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eoir, parce qu’il n’est pas intégré sans question
ni
contradiction dans la structure sociale, comme ceux qui ont une fonct
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s. La technique ne peut rien faire pour l’Esprit,
ni
le défaut de « confort » n’a rien pu contre lui. Je dis seulement qu’
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nous apporte des pays lointains, sans leur odeur
ni
leur température, sans le goût de leurs vins ni la qualité de leur ai
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r ni leur température, sans le goût de leurs vins
ni
la qualité de leur air : ces « vues » sont donc autant de fausses-nou
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érité et de la sainteté. Dans cet effort sans fin
ni
cesse, il est pourtant soutenu par sa foi dans la grâce. Il est donc
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r des vérités certaines. Dans cet effort sans fin
ni
cesse — ici encore — pour s’approcher d’un but toujours fuyant, il es
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transgression. La faute commise ne peut relever
ni
de l’opinion, ni d’un jury. Elle est plutôt comme une grossière erreu
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La faute commise ne peut relever ni de l’opinion,
ni
d’un jury. Elle est plutôt comme une grossière erreur de calcul, de m
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e du corps magique en lequel se mêlaient sans fin
ni
formes nettes les vivants et les morts, les dieux et les démons. L’in
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re à son point initial, vous n’irez pas plus loin
ni
plus longtemps que la plus extrême galaxie. Mais dans quoi tout cela
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épasse le monde : rien en lui ne peut m’empêcher,
ni
moi-même, de me la poser. C’est ainsi que notre esprit sans relâche v
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tiques et religieuses. Point de méthodes secrètes
ni
de magie sexuelle, point de physiologie du pèlerinage mystique, comme
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n sûr que non. L’instinct ne dépend pas des modes
ni
la nature de la culture — du moins pas si directement. Ce qui se trou
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cran. Ce n’est donc pas le sexe, mais l’érotisme,
ni
la sensualité, mais son aveu public, sa projection devant nous qui so
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e romain, on n’avait plus écrit de poèmes d’amour
ni
de traités de mystiques originaux. La vie sexuelle semblait réduite à
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é, le film et la radio ne laissent plus de délais
ni
d’angles morts. Les effets atteignent nos sens avant que les causes a
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il n’y aurait pas le travail, l’effort organisé,
ni
la technique, qui ont fait le monde actuel. Il n’y aurait pas non plu
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espérance, et je ne vois pas de sens hors d’elle,
ni
d’autres raisons de douter, je veux dire : de chercher jusqu’au bout
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t pas indifférente pour l’esprit. Mais elle n’est
ni
mauvaise ni bonne : en tant que fonction, je la verrais moralement ne
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érente pour l’esprit. Mais elle n’est ni mauvaise
ni
bonne : en tant que fonction, je la verrais moralement neutre. Et cep
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e de ses œuvres, qu’elle a propagée sans prudence
ni
plan d’ensemble, dont elle n’est plus propriétaire, mais dont elle ga
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pas l’incarnation de quelque idée platonicienne,
ni
la démonstration d’un esprit hégélien marchant au pas rythmé de la di
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maine. Voici donc un fait mesurable qui ne dépend
ni
de notre orgueil ni de notre humilité d’Européens, un fait aisément v
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fait mesurable qui ne dépend ni de notre orgueil
ni
de notre humilité d’Européens, un fait aisément vérifiable et dont le
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sent bien que ce ne sont pas des masses informes,
ni
des masses militarisées — la populace ni le despote — qui ont aménagé
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nformes, ni des masses militarisées — la populace
ni
le despote — qui ont aménagé au cours des siècles ces espaces mesurés
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s l’irresponsabilité la plus totale, sans respect
ni
pour leurs cultures ni pour la nôtre. Telle est la situation concrète
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plus totale, sans respect ni pour leurs cultures
ni
pour la nôtre. Telle est la situation concrète de l’Europe dans le mo
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e, que rien ne dépasse et n’atteint même de loin,
ni
en Orient, ni en Afrique, indiquent une renaissance et non une décade
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dépasse et n’atteint même de loin, ni en Orient,
ni
en Afrique, indiquent une renaissance et non une décadence. Mais il y