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nsemble, non point malgré nos différences, mais à
cause
d’elles. Je pressens, je sens une grande force dans ce rassemblement
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ar deux grands traits généralement tenus pour des
causes
de faiblesse : je veux parler d’une inquiétude fondamentale et d’un d
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nomène est donc vain. Il s’agit de comprendre ses
causes
, et sur tout ce dont il est signe. Et d’abord, il s’agit de lui donne
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rts. Les effets atteignent nos sens avant que les
causes
aient émergé à nos consciences. D’où le scandale, et c’est peu dire —
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s mœurs » et la « pornographie » qui en serait la
cause
, il se sent indigné et inquiet. S’il est sérieux, s’il voit plus loin
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us libres. f. Rougemont Denis de, « L’Amour en
cause
», Arts, Paris, 1–6 février 1961, p. 1 et 4. g. Présenté par cette n
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rs efforcé jusqu’ici de l’expliquer par certaines
causes
, qui seraient tantôt, selon les auteurs et selon les modes, géographi
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absorber leurs conquérants, Huns ou Mongols ? Les
causes
physiques et naturelles ne pouvant rendre compte des destins de l’Eur
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estins de l’Europe, faudra-t-il leur chercher des
causes
spirituelles ? L’Europe serait-elle, par exemple, une création du chr
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e n’est pas le déroulement logique d’une série de
causes
naturelles produisant des effets où elles s’épuisent : ce n’est pas l
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vant la vie. L’explication d’un phénomène par ses
causes
a dominé notre xixe siècle, mais c’était aux dépens de la compréhens
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érifier d’abord s’il existe des liens latéraux de
cause
à effet entre les deux phénomènes, ou si plutôt, comme je le crois, i
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impuissant mea culpa. Nous ne sommes pas seuls en
cause
dans cette affaire. Nous sommes pour les autres un espoir, qu’il s’ag
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s, et surtout de la littérature. Quelles sont les
causes
de ce phénomène ? En voici trois, prises à dessein dans des domaines