1
epuis 1947 dans les 16 pays du CE et en Suisse, s’
élève
à 491. Leur tirage total a légèrement dépassé 3 millions d’exemplaire
2
t assuré par la musique russe nouvelle, œuvre des
élèves
de Rimski-Korsakov, par Scriabine et par Stravinsky en premier lieu.
3
esse prédomine, et avec elle la froideur des bons
élèves
. » ⁂ L’opéra célèbre du compositeur américain Gershwin, Porgy and Bes
4
et les morts favorables), on cherche à donner à l’
élève
les moyens intellectuels de se débrouiller dans la société, et l’on d
5
utres graduations que celles qu’impose l’âge de l’
élève
. Le fait que, malgré tout, certaines études demeurent encore difficil
6
demeurent encore difficilement accessibles à des
élèves
pauvres, se voit dénoncé comme antidémocratique. Peut-on ramener tous
7
sif aboutit à ne plus rien imposer du tout. Si un
élève
déclare qu’il n’a pas envie de faire de l’arithmétique ce matin (et q
8
gnement tendent régulièrement à économiser pour l’
élève
l’effort de l’intelligence, de la mémoire et de l’attention. Elles on
9
’ironie : personne n’en tire bénéfice, même pas l’
élève
le plus ignare, car il voit son ignorance acceptée comme la norme ! Q
10
f est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’
élève
qui a réussi ses épreuves de sortie (après dix ans d’école) peut entr
11
igoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’
élève
n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facultatifs, ni
12
système américain, lui aussi, livre finalement l’
élève
à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieu
13
primaires et secondaires) peuvent exercer sur des
élèves
de 10 à 16 ans, en s’inspirant dans leur enseignement d’une vision pl
14
ent, le CEC a organisé : — une enquête auprès des
élèves
des écoles au début de l’année ; — cinq conférences sur l’Europe, sui
15
sur l’Europe à plusieurs centaines de milliers d’
élèves
de six pays. La tâche si importante de réviser les manuels d’histoire
16
ste, l’œuvre de Curcio n’est pas que cela. Elle s’
élève
tout naturellement, dans ses conclusions, à la hauteur d’un manifeste
17
enquêtes scolaires ont touché 880 maîtres et 4664
élèves
, en Suisse, en France et en Belgique. Les enquêtes sociologiques ont
18
t que le maître inscrive au bas d’une rédaction d’
élève
qu’il veut louer : « Bon travail, idées originales et style personnel
19
sif aboutit à ne plus rien imposer du tout. Si un
élève
déclare qu’il n’a pas envie de faire de l’arithmétique ce matin (et q
20
gnement tendent régulièrement à économiser pour l’
élève
l’effort de l’intelligence, de la mémoire et de l’attention. Elles on
21
’ironie : personne n’en tire bénéfice, même pas l’
élève
le plus ignare, car il voit son ignorance acceptée comme la norme ! Q
22
f est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’
élève
qui a réussi ses épreuves de sorties (après dix ans d’école) peut ent
23
igoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’
élève
n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facultatifs, ni
24
système américain, lui aussi, livre finalement l’
élève
à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieu
25
et l’hygiène mentale. Quand vous exigerez de vos
élèves
une certaine immobilité pendant les leçons, que ce soit donc non pas
26
en général. (De celui qui parle bien, les autres
élèves
disent : « Il raffine ! ») 2° La plupart des instituteurs suisses son
27
é — disons de diversité — dans la préparation des
élèves
. Mais elle ne doit pas perdre de vue, pour autant, la nécessité fonda
28
tu civique : ce que l’on vise à développer chez l’
élève
, c’est la « personnalité… qui, en grandissant, accède à des responsab
29
re — on se plaint de l’indifférence politique des
élèves
et de leur apathie civique. Cette constatation signifie que le régime
30
ent payer ses impôts ? Et surtout, il apprend à l’
élève
comment chercher à comprendre les problèmes généraux et comment discu
31
nt totalitaire. Il s’agit partout de convaincre l’
élève
que la Russie a la forme la plus parfaite de « démocratie », et que t
32
-être et le bonheur ». Et l’on doit inculquer aux
élèves
que la situation malheureuse de la jeunesse de l’Ouest « résulte de l
33
a fait voir : 1° Un désintéressement flagrant des
élèves
pour la chose publique et leçons qui s’y rapportent ; 2° Une carence
34
qu’ils feraient bien d’orienter l’esprit de leurs
élèves
: ils seraient tout à fait sûrs, alors d’être écoutés avec passion, e
35
entre ces matières et la préparation civique des
élèves
. Mais que l’on en vienne à s’occuper aussi, dans le même cadre, de l’
36
ulement recevoir, c’est aussi donner. L’enfant, l’
élève
, le futur citoyen, commence normalement par recevoir, c’est-à-dire pa
37
éen est double : il doit d’une part inculquer à l’
élève
les lois et conventions de la vie sociale et communautaire, mais d’au
38
munautaire, mais d’autre part, il doit préparer l’
élève
à agir librement, selon son jugement, une fois sorti de l’école. Il d
39
Mais cet apprentissage ne sera efficace que si l’
élève
est initié à quelques rudiments des techniques artistiques qui ont pe
40
trer cela sans relâche et en toute occasion à vos
élèves
, ce n’est pas seulement faire de l’histoire honnête, après un siècle
41
res étrangères doive se proposer « d’inspirer à l’
élève
le respect des peuples étrangers » comme le dit une directive pédagog
42
pas politique. Ce qu’il s’agit ici d’inspirer à l’
élève
, c’est le respect des auteurs, s’ils le méritent, et non des peuples.
43
née au même moment, dans le même milieu). Si je m’
élève
contre ces expressions (« respect des peuples », « apports des pays »
44
s heures pour trois classes en 1960). Mais chaque
élève
a le droit de préférer une autre langue, chaque maître peut refuser d
45
nt à reprendre à partir des réalités proches de l’
élève
, donc régionales, alors qu’elles sont axées depuis un siècle sur les
46
commençant par les régions où la circulation des
élèves
et des enseignants apparaît virtuellement la plus forte. (Ces régions
47
de frontières politiques, voilà un fait que tout
élève
du degré primaire ou secondaire saisit du premier coup d’œil. D’autre