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certainement. Et l’on sait, d’autre part, que la
passion
pour l’occulte ne cesse de grandir dans nos villes, occupant rapideme
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s large de l’interpréter, la science avance. La
passion
de la recherche L’Oriental pose la question de savoir si l’Occiden
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nomme érotisme, englobant le mariage d’amour, la
passion
mystique de Tristan et la licence impie de Don Juan (l’une au-delà et
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e Clairvaux et la mystique d’amour, Héloïse et la
passion
vécue, Tristan et la passion rêvée, le culte de la Dame et le culte d
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amour, Héloïse et la passion vécue, Tristan et la
passion
rêvée, le culte de la Dame et le culte de la Vierge, les hérésies gno
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tine : la pariade primitive, ou, au contraire, la
passion
la plus insolite, exaltées comme étant la vraie pureté ; le sadisme e
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érotiques l’oublient très naïvement, tout à leur
passion
poétique ou moraliste retournée, qui leur cache trop souvent les fact
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iques. Ainsi l’extrême de l’amour cognitif, de la
passion
de savoir, d’inventer le savoir et d’y soumettre la pensée, poussé ju
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ut plus grand-chose. Ils n’en feront rien, car la
passion
ne s’embarrasse pas de faits et leur passion veut la mort du pécheur,
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r la passion ne s’embarrasse pas de faits et leur
passion
veut la mort du pécheur, qui est uniquement l’Européen, comme chacun
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lus ancienne poésie grecque symbolise au mieux la
passion
qui anime cette aventure sans précédent : l’Ulysse homérique, le pers
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et les Scyllas des excès contraires, telle est la
passion
maîtresse d’Ulysse et ce sera, identiquement, la passion des grands c
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maîtresse d’Ulysse et ce sera, identiquement, la
passion
des grands créateurs de la culture occidentale. L’Occidental est l’ho
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lisation de discussion et de contestation dont la
passion
maîtresse paraît bien être la remise en question permanente des donné
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esoins nouveaux, une consommation stupéfiante, la
passion
du bizarre, des prétentions à l’exclusivité dans le domaine religieux
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avent distinguer la sexualité de l’érotisme et la
passion
de l’amour vrai ? Cette turbulence de défis parfois sadiques, de préj
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’érotisme, il devient éloquent quand il s’agit de
passion
(tout le romantisme de la Nouvelle Héloïse au milieu du xxe siècle),
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ur fin, non comme moyen de l’acte procréateur. La
passion
est le désir infini, lié à un individu. Et l’amour est la fin suprême
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peut donc pas être l’instinct, et ce n’est pas la
passion
, on le sait de reste. C’est l’érotisme, c’est-à-dire l’usage non biol
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ature à la culture, l’instinct à l’hygiène et aux
passions
, et la procréation à la création ou au plaisir cultivé pour lui-même,