1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
1 listes ou de bourgeois disposant de loisirs, donc étrangère à l’homme du peuple. Comment remédier à cet état de choses, qui peut
2 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
2 ent à présenter des œuvres de jeunes compositeurs étrangers , si ce n’est pour des raisons de prestige ou des motifs extra-musicau
3 a possibilité d’apprécier les jeunes compositeurs étrangers , puisqu’ils ne sont pratiquement pas joués. De nombreux problèmes de
3 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
4 , d’assurer sa prospérité sans plus dépendre de l’ étranger , de se défendre plus de quelques heures contre les Russes ou les Amér
4 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
5 us estimons qu’il est encore plus important que l’ étranger ne puisse se rendre compte de ce qui n’existe pas. Vous admettrez que
6 n entendait par espionnage : « Vous rencontrez un étranger de vos amis. Il vous demande pourquoi vous avez l’air soucieux. Vous
5 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
7 Scandinaves apportent une organisation politique étrangère au peuple ; Byzance, une culture et des formes religieuses hellénisée
8 ientôt à rivaliser avec les innombrables artistes étrangers travaillant en Russie. La nouvelle culture née de la révolution pét
9 turel, dont on ne sait pas encore grand-chose à l’ étranger , qu’aux succès qu’il obtient sur le champ de bataille… L’histoire de
10 eux siècles, le français a été la première langue étrangère qu’apprenaient les enfants russes de bonne famille. Le plus grand poè
11 n qu’aucune région de l’Europe ne soit dorénavant étrangère à la Russie. Et cependant, Pouchkine l’Européen est le premier grand
12 riticisme sceptique leur est une attitude presque étrangère . Sans doute y a-t-il là une lacune, un défaut qui doit les faire tomb
13 tégrale. L’élément sceptique leur est hétérogène, étranger , et ne pénétrera pas non plus leur matérialisme : celui-ci sera un ma
14 s’intéressaient pour le moins autant aux lettres étrangères qu’aux russes, et à la vie artistique de l’Occident qu’à celle de la
15 és pour savoir que leur révolution est venue de l’ étranger , de l’Europe de l’Ouest, avec Lénine. D’où les phrases violentes de M
6 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
16 les dépêches des journalistes à destination de l’ étranger  ». 11. Développer le « tourisme individuel », ceci requérant « des ta
17 ou de plaisir, mais un instrument de la politique étrangère des Soviets, destiné à apporter certains avantages à l’État, spéciale
7 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
18 envergure possible aux échanges culturels avec l’ étranger . Ce désir s’est manifesté au Conseil suprême de l’URSS, lorsque celui
8 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
19 y provoquer une crise aiguë, que les observateurs étrangers ne sont pas les seuls ni les premiers à détecter. Un nombre croissant
9 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Prix européen de littérature n’a pas été donné en 1956 (juin-juillet 1956)
20 ur un ouvrier, de l’Allemagne du Nord, totalement étranger aux milieux littéraires et ignoré dans le monde de l’édition. Quoique
10 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Bureau européen de l’éducation populaire (août-septembre 1956)
21 s, etc.) ; il organise des voyages et séjours à l’ étranger pour ses usagers et pour des conférenciers ; il envoie sur demande la
11 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
22 é économique s’ouvre pour la Suisse. Les capitaux étrangers s’accumulent dans nos banques. La monnaie suisse reste la plus solide
12 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
23 pposant à notre union, mais provoquant des unions étrangères contre nous (exemples de la République arabe et de Bandung). — L’Euro
13 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
24 y provoquer une crise aiguë, que les observateurs étrangers ne sont pas les seuls ni les premiers à détecter. Un nombre croissant
14 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
25 et avec tant de possibilités s’offrant à moi à l’ étranger  ? » Tel fut ce retour au passé, le jour même où éclatait une guerre «
26 our mon intense satisfaction, que j’étais le seul étranger qui, de son vivant, soit venu au Mexique sans un sou et en reparte sa
27 ise de rappeler qu’à cette époque, les compagnies étrangères , américaines surtout, possédaient 90 % du pétrole mexicain. Elles ent
28 s aucun pouvoir. Cette exploitation du pays par l’ étranger rapportait certes au gouvernement, en dividendes, un tiers de ses rev
29 i lui paraissait propre à éliminer les influences étrangères  : nationaliser le pétrole. Il se reconnaît donc « partiellement respo
15 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
30 ant aux autres ; et pour répondre aux questions d’ étrangers , on est amené à mieux se connaître, parfois même à se découvrir. Le p
31 que beaucoup d’intellectuels jugeront sans doute étrangère à leurs soucis ou à leurs talents. Et pourtant, même si l’on est pers
16 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
32 e a conçu la notion de genre humain, si longtemps étrangère , voire répugnante, à l’Asie brahmanique ou chinoise, et qui devait ab
17 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
33 ue l’enseignement des langues et des littératures étrangères doive se proposer « d’inspirer à l’élève le respect des peuples étran
34 ser « d’inspirer à l’élève le respect des peuples étrangers  » comme le dit une directive pédagogique d’un de nos pays. Il ne s’ag
18 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
35 gand de l’Attique, étendait sur un lit de fer les étrangers qui lui demandaient l’hospitalité. Il leur coupait les jambes si elle
19 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
36 és », « des gens qui agissent pour le compte de l’ étranger  », « des réactionnaires ou des gauchistes », ou encore « les tenants
20 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
37 tus civilis) pour les diplômés d’une université «  étrangère  », il est quasi nul. Pourtant, l’extraordinaire densité des établisse
21 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
38 ’homme prisonnier des rythmes du passé ou de fins étrangères à sa vocation : aliénantes. Vos prévisions chiffrées ne m’intéressent
22 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
39 t, en fait, tout un monde de valeurs complètement étranger à nos croyances traditionnelles ? » Une autre fois, il me raconte que
40 il s’agit de « protéger » contre les « ingérences étrangères  ». C’est la forme politique de la paranoïa. Elle ne se pose qu’en s’o