1 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
1 epuis 1947 dans les 16 pays du CE et en Suisse, s’ élève à 491. Leur tirage total a légèrement dépassé 3 millions d’exemplaire
2 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
2 t assuré par la musique russe nouvelle, œuvre des élèves de Rimski-Korsakov, par Scriabine et par Stravinsky en premier lieu.
3 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
3 esse prédomine, et avec elle la froideur des bons élèves . » ⁂ L’opéra célèbre du compositeur américain Gershwin, Porgy and Bes
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
4 et les morts favorables), on cherche à donner à l’ élève les moyens intellectuels de se débrouiller dans la société, et l’on d
5 utres graduations que celles qu’impose l’âge de l’ élève . Le fait que, malgré tout, certaines études demeurent encore difficil
6 demeurent encore difficilement accessibles à des élèves pauvres, se voit dénoncé comme antidémocratique. Peut-on ramener tous
7 sif aboutit à ne plus rien imposer du tout. Si un élève déclare qu’il n’a pas envie de faire de l’arithmétique ce matin (et q
8 gnement tendent régulièrement à économiser pour l’ élève l’effort de l’intelligence, de la mémoire et de l’attention. Elles on
9 ’ironie : personne n’en tire bénéfice, même pas l’ élève le plus ignare, car il voit son ignorance acceptée comme la norme ! Q
10 f est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’ élève qui a réussi ses épreuves de sortie (après dix ans d’école) peut entr
11 igoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’ élève n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facultatifs, ni
12 système américain, lui aussi, livre finalement l’ élève à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieu
5 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
13 primaires et secondaires) peuvent exercer sur des élèves de 10 à 16 ans, en s’inspirant dans leur enseignement d’une vision pl
14 ent, le CEC a organisé : — une enquête auprès des élèves des écoles au début de l’année ; — cinq conférences sur l’Europe, sui
6 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
15 sur l’Europe à plusieurs centaines de milliers d’ élèves de six pays. La tâche si importante de réviser les manuels d’histoire
7 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
16 ste, l’œuvre de Curcio n’est pas que cela. Elle s’ élève tout naturellement, dans ses conclusions, à la hauteur d’un manifeste
8 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Neuf expériences d’éducation européenne [Introduction] (décembre 1959)
17 enquêtes scolaires ont touché 880 maîtres et 4664 élèves , en Suisse, en France et en Belgique. Les enquêtes sociologiques ont
9 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
18 t que le maître inscrive au bas d’une rédaction d’ élève qu’il veut louer : « Bon travail, idées originales et style personnel
19 sif aboutit à ne plus rien imposer du tout. Si un élève déclare qu’il n’a pas envie de faire de l’arithmétique ce matin (et q
20 gnement tendent régulièrement à économiser pour l’ élève l’effort de l’intelligence, de la mémoire et de l’attention. Elles on
21 ’ironie : personne n’en tire bénéfice, même pas l’ élève le plus ignare, car il voit son ignorance acceptée comme la norme ! Q
22 f est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’ élève qui a réussi ses épreuves de sorties (après dix ans d’école) peut ent
23 igoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’ élève n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facultatifs, ni
24 système américain, lui aussi, livre finalement l’ élève à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieu
25 et l’hygiène mentale. Quand vous exigerez de vos élèves une certaine immobilité pendant les leçons, que ce soit donc non pas
26 en général. (De celui qui parle bien, les autres élèves disent : « Il raffine ! ») 2° La plupart des instituteurs suisses son
27 é — disons de diversité — dans la préparation des élèves . Mais elle ne doit pas perdre de vue, pour autant, la nécessité fonda
10 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
28 tu civique : ce que l’on vise à développer chez l’ élève , c’est la « personnalité… qui, en grandissant, accède à des responsab
29 re — on se plaint de l’indifférence politique des élèves et de leur apathie civique. Cette constatation signifie que le régime
30 ent payer ses impôts ? Et surtout, il apprend à l’ élève comment chercher à comprendre les problèmes généraux et comment discu
31 nt totalitaire. Il s’agit partout de convaincre l’ élève que la Russie a la forme la plus parfaite de « démocratie », et que t
32 -être et le bonheur ». Et l’on doit inculquer aux élèves que la situation malheureuse de la jeunesse de l’Ouest « résulte de l
11 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Campagne pour l’Europe des citoyens (septembre 1964)
33 a fait voir : 1° Un désintéressement flagrant des élèves pour la chose publique et leçons qui s’y rapportent ; 2° Une carence
12 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
34 qu’ils feraient bien d’orienter l’esprit de leurs élèves  : ils seraient tout à fait sûrs, alors d’être écoutés avec passion, e
13 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
35 entre ces matières et la préparation civique des élèves . Mais que l’on en vienne à s’occuper aussi, dans le même cadre, de l’
36 ulement recevoir, c’est aussi donner. L’enfant, l’ élève , le futur citoyen, commence normalement par recevoir, c’est-à-dire pa
37 éen est double : il doit d’une part inculquer à l’ élève les lois et conventions de la vie sociale et communautaire, mais d’au
38 munautaire, mais d’autre part, il doit préparer l’ élève à agir librement, selon son jugement, une fois sorti de l’école. Il d
39 Mais cet apprentissage ne sera efficace que si l’ élève est initié à quelques rudiments des techniques artistiques qui ont pe
40 trer cela sans relâche et en toute occasion à vos élèves , ce n’est pas seulement faire de l’histoire honnête, après un siècle
14 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
41 res étrangères doive se proposer « d’inspirer à l’ élève le respect des peuples étrangers » comme le dit une directive pédagog
42 pas politique. Ce qu’il s’agit ici d’inspirer à l’ élève , c’est le respect des auteurs, s’ils le méritent, et non des peuples.
43 née au même moment, dans le même milieu). Si je m’ élève contre ces expressions (« respect des peuples », « apports des pays »
15 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
44 s heures pour trois classes en 1960). Mais chaque élève a le droit de préférer une autre langue, chaque maître peut refuser d
45 nt à reprendre à partir des réalités proches de l’ élève , donc régionales, alors qu’elles sont axées depuis un siècle sur les
46 commençant par les régions où la circulation des élèves et des enseignants apparaît virtuellement la plus forte. (Ces régions
47 de frontières politiques, voilà un fait que tout élève du degré primaire ou secondaire saisit du premier coup d’œil. D’autre