1 1960, Arts, articles (1952-1965). Remise en question par l’Afrique et l’Asie, la civilisation occidentale n’a pas encore de successeur (21 septembre 1960)
1 posées à refuser les dons ambigus. Mais l’Europe, responsable de l’idée du Progrès, est responsable aussi de sa rectification. Tout
2 s l’Europe, responsable de l’idée du Progrès, est responsable aussi de sa rectification. Toutes les « hérésies du Progrès » sont be
3 ient donc un paradoxe vivant : à la fois libre et responsable , vraiment distinct et vraiment relié, et singularisé par la même voca
2 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
4 sociale a été lente à s’éveiller dans les élites responsables . La première révolution industrielle, celle qui tirait son énergie du
3 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
5 civilisation, nous le savons tous, est tenue pour responsable , à tort ou à raison, d’autant de méfaits que de bienfaits. Mais ceci
6 a fait l’Occident, ce professeur rendait l’Europe responsable de tous les maux qui en résultent, et de la reviviscence, en Asie et
7 nse serait trop facile, car nous sommes largement responsables des erreurs que commet le tiers-monde quand il nous juge. Ce ne sont
4 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
8 e cette vocation assumée par ceux qui en sont les responsables — et d’autre part, de la puissance d’autres cultures ou civilisations
9 passé récent dont le tiers-monde nous tient pour responsables . Car cette faiblesse ne traduit rien qu’une division de nos forces —
10 on passé et son expérience, la rendent doublement responsable — au sens actif du mot, cette fois — d’assumer face au monde une voca
11 ut-être la plus grande tâche dont l’Occident soit responsable à l’égard du tiers-monde comme de lui-même. Car c’est l’Europe qui a