1 la dernière guerre. André Breton n’a pas cessé de chercher une vision religieuse du monde et de la vie, bien plus antichrétien p

2 vivante, et que tous les hommes sont pécheurs. Il cherche donc. Il cherche à se rapprocher de la Vérité et de la sainteté. Dans

3 ous les hommes sont pécheurs. Il cherche donc. Il cherche à se rapprocher de la Vérité et de la sainteté. Dans cet effort sans

4 édhibitoire, d’être des hommes « qui ont cessé de chercher  » et « qui se croient les détenteurs de la vérité absolue ». Il serai

5 certain qu’ils seraient féconds), ou bien il faut chercher un principe transcendant, dont un C. G. Jung en Europe, ou un Aurobin

6 qu’illusion. Mais aucun ne devint immortel. Nous cherchons plutôt les moyens de gagner du temps, et les trouvons par la techniqu

7 ni d’autres raisons de douter, je veux dire : de chercher jusqu’au bout ce qu’un jour nous pourrons aimer de tout notre être en

8 compte des destins de l’Europe, faudra-t-il leur chercher des causes spirituelles ? L’Europe serait-elle, par exemple, une créa

9 que, car il n’y croyait pas et ne pouvait donc la chercher . Il est parti pour trouver l’Inde fabuleuse, aux cités pavées d’or, d

10 uvreurs, croyait savoir où il allait, et ce qu’il cherchait  : il avait calculé qu’il y serait en trente jours. Mais tous ses calc

11 à repenser tout ce qu’on tenait pour acquis, et à chercher toujours plus loin, au prix de risques toujours plus grands. Chercher

12 us loin, au prix de risques toujours plus grands. Chercher plus loin, et de la sorte créer autant de risques qu’on résout de pro

13 t par nos mains. Le temps n’est plus pour nous de chercher anxieusement à deviner le cours prochain de notre histoire : c’est à