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s européennes, de noms plus européens que ceux de
Dostoïevski
et de Tolstoï, et l’esprit dans lequel un Tourgueniev ou un Tchékhov
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y évade d’elle-même, c’est qu’elle s’y retrouve.
Dostoïevski
: « Nous autres Russes avons deux patries, l’Europe et notre Russie.
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éveloppées par l’Europe. » Sa dernière espérance,
Dostoïevski
(Journal d’un écrivain) la place dans un messianisme russe, « mais qu
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ent exercée par des bureaucrates, si elle conduit
Dostoïevski
en Sibérie, Tchaadaïev dans un asile de fous, et les penseurs politiq
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alités révolutionnaires. Tourguéniev, Gontcharov,
Dostoïevski
, Tolstoï n’ont pas échappé à la vigilance de cette seconde censure ;
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ion de l’œuvre de Gogol, de Tolstoï et surtout de
Dostoïevski
, qui en révèle pour la première fois la signification et la portée »,
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nt général de l’horizon… Le temps était venu où
Dostoïevski
et Tolstoï, Tourguéniev et Tchékhov allaient jouer un rôle actif dans