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e est un proton. Cet ultime substrat de l’univers
physique
est un « nœud d’énergie » qui se produit dans un « champ » au sein du
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s ou aberrants. D’un côté, le rite et les sévices
physiques
, qui règlent tout ; de l’autre, les problèmes et les tortures morales
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puis des siècles entre l’esprit et la matière, le
physique
et le spirituel — dont certains esprits aberrants osent parler ? Lui
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t, que l’on nomme énergie ou désir, selon l’ordre
physique
ou animique. Et cela seul donne un sens à tout : au vide cosmique où
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er la possession. Mais s’il précède le désir dit
physique
, je crois que l’amour émotif animique n’apparaît pas sans que l’ait é
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laisir sexuel, troisième forme de l’amour est dit
physique
, encore que nous sachions très bien que le sexe est lié comme nulle a
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on et sa tendance générale en partant des données
physiques
et naturelles de notre petit continent, comme le veut une pensée héri
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r leurs conquérants, Huns ou Mongols ? Les causes
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et naturelles ne pouvant rendre compte des destins de l’Europe, faudr
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xplications du phénomène européen par des données
physiques
et matérielles nous laissent en pleine ambiguïté : ces données ont ag
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amentaux de notre Europe, légendaire, historique,
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, païenne et chrétienne à la fois : l’homme du mythe, le marin, le che
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ant naturellement l’Europe par E, sa petite masse
physique
par m, et sa culture par c. E = mc2 se lit alors comme suit : Europe
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accidents de sa santé mentale et de son existence
physique
que symbolise, sur la place du village, un monument qui réintroduit d
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e est connue désormais dans toutes ses dimensions
physiques
, nous ne pouvons plus faire d’erreurs de cette taille ; son histoire
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ues et au cinéma, les scènes obligées « d’amour »
physique
dans les romans de série, noire ou autre, la suppression des « pudeur