1 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
1 qu’un J.-P. Sartre, qui se place au niveau de la morale dans le prolongement des exigences « existentielles » d’une éthique p
2 1960, Arts, articles (1952-1965). Remise en question par l’Afrique et l’Asie, la civilisation occidentale n’a pas encore de successeur (21 septembre 1960)
2 n, une grande libération d’énergie spirituelle et morale , provoquée par l’intégration instantanée de deux réalités radicalemen
3 était le sacré, ce qu’il est encore en Orient. La morale des Anciens est basée sur le rite, et dans le monde magique elle n’es
4 ases invalident, du point de vue spirituel, toute morale codifiée, rituelle ou rationnelle. Elles impliquent, en effet, que la
5 ûment hiérarchisées. Ce puritanisme social, cette morale du service de l’État, fera la grandeur de l’Empire et la pauvreté d’â
6 munauté chrétienne, l’esclave y trouve la dignité morale qui était celle de l’individu selon les Grecs, et l’honneur de servir
3 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
7 dans une Europe travaillée par la doctrine et la morale chrétiennes, séculairement aux prises avec leurs exigences (sans cess
8 t que ce n’est pas de leur faute. Mais de quoi la morale victorienne est-elle morte ? Sans doute et tout d’abord, d’avoir eu p
9 et sous le seul nom d’impureté. C’était vider la morale puritaine de sa vertu, moins religieuse d’ailleurs que civilisatrice.
10 d’adaptation psychologique et de remise en ordre morale et spirituelle devait prendre des siècles, et n’est pas terminé. Car
11 Européen cultivé — homme ou femme — formé par la morale bourgeoise, d’ailleurs croyant ou non, plus ou moins respectueux de l
12 e embrasse plus de réalités psychologiques que la morale bourgeoise ne voulait en connaître, et que le puritanisme n’en tolère
13 ps et celles de l’esprit, entre la biologie et la morale sociale, au-delà des nécessités de l’espèce, mais en deçà du bien et
4 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
14 qu’au vertige de presque toutes les vérités de la morale et de la culture occidentale, avant d’en retrouver quelques-unes mieu
15 ie dans l’individu. Cette règle d’or est la norme morale , par excellence, en tout domaine, bien dans celui de l’érotique que l
16 ui donne l’Occident moderne — quoi qu’en pense la morale moyenne (très rarement codifiée, longuement invétérée) qui forme le c
17 oisie, catholiques, protestants ou laïques. Cette morale tient le sexe pour mauvais en principe. Comme elle sent qu’une telle
18 vitale) elle devient justiciable à la fois de la morale et de l’esprit, comme tout autre élément impliqué dans la synthèse de
5 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
19 èvre nationaliste du tiers-monde, devant la crise morale de l’URSS, l’heure n’est pas de cracher sur nos valeurs, mais de les
6 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
20 nes du point de vue de l’hygiène autant que de la morale . Cette pre­mière explosion de la technique a fait beaucoup plus de ma
7 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
21 er leur accord : c’est la nécessité matérielle et morale de répondre aux appels que le monde nous adresse, par sa faim, par sa
8 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
22 d’entendre que l’Occident est en pleine décadence morale , et surtout qu’il n’a plus d’idéal à opposer aux valeurs neuves et co
9 1965, Arts, articles (1952-1965). Le déferlement de l’érotisme : pour une nouvelle théologie (5-11 mai 1965)
23 de la mode et n’engage pas toujours une politique morale — les cours d’éducation sexuelle dans les écoles, enfin les grands dé
24 n des obstacles sociaux comme des interdits de la morale  ? Va-t-il sombrer dans l’apathie sexuelle, cédant à quelque ruse de l
25 orts déployés par une censure conditionnée par la morale victorienne, préfreudienne. Sur les évolutions que je viens de décrir