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la Vérité et de la sainteté. Dans cet effort sans
fin
ni cesse, il est pourtant soutenu par sa foi dans la grâce. Il est do
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aisir des vérités certaines. Dans cet effort sans
fin
ni cesse — ici encore — pour s’approcher d’un but toujours fuyant, il
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tache du corps magique en lequel se mêlaient sans
fin
ni formes nettes les vivants et les morts, les dieux et les démons. L
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dans la mesure où le christianisme a signifié la
fin
des religions et des magies, nées de la peur, qu’il a permis le dével
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ident. Toute réponse décisive annoncerait donc la
fin
de notre civilisation, son épuisement intime, et toujours préalable à
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se les unions des dieux et de leurs femmes, à des
fins
didactiques et religieuses. Point de méthodes secrètes ni de magie se
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la lumière de ses origines religieuses et de ses
fins
transnaturelles. Chrétiens traditionnels, moralistes laïques rational
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anière la plus précise au xiie siècle. Depuis la
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de l’Empire romain, on n’avait plus écrit de poèmes d’amour ni de tra
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autre chose que l’instinct, elle s’ordonne à des
fins
nouvelles qui ne sont plus celles de l’espèce mais de la personne, la
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ts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la
fin
» et que nous voici tous « enchaînés, humiliés, malades de peur ». Ce
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e, ils n’auront plus personne sur qui tirer. D’où
fin
des guerres. Ce nouveau plan de paix perpétuelle est fait pour ébloui
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lonialistes de l’Europe — sept sur vingt-six à la
fin
de la guerre — presque ruinées à deux reprises par leur délire nation
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tre de Hegel, qui tenait l’Europe pour « la vraie
fin
de l’Histoire », et d’Auguste Comte qui voyait en elle « le privilège
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ahis par nos pratiques. L’ère colonialiste a pris
fin
, pour des raisons qu’ils ne pouvaient prévoir. Pourquoi crier encore,
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ient par la Méditerranée : le christianisme. À la
fin
de l’Empire, aux débuts du haut Moyen Âge, sous Charlemagne, la pénin
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e l’Afrique ? Comment échapper à ces guerres sans
fin
, à ces querelles théologiques et scolastiques qui se terminent trop s
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a tutelle. L’Amérique du Nord la première, dès la
fin
du xviiie siècle ; l’Amérique latine pendant la première moitié du x
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naissantes contre l’Occident divisé. Serait-ce la
fin
de l’aventure occidentale, qui aurait donc consisté, dans l’ensemble
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pas seulement rapproché la technique de sa vraie
fin
, qui est de libérer l’homme du travail servile, elle a pris conscienc
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ution dialectique : celle du nationalisme. Dès la
fin
du xviiie siècle, les disciples de Rousseau, puis Herder, Bentham et
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ension des deux grands, qui date exactement de la
fin
de la dernière guerre, et au plan mondial. L’Europe se sentait écrasé
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on. Dans la coïncidence que j’ai relevée entre la
fin
de notre impérialisme colonial, les débuts de notre union fédérale, e
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procréation. L’érotisme est le plaisir pris pour
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, non comme moyen de l’acte procréateur. La passion est le désir infin
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ésir infini, lié à un individu. Et l’amour est la
fin
suprême, l’accomplissement de la personne totale. Ne pas refouler l