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(qu’il soit appelé loisir ou travail). 3. Je ne
parle
pas ici de la télévision, qui nous apporte des pays lointains, sans l
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ment tenus pour des causes de faiblesse : je veux
parler
d’une inquiétude fondamentale et d’un désordre permanent. Les Chinois
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pèce d’inquiétude essentielle. Nous ne cessons de
parler
du « désarroi de l’époque ». Nous avons l’impression de vivre dans un
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de la vie, voyons ce qui se passe aux antipodes,
parlons
avec des invisibles, tuons à grande distance, et dialoguons avec la l
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yeux sur la réalité même du sexe : interdit d’en
parler
, sauf du haut de la chaire, et sous le seul nom d’impureté. C’était v
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ains troubles par cela justement dont nul n’osait
parler
. Brochant sur la mauvaise conscience d’une bourgeoise qui n’avait plu
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e trouve libéré c’est l’expression, la manière de
parler
des choses de l’amour, de spéculer à leur propos ou de les montrer su
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spirituel — dont certains esprits aberrants osent
parler
? Lui dira-t-on qu’il y a bien autre chose que la pédérastie dans Pro
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viens de passer deux mois aux États-Unis. On n’y
parle
que du miracle européen. Journaux, hebdos, revues, gros livres, milie
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e, la rendit possible, voire inévitable : je veux
parler
de l’état d’arriération économique, sociale et politique des régions
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bien s’être inspiré dans le passage fameux où il
parle
de l’Europe comme « d’une sorte de cap du vieux continent, d’un appen
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oir, mais aussi Hérodote, Platon et Aristote nous
parlent
déjà d’une Europe et la contrastent même avec l’Asie, mais cette Euro
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place digne du nom : le café. C’est là qu’elle se
parle
d’abord, s’écrit bien souvent, et se lit. C’est dans les cafés de Hol
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ise, et que l’Orient n’a jamais connu ? Le prêtre
parle
, entonne, et le peuple répond, et le chœur chanté, et dans l’église,
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ouvantent aujourd’hui. (Seulement, la presse n’en
parlait
pas, et ses effets se sont étalés sur un siècle.) Mais en développant
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de cette année : Au Cambodge, toute la jeunesse
parle
le français, alors que dans la génération des hommes de quarante à ci
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blicité, et le succès de vente des auteurs qui en
parlent
. Il est donc en partie mesurable. En revanche, la décadence de l’amou
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ateurs de notre époque, au point que certains ont
parlé
d’une révolution dans les mœurs. C’est beaucoup dire pour un peu plus
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pays de l’Occident. En revanche, nos manières de
parler
des choses du sexe et de l’érotisme ont entièrement changé en un demi
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u sexe au biologiste, l’écrivain peut commencer à
parler
quand il s’agit d’érotisme, il devient éloquent quand il s’agit de pa
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loin de Fourier, qui fut le premier, je crois, à
parler
d’une « question sexuelle » durant le premier tiers du xixe . (Il ava