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posées à refuser les dons ambigus. Mais l’Europe,
responsable
de l’idée du Progrès, est responsable aussi de sa rectification. Tout
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s l’Europe, responsable de l’idée du Progrès, est
responsable
aussi de sa rectification. Toutes les « hérésies du Progrès » sont be
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ient donc un paradoxe vivant : à la fois libre et
responsable
, vraiment distinct et vraiment relié, et singularisé par la même voca
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sociale a été lente à s’éveiller dans les élites
responsables
. La première révolution industrielle, celle qui tirait son énergie du
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civilisation, nous le savons tous, est tenue pour
responsable
, à tort ou à raison, d’autant de méfaits que de bienfaits. Mais ceci
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a fait l’Occident, ce professeur rendait l’Europe
responsable
de tous les maux qui en résultent, et de la reviviscence, en Asie et
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nse serait trop facile, car nous sommes largement
responsables
des erreurs que commet le tiers-monde quand il nous juge. Ce ne sont
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e cette vocation assumée par ceux qui en sont les
responsables
— et d’autre part, de la puissance d’autres cultures ou civilisations
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passé récent dont le tiers-monde nous tient pour
responsables
. Car cette faiblesse ne traduit rien qu’une division de nos forces —
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on passé et son expérience, la rendent doublement
responsable
— au sens actif du mot, cette fois — d’assumer face au monde une voca
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ut-être la plus grande tâche dont l’Occident soit
responsable
à l’égard du tiers-monde comme de lui-même. Car c’est l’Europe qui a