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n, ou de la recherche, et surtout de la politique
écologique
— quelle politique en soi est-elle imaginable ? Toutes les réalités s
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ues d’aujourd’hui. Prenons l’exemple des réalités
écologiques
. Dès lors que les hypothèses calculées sur les trois prochaines décen
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phénomène socioéconomique, ethnique, culturel ou
écologique
, en liaison plus ou moins étroite avec une aire géographique qui vari
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es économiques actuels ou potentiels, des entités
écologiques
, créant d’un côté de la frontière des minorités brimées (Sud-Tyrol, V
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ons économiques, et moins encore avec les régions
écologiques
. La volonté stato-nationale de faire coïncider ces entités hétérogène
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problèmes régionaux — qu’ils soient économiques,
écologiques
ou éducatifs — sont liés en fait à des problèmes continentaux. Une co
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concertation (économique, sociale, hospitalière,
écologique
, éducative, des transports, etc.). — des agences européennes (relevan
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de communes. (Elles seraient abonnées à la région
écologique
, par exemple, comme un particulier est abonné au gaz, à l’électricité
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elon la fonction, économique, sociale, éducative,
écologique
, énergétique, etc. Ce qui me conduit à écrire en conclusion de mon ra
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ladies de l’air, des eaux, des sols, catastrophes
écologiques
, famines continentales, — accroissement rapide de l’écart entre le ni
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ention des guerres nucléaires et des catastrophes
écologiques
. Le seul remède aux trop petites dimensions, il faut le voir dans la
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hniques ou sociaux, économiques ou linguistiques,
écologiques
ou politiques. Mais si l’on considère l’ensemble de ces « cas spéciau
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utures centrales nucléaires : autant de problèmes
écologiques
qui ne connaissent pas de frontières politiques, et qui appellent des
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aines que j’ai cités : socioéconomique, culturel,
écologique
, universitaire. Ces liens à travers les frontières et avec les autres
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’occupant des transports, de l’énergie, des plans
écologiques
continentaux, des recherches scientifiques, de la coopération univers
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ui servir par exemple de relais, de planification
écologique
ou culturelle, ou d’instances d’arbitrage économique. Pour franchir l
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temps de faire tout cela, avant les catastrophes
écologiques
, économiques et nucléaires que tout annonce ? À cela je répondrai par
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problème politique, social, culturel, économique,
écologique
de l’Europe — et de l’Occident tout entier — se ramène à cela : — com
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es et de ses virtualités frustrées. Les problèmes
écologiques
, économiques, énergétiques, éducatifs, sociaux et culturels se multip
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its dans la logique des choses. Car les problèmes
écologiques
que la bipartition nationale du bassin lémanique a empêché jusqu’ici
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ité possible et vivement souhaitable d’une région
écologique
d’un seul tenant, qui ne tiendrait pas plus compte de la frontière qu
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on radicalement différent, non pas économique, ni
écologique
, ni énergétique, ni éducatif, mais social, moral et en dernière analy
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s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques,
écologiques
ou sociales. Et voilà qui représente bien plus qu’une mesure opportun
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le permettre une lutte efficace contre les périls
écologiques
qui menacent notre continent (pollution du Rhin, de la Méditerranée,
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création de régions fonctionnelles (économiques,
écologiques
, ethno-culturelles, énergétiques, etc.) nécessairement transfrontaliè
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of life, ainsi qu’à leurs données géohistoriques,
écologiques
et ethno-culturelles. La vraie modernité pour l’Europe pourrait offri