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vant cette même crise endocrine, le christianisme
puritain
se contente de conseils moraux très sévères et de conseils d’hygiène
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s cultures totalitaires (ou dirigées) normalement
puritaines
seront bientôt débordées. Au surplus, l’accroissement quantitatif et
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s le seul nom d’impureté. C’était vider la morale
puritaine
de sa vertu, moins religieuse d’ailleurs que civilisatrice. D’où l’ef
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bien que la littérature contemporaine méprise les
puritains
et les tient pour des fous à la fois ridicules et dangereux. Mais je
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ns la discipline sexuelle que les tendances dites
puritaines
ont su nous imposer dès les débuts de l’Europe, il n’y aurait rien de
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érielle, à la production socialisée. Et cela, nos
puritains
l’oublient non moins souvent. La littérature érotique embrasse plus d