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t plus quelle est sa juste place dans la cité. On
lui
a donné, au cours du xxe siècle, des moyens formidables de communiqu
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Je reconnais cette situation. Et je l’accepte. Je
lui
trouve une certaine analogie avec la situation du chrétien dans le mo
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t, ni le défaut de « confort » n’a rien pu contre
lui
. Je dis seulement qu’elle va nous jeter dans une époque où les questi
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fique. Celui-ci lit l’histoire des sciences. Elle
lui
fait voir que toutes les « vérités » qu’établissent les écoles succes
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nt relié, et singularisé par la même vocation qui
lui
fait découvrir dans tout homme son prochain. Le narcissisme cultur
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orité intellectuelle et technique que personne ne
lui
contestait. Si, aujourd’hui, les peuples affectés par ses méthodes de
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ous aurez tout le temps, qu’en ferez-vous ? (Mais
lui
, s’il devenait immortel ?) Le problème de l’emploi du temps libre se
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dre ; mais aussi, elle dépasse le monde : rien en
lui
ne peut m’empêcher, ni moi-même, de me la poser. C’est ainsi que notr
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e puisse s’aimer lui-même, il faut qu’il y ait en
lui
dualité entre l’homme naturel et l’homme nouveau, recréé par l’appel
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té du premier tiers du xxe siècle, et même si on
lui
trouvait des parallèles en d’autres temps, ses moyens d’expression, e
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ut ce dont il est signe. Et d’abord, il s’agit de
lui
donner son vrai nom. C’est l’érotisme qui travaille les sociétés occi
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— dont certains esprits aberrants osent parler ?
Lui
dira-t-on qu’il y a bien autre chose que la pédérastie dans Proust, l
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de exactement inverse de celle de Freud, mais qui
lui
est par là même comparable. Entre les siècles du corps et celles de l
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mour commence, l’amour a déjà commencé, car c’est
lui
qui le sait dans toi. À la question fondamentale que pose le Vide :
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personne, la sexualité mérite ce nom d’amour que
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donne l’Occident moderne — quoi qu’en pense la morale moyenne (très r
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ie de science peut-elle réagir devant le vide qui
lui
est révélé lorsqu’elle pose le problème de Dieu ? Dans notre série su
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y arrivez pas. M. Fanon, et J.-P. Sartre derrière
lui
, ont grand tort de crier aux « siècles d’oppression ». Avant de leur
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rovince, je veux dire notre nation », voudrait-on
lui
répéter ; et ce n’est pas ma faute si cette phrase est de Michel Debr
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tin. Chaque géographe en tire d’ailleurs ce qu’il
lui
plaît. C’est ainsi qu’Hippocrate, au ve siècle avant J.-C. explique
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du nom d’Europe. Plus tard, sa religion dominante
lui
viendra du pays le plus proche de ce rivage phénicien d’où avait été
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uis plutôt une vache et pousse-la devant toi sans
lui
laisser de répit : là où elle tombera d’épuisement, bâtis une ville !
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fondateur d’empire — mais pour d’autres… Tout en
lui
, et d’abord son vrai nom qui est Colón, et son prénom Christophe, por
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érité, porteur de l’histoire du monde ! — tout en
lui
me semble illustrer les traits fondamentaux de notre Europe, légendai
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ent né de ses œuvres, mais où deux grands empires
lui
disputent la primauté — l’un avec hostilité, l’autre avec amitié — ta
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it, parce que son Dieu, sa vérité la plus intime,
lui
disait de marcher vers l’inconnu. Il trouva le pays que Dieu lui rése
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archer vers l’inconnu. Il trouva le pays que Dieu
lui
réservait, et ce fut là le terme de son aventure, mais le début d’une
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mme pas autre chose que Colomb et qu’Ulysse avant
lui
: ils partent vers des buts proches ou lointains qu’ils rêvaient avec
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u monde. De là le nom d’hémisphère privilégié que
lui
ont donné les géographes. L’autre moitié du globe, ainsi déterminée,
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d’une table de bistrot ou d’un étalage de marché
lui
permettraient de trouver quelques-uns des secrets (pour nous trop évi
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qui est celle des plans à grande échelle, allait
lui
porter le coup de grâce. Bien au contraire. Le bon usage et la santé
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s — mais aussi aux nouvelles tâches mondiales que
lui
impose la diffusion de sa propre civilisation et de ses propres idéau
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vert la Terre entière, mais surtout parce qu’elle
lui
a donné sa première civilisation effectivement universelle. Cette civ
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lui du milieu quarante-cinq carrés. Il est donc à
lui
seul plus grand que les deux autres additionnés. Question : Que signi
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urs nouvelles capables d’entraîner le monde et de
lui
rendre un idéal sont celles que représente le communisme russe. Je de
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e dont le tiers-monde devrait beaucoup apprendre,
lui
qui veut à tout prix nos belles machines, sans se douter qu’elles peu
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ucun de nos pays n’est plus en mesure d’exercer à
lui
seul, dans le monde actuel. La vocation de l’Europe, aujourd’hui pour
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ppel, comme on dit, mais restent sans pouvoir sur
lui
, et il ne va pas « déborder » pour si peu qu’une augmentation du tira
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titre de l’un des manifestes surréalistes. Freud,
lui
aussi, était parti du rêve pour étudier les ruses de la libido. Et Ju