1
symbole de la vertu et de la beauté, préfigure l’
idéal
missionnaire qui sera, quinze à vingt siècles plus tard, celui de l’É
2
té mises en pratique et qu’il s’agit d’une Europe
idéale
, qu’on refuse de reconnaître, qui est celle des autres, de l’autre éc
3
usion de sa propre civilisation et de ses propres
idéaux
? Saura-t-il, enfin, prévenir ces affreux accidents de sa santé menta
4
ces administrateurs ne sont partis qu’en vertu d’
idéaux
européens adoptés par l’élite indigène. Ces idéaux, on les retourne c
5
déaux européens adoptés par l’élite indigène. Ces
idéaux
, on les retourne contre nous, et contre nos pratiques trop souvent im
6
nous : tant pis pour nous, et tant mieux pour nos
idéaux
! Je ne les vois, pour ma part, nullement menacés par la décolonisati
7
lonisés. Mais voici le troisième grand fait : nos
idéaux
et nos pratiques ont été diffusés en désordre, sans aucun plan, sans
8
ine décadence morale, et surtout qu’il n’a plus d’
idéal
à opposer aux valeurs neuves et conquérantes du communisme. À cela, j
9
capables d’entraîner le monde et de lui rendre un
idéal
sont celles que représente le communisme russe. Je demande à voir — e
10
nture : à faire le monde en se faisant. Le nouvel
idéal
que réclame la jeunesse, il est là, dans l’Europe fédérée, modèle mon