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e au niveau de la morale dans le prolongement des
exigences
« existentielles » d’une éthique protestante-libérale — quel que soit
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en la raison et l’expérience vérifiante. La même
exigence
de rigueur qui, d’une part, sans relâche, vient remettre en question
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e. J’essaierai donc d’en définir la nature et les
exigences
. L’Occident n’est pas né comme on nous dit que naissent les grandes c
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ique grecque et juridisme romain, catalysés par l’
exigence
chrétienne, ont produit le mot décisif. Mais les réalités politiques
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chrétiennes, séculairement aux prises avec leurs
exigences
(sans cesse mieux codifiées par les casuistes), dans une Europe formé
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is dont elle tente de formuler et d’illustrer les
exigences
encore désordonnées. Et je vois bien que du désordre inévitable résul
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es et des coutumes, des conditions locales et des
exigences
collectives — en perpétuelle tension, lutte et conciliation, antinomi
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elles nationales — et l’universel dans toutes ses
exigences
— fussent-elles représentées par la révolte d’un seul, d’un génie ou
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meilleur équilibre, si relatif soit-il, entre les
exigences
immédiates de l’instruction de techniciens et la stratégie à long ter
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litique de civilisation répondant à l’ampleur des
exigences
du siècle et de nos responsabilités mondiales. La question qui se pos