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he et très sommairement condamné sous les noms de
luxure
et d’impudicité ou de « prostitution spirituelle », l’amour humain de
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es, non pas avec l’instinct ou avec « l’éternelle
luxure
» sans horizon que la pensée des spirituels se trouve aux prises et p
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pervers qui attendent encore leur nom : bref, la
luxure
, anxieuse ou complaisante, sophistiquée ou commerciale, non seulement
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pédérastie dans Proust, l’inceste dans Musil, la
luxure
dans Miller, ou le simple coït dans l’amour ? Il voit ce qui le choqu