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fficile, pour un débutant, de passer inaperçu des
éditeurs
. La multiplication des prix littéraires pousse non seulement à la réd
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ne sont pas engagés par contrat avec au moins un
éditeur
devient infime. Dans ces conditions, un Prix européen réservé aux seu
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nuscrits encore inédits mais déjà acceptés par un
éditeur
— ils étaient admis cette fois-ci par le règlement modifié, et ce fur
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és aussitôt par les guildes, puis par de nombreux
éditeurs
en diverses langues, ont été révélés de la sorte à un très vaste publ
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0 journaux. — Première réunion du Pool européen d’
éditeurs
. 1957. Réorganisation des conseils, fondus en un seul conseil de di
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Pool européen d’
éditeurs
(février 1958)bp Communiqué de presse du 27 mai 1957 Genève. — So
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entre européen de la culture, un groupe de grands
éditeurs
d’Allemagne (Ullstein), d’Espagne (Aguado), de France (Plon) et de Gr
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l’association aura été complétée par l’adhésion d’
éditeurs
italiens, hollandais et scandinaves. Le Centre européen de la culture
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ection européenne, publiée simultanément par sept
éditeurs
de premier rang, dans autant de pays et de langues. Il s’agissait de
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ys et de langues. Il s’agissait de convaincre ces
éditeurs
de former, à cet effet, un pool ayant pour premier but la publication
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n les directives d’un comité comprenant trois des
éditeurs
associés et un représentant du Centre. Des éditeurs de Suède, de Hol
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teurs associés et un représentant du Centre. Des
éditeurs
de Suède, de Hollande, d’Italie et du Portugal ont manifesté depuis l
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mps. bp. Rougemont Denis de, « Pool européen d’
éditeurs
», Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, février 1958, p
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urs de festivals, instituteurs et universitaires,
éditeurs
, ingénieurs, médecins, juristes : les questions qui peuvent les group
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ns le domaine du livre. Depuis que je connais les
éditeurs
, je les entends parler de la crise du livre ; je les entends répéter
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rce qu’il ne ressemble pas aux « succès » que ces
éditeurs
ont connus jusqu’à présent. Il semblerait, à les en croire, que le pu
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le, et qui ont pris l’habitude de lire. Quant aux
éditeurs
, absolument hostiles au projet, ils déclarèrent que l’aventure échoue
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s de 2 millions de lecteurs nouveaux, ce dont les
éditeurs
et libraires classiques ne peuvent que se féliciter. Il convient de s
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cants et distributeurs de ces moyens de culture —
éditeurs
, dirigeants et producteurs de la radio et de la télévision — assument
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ose les intérêts communs. Quant au problème de l’
éditeur
, il consiste d’abord à découvrir ce qui est valable et neuf dans l’ab
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’agit d’une association qui groupe actuellement 8
éditeurs
, représentant non pas leur pays mais leur langue42. Les objectifs de
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celui des auteurs traitant de l’Europe, celui des
éditeurs
désireux de les publier, et celui des institutions qui agissent à la
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nes apparaissent contradictoires. Tout l’art de l’
éditeur
consiste à concilier les exigences de la qualité et celles de la vent
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ncipales langues, moyennant un seul contrat ; aux
éditeurs
, la garantie que les ouvrages choisis bénéficieront du prestige et de
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es de presse ; juristes, historiens, sociologues,
éditeurs
, ingénieurs, cinéastes, hygiénistes, pédagogues, sportifs même… Nous
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cident du moins) : instituts, fondations, revues,
éditeurs
, bourses d’études, colloques, suffisent en général pour la demande ex
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er tout cela pose un autre problème, et c’est aux
éditeurs
qu’on voudrait demander de se montrer plus difficiles. Trop d’ouvrage
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e l’indifférence ou la méfiance systématique. Les
éditeurs
auraient tout avantage à connaître ce qui s’est fait jusqu’à présent
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r désormais. La première fut de limiter à un seul
éditeur
par langue la qualité de membre du pool. En effet, la variété des pub
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ns, ne convenait pas aux programmes de chacun des
éditeurs
membres. Les uns se trouvaient outillés pour publier de grands ouvrag
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’Histoire de l’Europe et du génie européen (par l’
éditeur
Robert Laffont, à Paris)53 — ont d’ailleurs démontré la rentabilité d
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formule de coopération organisée. Quatre ou cinq
éditeurs
par langue, au lieu d’un seul ; un groupe de conseillers aux compéten
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ents de chambres de commerce, députés et préfets,
éditeurs
et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
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ne fois de plus, protestons contre la coutume des
éditeurs
français qui croient bon d’améliorer les titres originaux : le livre
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ssaut » n’exprime guère que l’idée banale que nos
éditeurs
se font du « dynamisme ». 122. Grasset, Paris, 1972. 123. C’est moi
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user, le plus respecté et le plus respectable des
éditeurs
suisses, ont dû sacrifier à la préparation de ce livre de fête une pa