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les aider. La machine n’absorbe-t-elle pas plus d’
énergie
qu’elle n’en transmet ? Cela devrait se calculer, semble-t-il. Mais l
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orps, presque immobiles, rassemblent toutes leurs
énergies
… Mais laissons ces images et voyons le concret de notre situation.
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s possibilités, crée une certaine concentration d’
énergies
, offre un point de repère aux esprits qui méditent sur l’Europe et so
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’on nous fait entrevoir que les applications de l’
énergie
nucléaire et solaire permettront, vers la fin de ce siècle, de réduir
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spécialistes (technologie, agriculture, médecine,
énergie
atomique) ; de participer aux travaux de l’Unesco, du BIT, etc. ; d’é
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ous avons toutes les raisons de nous refuser avec
énergie
à cette éventualité. Nous n’avons rien à redouter, pour notre part, d
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ssine) ou à permettre une production commune de l’
énergie
(Euratom). En somme, ce qu’on « relance », c’est la méthode qui a réu
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construction à Genève, la Société européenne de l’
énergie
atomique et le plan d’Euratom préconisé par M. Monnet, comblent pour
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roblème colonial, l’automation, l’électronique, l’
énergie
nucléaire et solaire, les « intrigues des trusts », les « menées sout
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imposer à ses données physiques pour en tirer une
énergie
insoupçonnée. L’Europe est donc une énergie, que nous désignerons par
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r une énergie insoupçonnée. L’Europe est donc une
énergie
, que nous désignerons par E, et qui est égale au produit de sa masse
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ine, c’est Léonard Euler ; ou l’exploitation de l’
énergie
atomique, c’est Niels Bohr, c’est Einstein, c’est l’esprit des Europé
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ou que redécouvrir les mêmes idées : gaspillage d’
énergie
et perte d’efficacité. De plus, tout ouvrage sur l’Europe veut et doi
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e l’attraction et la répulsion à l’animation de l’
énergie
nucléaire, des courants électriques, de la vie amoureuse. Cependant l
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pe de Carnot et Clausius, sur la dégradation de l’
énergie
, la « flèche du temps » et l’entropie, notions de base qui ont une po
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ation prendrait trop de temps, demanderait trop d’
énergie
, et soulèverait trop d’oppositions.73 Quelques mois avant, j’écriva
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sions dramatiques qui absorbent le plus clair des
énergies
d’une jeunesse ivre de vocables, sont d’effet nul sur les actions et
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bien évident qu’il faut en créer d’autres, pour l’
énergie
, pour les transports, pour l’écologie du continent, etc. D’autre part
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nces européennes, s’occupant des transports, de l’
énergie
, des plans écologiques continentaux, des recherches scientifiques, de
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sans éclat, les colères bien tenues en brides, l’
énergie
grande et en partie secrète. Trop passionné pour se montrer jamais se
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oblèmes de production locale et de distribution d’
énergie
, rendus insolubles par les prétentions des grandes centrales national
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ment, enfin la production et la distribution de l’
énergie
. C’est probablement le problème des frontaliers, c’est-à-dire des ouv
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roduction et la distribution de la monnaie, sur l’
énergie
, sur les écoles, sur l’exploitation de la main-d’œuvre, mais aussi de
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demain une électricité produite par des sources d’
énergie
éolienne ou solaire. Mais les calculs prévisionnels deviennent nocifs
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, vers le pays où cette information produira de l’
énergie
. Le pétrole est « arabe », dit-on, mais sans l’Europe il n’existerait