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d’abord des idées, sont nées d’œuvres écrites. Le
nationalisme
qui nous étrique et qui paralyse encore le régime des échanges de tou
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e régime des échanges de tout ordre en Europe, le
nationalisme
fut une création d’écrivains, de poètes, hélas ! et de philosophes. C
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l’Orient proche et lointain risquent de faire du
nationalisme
— j’y vois le signe que l’Europe détient encore le sens d’un équilibr
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ais aussi de nos folies les plus contagieuses, le
nationalisme
et la fureur idéologique, ces peuples se sont mis à revendiquer les a
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ou dévasté par les guerres, les dictatures et les
nationalismes
clos, qui représentent ses courts-circuits ; dans la mesure ou se dév
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ne seule et même évolution dialectique : celle du
nationalisme
. Dès la fin du xviiie siècle, les disciples de Rousseau, puis Herder
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oire à découvrir pour leur compte les ivresses du
nationalisme
; d’autre part, ces mêmes guerres ont fait comprendre aux Européens q
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nes de nos folies les plus contagieuses, comme le
nationalisme
, ils se sont mis à revendiquer les avantages de notre civilisation et
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: L’évangile du progrès matériel automatique, un
nationalisme
agressif, voire une haine raciale à peine dissimulée, un utilitarisme
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otentielle. Et ces crimes, qui furent ceux de nos
nationalismes
, du racisme, et, dans une certaine mesure, du colonialisme, exigent d
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pe qui a répandu dans le monde entier le virus du
nationalisme
, dont elle a bien failli périr elle-même à deux reprises. Et ce mal e
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mortel, hérité du xixe siècle. Or, l’antidote du
nationalisme
, du chauvinisme, racial ou partisan, et finalement des dictatures tot