1 rt de Rome. — Il se résume dans le terme viril de citoyen . L’homme ne tient plus sa dignité unique de quelque essence indestruc

2 Grecs, et l’honneur de servir, qui était celui du citoyen romain. Il devient donc un paradoxe vivant : à la fois libre et respo

3 vrai. C’est que vous ne vous sentez pas encore le citoyen d’une nation de 335 millions, voire de 430 millions d’habitants (en c

4 atellites européens de l’URSS), mais seulement le citoyen d’un petit État de 10 ou de 50 millions qui n’est plus à l’échelle du