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n d’un au-delà ne se pose plus. Dans l’univers en
expansion
de l’abbé Lemaître et de Gamov, né d’une explosion primitive, et qui
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s tenir compte des frontières. L’OCDE annonce une
expansion
globale de 50 % pour l’ensemble atlantique d’ici dix ans… L’Amérique
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nt — vainement d’ailleurs — en garde contre notre
expansion
inévitable. Ils n’ont sauvé de la sorte que nos principes, compromis
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phie qu’il faudrait aller demander le secret de l’
expansion
européenne ? Un coup d’œil sur la carte des densités de peuplement de
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celle des grandes découvertes précisément et de l’
expansion
vers le monde, était bien moins peuplée que la Chine et que l’Inde, e
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Europe ne connaît pas encore le christianisme. L’
expansion
missionnaire des chrétiens, durant le premier millénaire de notre ère
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Mayas et jusqu’au Pérou des Incas. Mais c’est une
expansion
chrétienne et non spécifiquement européenne. En revanche l’expansion
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e et non spécifiquement européenne. En revanche l’
expansion
colonialiste, du xviiie au xxe siècle, a été, de toute évidence, pl
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phet, l’Europe et les armes, et la promesse d’une
expansion
indéfinie : dilatatio, latitudo, selon la Vulgate et les Pères. Dilat
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titudo, selon la Vulgate et les Pères. Dilatatio,
expansion
, c’est le mot-clé. Retraçons maintenant les étapes de cette expansion
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mot-clé. Retraçons maintenant les étapes de cette
expansion
planétaire. Vues dans le raccourci des siècles, elles évoquent les mo
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par erreur des Amériques, et ce fut le début de l’
expansion
séculaire, économique, politique et religieuse, d’un petit cap de l’A
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nçoit qu’il fonctionne alors comme le foyer d’une
expansion
énergétique irrésistible. Tel est le secret du dynamisme européen et
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puis Herder, Bentham et Fichte avaient dénoncé l’
expansion
coloniale comme un péché mortel de l’Europe, en ce sens qu’il devait
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tuel, je me l’explique, en résumé, comme suit : L’
expansion
coloniale d’États rivaux, pour criminelle qu’on veuille la juger, a r
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rifiables indiquent une tendance prononcée vers l’
expansion
de notre culture dans les colonies libérées. Le retrait des Anglais d