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’interminables discussions dans les cafés, régime
donc
fabriqué de toutes pièces par des intellectuels invétérés. Comment fe
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la vérité, et peu importent les moyens.) On voit
donc
mal, à première vue, comment une ère technique conduirait aux religio
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le loisir comme « le temps vuide ». Elle suppose
donc
que le travail est le vrai temps. Cette hiérarchie des valeurs a domi
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01-210). Cependant, l’augmentation « tertiaire »,
donc
des activités intellectuelles, aux dépens des activités manuelles et
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ins ni la qualité de leur air : ces « vues » sont
donc
autant de fausses-nouvelles-vraisemblables, les plus dangereuses. 4.
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n imite partout même quand on la combat. Elle est
donc
encore la plus forte. Pourtant, si on la compare à d’autres, passées,
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et que tous les hommes sont pécheurs. Il cherche
donc
. Il cherche à se rapprocher de la Vérité et de la sainteté. Dans cet
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pourtant soutenu par sa foi dans la grâce. Il est
donc
un inquiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son inquiétude ; i
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art, est le gage d’un progrès vers le vrai. Ainsi
donc
, du désordre vers un certain ordre, puis un nouveau désordre, vers un
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faire ce que l’on veut, à aimer ce que l’on aime,
donc
plus de liberté. Liberté pour tous, il va de soi, mais cela n’a de se
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blessé et réagit, c’est qu’il existe. J’essaierai
donc
d’en définir la nature et les exigences. L’Occident n’est pas né comm
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ir, qui était celui du citoyen romain. Il devient
donc
un paradoxe vivant : à la fois libre et responsable, vraiment distinc
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Le problème de l’emploi du temps libre se posera
donc
demain. Par notre fait, dans la réalité sérieuse et quotidienne. Mais
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ges et sans fond de l’immatérielle Énergie. Voici
donc
retrouvée la Maya des hindous, au terme d’un voyage dont l’impulsion
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de l’Occident. Toute réponse décisive annoncerait
donc
la fin de notre civilisation, son épuisement intime, et toujours préa
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onde, des moyens de plaire à sa femme. » 4. Ainsi
donc
, exalté d’une part comme l’image de l’amour divin, mais vilipendé, d’
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s confondue avec « la chrétienté ». On ne saurait
donc
interpréter ce phénomène — dans son évolution au cours des siècles et
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ratiques de l’érotisme. Déplorer le phénomène est
donc
vain. Il s’agit de comprendre ses causes, et sur tout ce dont il est
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excellence où agissent les mythes de l’âme. C’est
donc
avec ces mythes, non pas avec l’instinct ou avec « l’éternelle luxure
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ur propos ou de les montrer sur l’écran. Ce n’est
donc
pas le sexe, mais l’érotisme, ni la sensualité, mais son aveu public,
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ou moins respectueux de la science et du progrès,
donc
normal et moyen selon les standards du siècle : confrontez-le avec le
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ur de nous qui allons dans sa durée ; qu’il y ait
donc
tout cela, mais le vide, tout cela dans le vide et composé de vide, c
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l y a des forces qui s’attirent et se repoussent,
donc
se composent, qu’il y a par suite forme et mouvement proche et lointa
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qui seul il y a quelque chose. L’amour seul peut
donc
dire : je suis. Sans l’amour il n’y aurait pas même le vide. L’amour
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l’avoir traité par le mépris, supplie d’y entrer.
Donc
c’est Jean Monnet qui a vu juste. Donc il faut voir l’Europe comme il
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’y entrer. Donc c’est Jean Monnet qui a vu juste.
Donc
il faut voir l’Europe comme il l’a vue d’avance : première étape d’un
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semble atlantique d’ici dix ans… L’Amérique avait
donc
raison ? Mais voici un ouvrage, un seul, qui contredit brutalement to
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ropéens sont complices du colonialisme criminel ;
donc
cette lecture leur fera honte, et la honte pousse à la révolution ; o
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elle permet à leurs victimes de libérer. Joignons
donc
le FLN, les Angolais et autres Balubas qui « massacrent à vue les Eur
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le ?) En quittant le tiers-monde, l’Europe aurait
donc
signé son arrêt de mort économique et de rapide déshumanisation ? Les
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sation ? Les adversaires du colonialisme auraient
donc
été les avocats du suicide de l’Europe ? Mais au nom de quelles valeu
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réussi de dépassement de l’ère nationaliste — et
donc
de l’ère colonialiste — par le moyen d’une grande fédération. Ceux qu
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sie, devenue la métropole du genre humain. Voilà
donc
l’importance de la géographie et du climat minimisée, presque niée. S
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l’an 2000, selon les démographes — qui prédisent
donc
le contraire de ce que l’Occident craint !), n’aient guère participé
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fs dans l’aventure mondiale de l’Europe. Retenons
donc
, de cette rapide enquête sur la genèse du phénomène Europe, le christ
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ter : la fonction mondiale de l’Europe. Décrivons
donc
maintenant ce phénomène tel qu’il apparaît dans les faits. Ce n’est p
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ge, sous Charlemagne, la péninsule européenne est
donc
devenue le lieu de rencontre de sept ou huit traditions différentes :
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l’Amérique, car il n’y croyait pas et ne pouvait
donc
la chercher. Il est parti pour trouver l’Inde fabuleuse, aux cités pa
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t-ce la fin de l’aventure occidentale, qui aurait
donc
consisté, dans l’ensemble et au total, à faire le monde, mais à le fa
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izarre que puisse apparaître l’expression. Voyons
donc
les faits mesurables. Parmi l’infinité des hémisphères qu’on peut tra
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re moitié du globe, ainsi déterminée, ne contient
donc
que 6 % des habitants et 2 % de la production du monde, n’étant guère
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r les bords, des traces de l’œuvre humaine. Voici
donc
un fait mesurable qui ne dépend ni de notre orgueil ni de notre humil
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tive. Au cœur de l’hémisphère privilégié apparaît
donc
clairement, comme en graphique, la fonction mondiale de l’Europe. Et
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a circulation. À partir de cette place, banale et
donc
typique, un savant débarqué de Mars ou de Vénus pourrait reconstituer
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s avec la réalité des autres continents. Essayons
donc
de reconstruire l’Europe en partant de la place communale. Nos villes
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e des cabinets d’études et de l’école. N’oublions
donc
pas, sur la place, la présence du kiosque à journaux, point d’inserti
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s du café qu’aux objurgations de la chaire. Voici
donc
une nouvelle tension qui s’institue. Mais la fonction de l’école est
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ne. La fonction de l’école dans la cité se résume
donc
par les deux termes l’initiation et l’initiative, qui marquent les de
49
e cité, au nom de ses principes indiscutés. Voici
donc
définie par ses formes une Europe pluraliste et non pas unitaire dans
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mêlée à l’existence sociale, capable de critique,
donc
de renouvellement. Or la culture, au sens large du terme : l’apport d
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, l’Inde indépendante se veut bien plus anglaise,
donc
plus occidentale que n’était l’Inde colonisée. Elle a peut-être tort,
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s plus dans leur empire qu’en Afrique ou en Asie.
Donc
, à court terme, il peut sembler que leurs chances soient meilleures q
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compris Tocqueville, durant tout le xixe siècle,
donc
bien avant l’ascension des deux grands, qui date exactement de la fin
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s et celui du milieu quarante-cinq carrés. Il est
donc
à lui seul plus grand que les deux autres additionnés. Question : Que
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l’Europe unie n’est pas faite et qu’il nous faut
donc
absolument la faire, pour que notre capacité globale se réalise, non
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issent l’esprit européen au xixe siècle. Ce sont
donc
des valeurs qui nous sont propres que les Russes nous renvoient aujou
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ent ses tares les plus visibles. L’Europe se doit
donc
de produire, d’attester et de diffuser les anticorps de ce virus mort
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ation de l’Europe, aujourd’hui pour demain, c’est
donc
offrir au monde nouveau l’exemple réussi d’une grande fédération. Dan
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uccès de vente des auteurs qui en parlent. Il est
donc
en partie mesurable. En revanche, la décadence de l’amour est une hyp
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s’opère et se décide au secret d’une personne, et
donc
échappe, par nature, à toute espèce de généralisation ou de statistiq
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ue chose se « déchaîne » de nos jours, ce ne peut
donc
pas être l’instinct, et ce n’est pas la passion, on le sait de reste.
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la création ou au plaisir cultivé pour lui-même,
donc
stérile. Ce phénomène qui va sans doute se généraliser en Occident co