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aquaient le bâtiment de la dernière radio libre à
Budapest
, une voix forte cria : Nous mourons pour l’Europe ! Aidez-nous ! Nous
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ion à répondre à l’appel qui survit au martyre de
Budapest
. Il faut absolument faire l’Europe, et tout de suite. Nous le devons
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leurs derniers poèmes, récité dans les ruines de
Budapest
. bg. Rougemont Denis de, « [Introduction] L’Europe s’inscrit dans
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enses progrès au cours des derniers mois. Suez et
Budapest
ont alerté les plus indifférents aux affaires politiques. La jeunesse
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le danger que nous courons tous ? La leçon de
Budapest
On ne pourra faire l’Europe, et la doter d’un pouvoir politique et
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et du progrès de l’histoire selon Karl Marx !31)
Budapest
a montré au monde que l’Europe divisée reste impuissante, mais aussi
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croît, mais les parlements restent cois. Suez et
Budapest
n’auraient-ils pas suffi ? Faudra-t-il d’autres catastrophes ? Ou ne
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Bartók cause autant de plaisir à Copenhague qu’à
Budapest
», voilà qui est sûr ; mais en revanche, Mozart peut donner plus de j
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t lieu le soir du 3 avril 1944. L’avion passa sur
Budapest
illuminée (« with no nonsense about blackout, and most attractive »,