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, se croient et se sentent impuissants devant les
forces
brutales et collectives qui mènent le monde. Mais je vois d’autre par
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ènent le monde. Mais je vois d’autre part que ces
forces
furent d’abord des idées, sont nées d’œuvres écrites. Le nationalisme
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à cause d’elles. Je pressens, je sens une grande
force
dans ce rassemblement d’hommes qui préfèrent le droit de poser passio
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et toujours préalable à l’anéantissement par une
force
étrangère. Je n’ai pas eu d’autre intention que de mieux définir la q
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le vide s’anime et se différencie, qu’il y a des
forces
qui s’attirent et se repoussent, donc se composent, qu’il y a par sui
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de Denis de Rougemont sur les valeurs de l’amour,
force
de révélation, base de la vie, de l’art et de la foi. L’auteur publie
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ter d’opérer la synthèse improbable de toutes ces
forces
en conflit latent ou en guerre ouverte. L’Europe et sa culture résul
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conflit perpétuel, souvent fécond, de toutes les
forces
créatrices de l’Occident : la Grèce, Rome et Jérusalem, la magie celt
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l’Asie et le monde arabe tentent de grouper leurs
forces
renaissantes contre l’Occident divisé. Serait-ce la fin de l’aventure
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s continents. Cela, c’est l’Iliade, « poème de la
force
» comme l’a bien nommé Simone Weil. Mais ce qu’il y a de plus typique
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de Pénélope. Maîtriser les éléments, mesurer ses
forces
contre des adversaires visibles ou invisibles, aller toujours plus lo
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veut-il vivre ? Saura-t-il rassembler à temps ses
forces
vives, pour faire face non seulement à ses problèmes — éducatifs, soc
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des journaux et des parlements. S’imposant par la
force
ou reçus comme des dieux — ainsi Cortés à Mexico —, voulant sauver de
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faiblesse ne traduit rien qu’une division de nos
forces
— et nous sommes en bon train de les unir — mais non pas une absence
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n train de les unir — mais non pas une absence de
forces
potentielle. Et ces crimes, qui furent ceux de nos nationalismes, du
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s et ses équilibres psychiques, par les champs de
force
invisibles qu’elles transportent, à la manière du cheval de Troie. Et