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é pour les questions religieuses n’aura été qu’un
phénomène
transitoire de notre civilisation occidentale. (Voir plus haut ce que
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ur l’Amour. Dans cet ensemble infiniment varié de
phénomènes
que l’Europe seule a désigné par le seul et même terme d’amour, consi
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e d’influence du christianisme. C’est pourquoi le
phénomène
que je nomme érotisme, englobant le mariage d’amour, la passion mysti
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a chrétienté ». On ne saurait donc interpréter ce
phénomène
— dans son évolution au cours des siècles et dans sa situation contem
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ier l’omniprésence de l’appel au désir sexuel. Ce
phénomène
mille fois décrit n’en demeure pas moins stupéfiant par sa soudaineté
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les chances pratiques de l’érotisme. Déplorer le
phénomène
est donc vain. Il s’agit de comprendre ses causes, et sur tout ce don
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est là qu’on peut voir apparaître le sens réel du
phénomène
que j’ai rappelé, et qui n’est guère en soi que l’écume d’une vague p
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ent l’amour, la littérature érotique réagit à des
phénomènes
qu’elle n’a pas provoqués, qui la dépassent, mais dont elle tente de
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lus générale encore qui embrasserait à la fois le
phénomène
humain, les lois cosmiques, et l’amour créateur. Théorie de l’amour u
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éjà la possibilité d’une explication unitaire des
phénomènes
énergétiques et magnétiques, mais elle met que l’affectif demeure pou
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ialisante. Car cela revient en somme à définir le
phénomène
européen par ses effets, alors qu’on s’est toujours efforcé jusqu’ici
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conomiques ou démographiques. Ce que j’appelle le
phénomène
européen se signale, dans l’histoire du monde, par quelques traits ab
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tandis que l’inverse ne s’est jamais produit. Le
phénomène
unique au monde que dénotent ces constatations — tellement simples et
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me paraissent les avoir négligées jusqu’ici — ce
phénomène
européen sans précédent et sans parallèle dans l’histoire, nous n’arr
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ve simplement insuffisantes pour rendre compte du
phénomène
dans ce qu’il a de spécifique.) Certes, le découpage profond des côte
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ns donc, de cette rapide enquête sur la genèse du
phénomène
Europe, le christianisme. Mais non sans nous poser cette question dif
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e en plein mystère. Et les autres explications du
phénomène
européen par des données physiques et matérielles nous laissent en pl
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ucune n’apparaît suffisante pour rendre compte du
phénomène
global que l’histoire nous oblige à constater : la fonction mondiale
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ondiale de l’Europe. Décrivons donc maintenant ce
phénomène
tel qu’il apparaît dans les faits. Ce n’est pas le déroulement logiqu
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itude constante devant la vie. L’explication d’un
phénomène
par ses causes a dominé notre xixe siècle, mais c’était aux dépens d
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e, mais c’était aux dépens de la compréhension du
phénomène
lui-même, qu’on voyait mal. Le xxe siècle a découvert qu’un phénomèn
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u’on voyait mal. Le xxe siècle a découvert qu’un
phénomène
, individuel ou collectif, ne pouvait être bien saisi que dans son mou
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es liens latéraux de cause à effet entre les deux
phénomènes
, ou si plutôt, comme je le crois, ils ne résultent pas tous les deux
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de la littérature. Quelles sont les causes de ce
phénomène
? En voici trois, prises à dessein dans des domaines absolument indép
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estent les disciplines contraceptives et certains
phénomènes
encore très mal connus de réduction spontanée d’une espèce, que certa
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u plaisir cultivé pour lui-même, donc stérile. Ce
phénomène
qui va sans doute se généraliser en Occident correspondrait pour l’es