce qui la transcende et l’anime,
car
la poussée vient d’en bas, mais l’éclosion et l’épanouissement dépend
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s Balubas qui « massacrent à vue les Européens ».
Car
, ce faisant, « ils font l’histoire de l’homme », et nous serons ainsi
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, ne vaut plus grand-chose. Ils n’en feront rien,
car
la passion ne s’embarrasse pas de faits et leur passion veut la mort
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nition de l’Europe par sa fonction mondialisante.
Car
cela revient en somme à définir le phénomène européen par ses effets,
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beau jour toute faite et donnée par l’histoire :
car
c’est sa quête elle-même qui la crée. Rechercher l’Europe, c’est la f
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plus imprévues. Vraiment le four est bien scellé.
Car
l’islam s’est dressé à l’Est, barrant les routes vers l’Orient. Les E
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e Colomb n’est pas parti pour trouver l’Amérique,
car
il n’y croyait pas et ne pouvait donc la chercher. Il est parti pour
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t, finalement, c’est sa foi seule qui le soutint,
car
les deux grands problèmes qu’il tentait de résoudre : atteindre l’Ind
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es. Et voici que tout se résume en un coup d’œil.
Car
autour de la place d’un simple village d’Europe vous trouvez l’église
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menti tel que l’histoire en offre peu d’exemples.
Car
en effet, s’ils avaient eu raison, le retrait colonial eût signifié l
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ples du tiers-monde. Fâcheuses pour nous d’abord.
Car
il est évident que notre civilisation ne s’est rendue assimilable et
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missionnaires ? Cette réponse serait trop facile,
car
nous sommes largement responsables des erreurs que commet le tiers-mo
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nous jalouse. C’est en fin de compte notre faute,
car
nous n’avons jamais conçu une politique de civilisation répondant à l
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dont le tiers-monde nous tient pour responsables.
Car
cette faiblesse ne traduit rien qu’une division de nos forces — et no
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sable à l’égard du tiers-monde comme de lui-même.
Car
c’est l’Europe qui a répandu dans le monde entier le virus du nationa
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iatre américain, une « théologie de l’érotisme ».
Car
l’érotisme dépend, en fin de compte, du religieux au moins autant que