1 la situation du chrétien dans le monde, selon la grande parole évangélique et paulinienne : « Soyez dans le monde comme n’éta

2 s, mais à cause d’elles. Je pressens, je sens une grande force dans ce rassemblement d’hommes qui préfèrent le droit de poser

3 u sens pascalien de ce terme, qui englobe ici les grandes parades totalitaires — en bénéficieront très certainement. Et l’on sa

4 La preuve qu’il n’en est rien, c’est que nos plus grands mystiques ont vécu dans les pires conditions matérielles. La techniqu

5 ue infinie : or elle peut à peine doubler (Cf. Le Grand Espoir du xxe siècle, p. 201-210). Cependant, l’augmentation « terti

6 on, on s’aperçoit qu’elle s’en distingue par deux grands traits généralement tenus pour des causes de faiblesse : je veux parl

7 en sont inséparables. Je les rattache à nos plus grandes traditions : le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiét

8 yens de la créer et de l’assimiler. Mais les plus grands succès quantitatifs allant régulièrement à la pire qualité, le progrè

9 ’aient vraiment déployé leurs effets que dans les grands espaces humains des Amériques et de l’URSS. Là, comme extraites de le

10 t n’est pas né comme on nous dit que naissent les grandes cultures et civilisations, animées par un rêve qui fait leur destinée

11 eut un choc initial, un commencement soudain, une grande libération d’énergie spirituelle et morale, provoquée par l’intégrati

12 le exclut le fautif de la réalité, elle appelle à grands cris non point sa repentance mais le châtiment restaurateur de l’ordr

13 x antipodes, parlons avec des invisibles, tuons à grande distance, et dialoguons avec la lune. Confronté à l’Orient, l’Occiden

14 sir et le supposent, mais n’ont pu le procurer au grand nombre. Au moment même où l’Occident serait en mesure d’en instituer

15 es, qui seraient celles dont nous aurions le plus grand besoin… L’âge des miracles Au stade présent de l’Aventure occid

16 t : la Foi, l’Espérance et l’Amour : mais la plus grande des trois, c’est l’Amour ». Et celui qui n’a pas l’Amour « n’est qu’u

17 re moins, des célèbres sculptures aux façades des grands temples hindous, illustrant de la manière la plus précise les unions

18 permettant de toucher les peuples. Cette première grande révolution de l’Amour, si soudaine dans son explosion, fut lente à pr

19 s en scène suédois, français et italiens, pour le grand public. Que verra dans tout cela, de prime abord, le témoin normal et

20 la création des personnages imaginaires des plus grands romans contemporains. »

21 erre, des civilisations passées nous apparaissent grandes et majestueuses, bien plus, qu’au détour d’un sentier suivi dans la f

22 mais lorsqu’il a été semé, il monte… et pousse de grandes branches, en sorte que les oiseaux du ciel (les anges) peuvent habite

23 uel et le sensuel, les risques d’erreur sont plus grands , parce que l’émotion la plus vive peut bien se suffire en soi. La s

24 fascinant des spéculations créatrices. Déjà, les grandes « écoles » de mathématiciens, de physiciens et d’astronomes, reconnai

25 ame que l’Europe est « foutue », qu’elle est « en grand danger de crever », qu’elle « agonise », qu’elle a fait « eau de tout

26 jeunesse dégoûtée de nos « valeurs » et qui exige grands cris son lavage de cerveau. « Voici des siècles qu’au nom d’une préte

27 pas. M. Fanon, et J.-P. Sartre derrière lui, ont grand tort de crier aux « siècles d’oppression ». Avant de leur laisser fai

28 llions d’habitants, dont le président est reçu en grande pompe à l’Élysée en 1961. Je laisse à MM. Sartre et Fanon le soin de

29 t donc de l’ère colonialiste — par le moyen d’une grande fédération. Ceux qui perdront la face aux yeux de l’histoire, ce sero

30 ide). Mais l’Europe de la Renaissance, celle des grandes découvertes précisément et de l’expansion vers le monde, était bien m

31 d’habitants, c’est-à-dire six à dix millions. Le grand essor démographique de nos nations ne date que du xixe siècle. Comme

32 rope, à laquelle j’attache, pour ma part, la plus grande importance symbolique. Europe était la fille d’Agénor, roi de Tyr. Ce

33 grecques, il substitue le culte de l’État et des grandes institutions centralisées, et il étend leur autorité sur toute l’Euro

34 ion jamais achevée, toujours instable, et dont la grande originalité — si on la compare aux cultures de l’Asie — est justement

35 les petites caravelles de Colomb. La période des grandes découvertes fut une sorte d’explosion du composé Europe, macéré depui

36 qui ont été découvertes dans les Indes » et de «  Grand amiral de la mer Océane », il fallait que Jason eût été en Colchide à

37 ans les limites de son cap asiatique, et pas plus grande , notons-le bien, qu’elle ne le fut au Moyen Âge. Elle reste le cœur d

38 cœur d’un Occident né de ses œuvres, mais où deux grands empires lui disputent la primauté — l’un avec hostilité, l’autre avec

39 ’Ulysse et ce sera, identiquement, la passion des grands créateurs de la culture occidentale. L’Occidental est l’homme qui va

40 , c’est sa foi seule qui le soutint, car les deux grands problèmes qu’il tentait de résoudre : atteindre l’Inde en contournant

41 jours plus loin, au prix de risques toujours plus grands . Chercher plus loin, et de la sorte créer autant de risques qu’on rés

42 in, le lieu géométrique, le carrefour naturel des grandes voies de communication maritimes et surtout aériennes qui ont permis

43 éseau de voies d’eau (fleuves et canaux), la plus grande densité de villes et de villages, et le peuplement le plus égal : c’e

44 u, mais le conduire à lui-même tout autant qu’aux grands lieux communs qui ont formé la cité, qui la maintiennent, et qu’il fa

45 as unitaire dans son principe comme le furent les grandes civilisations traditionnelles et statiques de l’Asie, et aussi de l’A

46 re de la vie sociale d’un village. Elle y joue un grand rôle politique et civique. Mais c’est peut-être aux dépens de la rigu

47 re que l’ère technique, qui est celle des plans à grande échelle, allait lui porter le coup de grâce. Bien au contraire. Le bo

48 bre et le prestige des cafés littéraires dans nos grandes villes, ces deux faits, inégaux d’importance mais très typiques de no

49 ique. Ailleurs, en Amérique et en Russie, sur des grandes plaines, peu peuplées, voire des déserts, la civilisation technologiq

50 ans une situation qui me paraît définie par trois grands faits dont je voudrais maintenant mettre en valeur la nature et les r

51 onde et retrouvé l’Europe. Mais voici le deuxième grand fait, non moins paradoxal, qui domine notre situation : le retrait po

52 n histoire également est explorée dans toutes ses grandes lignes, et l’archéologie occidentale ressuscite inlassablement bien p

53 es hier encore colonisés. Mais voici le troisième grand fait : nos idéaux et nos pratiques ont été diffusés en désordre, sans

54 and c’est notre aide matérielle que vous exigez à grands cris, et pas du tout nos missionnaires ? Cette réponse serait trop fa

55 ples. La Russie, c’est barbare encore, mais c’est grand … La vieille Europe aura à compter avec cette jeunesse. L’autre jeunes

56 mérique… L’avenir du monde est là, entre ces deux grands mondes. Et vingt autres, ainsi, y compris Tocqueville, durant tout l

57 ixe siècle, donc bien avant l’ascension des deux grands , qui date exactement de la fin de la dernière guerre, et au plan mond

58 quarante-cinq carrés. Il est donc à lui seul plus grand que les deux autres additionnés. Question : Que signifie ce rectangle

59 ilieu ? Réponse : C’est l’Europe entre les « deux grands  ». Chaque carré représente un million d’habitants. L’Europe à l’ouest

60 lions ; total 430 millions. Tandis que les « deux grands  » ensemble font à peine 400 millions. Ajoutez à cette quantité démogr

61 s, ces échanges, les a institués au lendemain des grandes découvertes, et que seules les techniques qu’elle a su inventer sont

62 illustrer le fédéralisme, c’est peut-être la plus grande tâche dont l’Occident soit responsable à l’égard du tiers-monde comme

63 nc offrir au monde nouveau l’exemple réussi d’une grande fédération. Dans la coïncidence que j’ai relevée entre la fin de notr

64 l’essor de notre économie, il y a sans doute une grande leçon pour le tiers-monde, mais aussi et, peut-être d’abord, pour l’e

65 as frustrer. L’avenir de l’Europe est gagé sur de grands faits géoéconomiques d’une portée désormais mondiale. Il me paraît en

66 s d’éducation sexuelle dans les écoles, enfin les grands débats sur la contraception, l’ensemble de ces traits frappe les ausc

67 chologiques. Mais cela s’est produit dans un très grand désordre, créant de fortes inégalités d’information et par suite de j

68 qu’y trouvaient les auteurs érotiques, que par le grand malentendu né du mot « refoulement », mal compris. Les éducateurs se