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it que l’Europe n’avait pas créé, et qui, loin de
résulter
de la colonisation, comme M. Fanon le répète, la rendit possible, voi
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naissante — le Marché commun n’a que deux ans — a
résulté
presque aussitôt une prospérité stupéfiante. L’Europe n’est pas « fin
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ent ou en guerre ouverte. L’Europe et sa culture
résulteront
de cette fusion jamais achevée, toujours instable, et dont la grande
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e doctrine prétendument totale et unitaire, il en
résulte
guerres, révolutions, massacres, explosions d’anarchie suivies de dic
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énomènes, ou si plutôt, comme je le crois, ils ne
résultent
pas tous les deux d’une seule et même évolution dialectique : celle d
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ucun plan, sans nulle sagesse régulatrice. Il en
résulte
deux séries de conséquences qui risquent d’être aussi fâcheuses pour
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dait l’Europe responsable de tous les maux qui en
résultent
, et de la reviviscence, en Asie et en Afrique, de ce qu’il appelait «