1
e autant que spirituel : celle d’offrir un organe
commun
aux diverses associations qui se sont constituées sous les auspices d
2
tés, ne se veulent liés à rien d’autre qu’au sort
commun
de cette patrie spirituelle qu’est l’Europe libre. Pour tous ceux-là,
3
décrire comme suit : la culture qui était un bien
commun
des Européens s’est divisée en « cultures nationales » ; celles-ci se
4
éger, étouffent en réalité ce qu’elles enferment.
Marchés
trop réduits (pour le film et le livre), échanges paralysés, fiscalit
5
’Europe. Toutes nos cultures sont nées d’un fonds
commun
, qu’elles ont progressivement diversifié. Elles se sont nourries les
6
ce américaine, la nécessité absolue d’élargir nos
marchés
nationaux, la volonté de régler le vieux conflit franco-allemand, la
7
uropa Features, a placé de bons articles, mais le
marché
des revues existantes s’est révélé trop limité pour que l’agence marc
8
x », mais n’a pas encore entrepris les travaux en
commun
que l’on doit en attendre. Quant aux Plans de causerie (tirés à l’20
9
s et de festivals ; établir un plan de recherches
communes
pour l’AIEE ; intensifier la production des articles pour l’APEA et é
10
entre certaines activités culturelles et le bien
commun
des peuples ou du groupe de nations considéré). La formule fédéral
11
le style, etc., ainsi que le problème du langage
commun
. Après une vive discussion, le titre suivant, proposé par M. Markevit
12
ue ridiculement court au regard de notre histoire
commune
. Ce qu’il s’agit de sauver transcende par nature les intérêts de chac
13
ait Dans l’indifférence générale, notre destin
commun
d’habitants de l’Europe s’est gravement infléchi depuis quelques sema
14
is : l’union de l’Europe. Si quelques conclusions
communes
et positives se dégagent de la confrontation de nos jugements sur le
15
nés ». Les richesses de Byzance, enfin « mises en
commun
», furent emportées par l’occupant. Il dépend de vous, Messieurs, et
16
n foyer de réflexion permanente sur nos problèmes
communs
et de diffusion raisonnée des résultats de cette recherche. Cette bas
17
l’ère des grands empires continentaux, des grands
marchés
, et de la stratégie mondiale. Nous nous sentons, en conséquence, trop
18
t disposer, à la seule condition de les mettre en
commun
. Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition p
19
dans les six thèmes proposés, l’idée d’un destin
commun
de tous les peuples de l’Europe, défini par leur unité incontestable
20
as ensemble leur salut. La recherche des origines
communes
à tous les peuples de l’Europe, nous l’avons faite sous la conduite m
21
d’une culture nouvelle et des bases d’un langage
commun
. Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouvernement
22
que nous avons changé, et elle a formulé les buts
communs
susceptibles de nous unir. Car ce ne sont pas seulement leurs origine
23
nce mutuelle, et d’une morale civique européenne,
commune
aux deux familles d’esprits. Devant la contradiction apparente entre
24
ructures supranationales, permettant de mettre en
commun
ce qui doit l’être normalement, afin de garantir et de faire vivre mi
25
eprésenter. À cause de l’absence d’une conscience
commune
de l’Europe et de sa situation présente dans le monde. Comment combat
26
n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir
commun
de nos peuples. ⁂ Objectivement, la situation pouvait paraître, au le
27
périr par asphyxie à la fois physique et morale.
Marchés
perdus, positions atlantiques perdues, prestige perdu ; par suite, dy
28
mpuissance à adopter en temps utile une politique
commune
, expliquent la chute soudaine de l’ancienne confédération devant les
29
ent nationaliste une vue plus juste de l’histoire
commune
des Européens. Ceci n’est qu’un exemple. Si nous cherchons encore où
30
e transforme et se résout en un problème européen
commun
dès que l’on envisage la position de l’Europe entre l’URSS et les USA
31
es buts que je viens d’indiquer. Ce qu’ils ont en
commun
, du fait même qu’ils sont hommes et non pas simples animaux, c’est le
32
du sens civique d’une part, l’absence d’un idéal
commun
d’autre part, minent la résistance spirituelle et politique, préparan
33
extérieures de nos richesses tarissent. De grands
marchés
se ferment à nos produits. Des empires concurrents se dressent. Ainsi
34
lement, dans l’ère des grands empires, des grands
marchés
, et de la stratégie mondiale. Nous nous sentons en conséquence trop p
35
sa ruine. Nécessité de réveiller un sentiment
commun
des Européens Il est donc évident que le nœud du problème est dans
36
orte. Si au contraire le sentiment de leur destin
commun
se réveille chez les Européens, la plupart des obstacles existants au
37
écution des projets qu’ils pourraient élaborer en
commun
. ⁂ L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en
38
on ce que chacun décidera d’engager dans l’action
commune
, enfin selon le degré de cohésion éventuelle qui se manifestera dans
39
ser de personnalités très diverses, mais ayant en
commun
ces deux traits : d’être acquise à l’idée européenne, et d’exercer un
40
l’idéal européen qui les anime, et par les tâches
communes
dont ils assumeront la responsabilité. Parmi ces tâches, la création
41
n, pourquoi pas, — dans le style des jumelages de
communes
qui se multiplient fort heureusement dans nos pays. Mais le fait est
42
sement subi l’épreuve de quatre ans de travail en
commun
, d’études préparatoires, d’essais parfois manqués, et de mises au poi
43
sical sera constitué sans délai. III. Entreprises
communes
. — L’étude d’un projet de revue musicale européenne des festivals ser
44
on pas contre l’Occident, mais contre les valeurs
communes
à toutes les cultures nationales de l’Europe et qui précisément par l
45
bourgeoisie occidentale va devenir le grand thème
commun
aux slavophiles, aux révolutionnaires et à certains réactionnaires17.
46
les et revues « progressistes » (les autres, d’un
commun
accord, sont interdites aux honnêtes gens), ou par un silence obstiné
47
surtout ces pays ». Une proposition de résolution
commune
, déposée par l’URSS, condense ce discours de M. Molotov (pour sa part
48
oit exclue par de telles données de fait. La base
commune
, le minimum de présuppositions et de langage communs, semblent faire
49
mune, le minimum de présuppositions et de langage
communs
, semblent faire totalement défaut. Cependant, le désir d’échanges et
50
ts entreprenant des recherches ou des enquêtes en
commun
; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d
51
tes de savants Une tâche pratique, exécutée en
commun
, et produisant des résultats utiles pour les uns et les autres, rappr
52
et de sociologues russes pourrait entreprendre en
commun
des enquêtes de micro-sociologie portant sur quelques communautés en
53
umains qui peuvent s’établir au cours d’un effort
commun
et prolongé. C. Expositions itinérantes La visite d’un laborato
54
s abstraits, fauves, ont tous une caractéristique
commune
: ils ne savent pas dessiner. » ag. Rougemont Denis de, « Propositi
55
n (plan de Messine) ou à permettre une production
commune
de l’énergie (Euratom). En somme, ce qu’on « relance », c’est la méth
56
des unions fonctionnelles et progressives (entre
communes
, régions, professions), tandis qu’à l’instar de la seconde, elle récl
57
été confiée à M. D. de Rougemont. Une déclaration
commune
avait résumé la substance des conclusions unanimement acceptées. Dési
58
t écrivains, sur le thème général de « la culture
commune
des Européens ». M. Max Beloff, historien et professeur à Oxford, dés
59
t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas
commun
dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
60
ncrète — mettons l’action des communistes dans sa
commune
, une augmentation du chômage, un ordre de mobilisation — il a peine à
61
décrit. Les réalités qu’il perçoit n’ont rien de
commun
avec les grandes fictions qu’il redoutait, ou qu’il souhaitait, sur l
62
liens concrets qui unissent la plus petite de nos
communes
aux destinées du continent, tel est le sens, le mouvement général, du
63
ation. Il va de la réalité mondiale à celle de la
commune
et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de la partie au tout, n’
64
valeur du lieu, aux travailleurs d’une entreprise
commune
, comme autant d’occasions d’agir pour l’intérêt local mieux entendu,
65
e moderne est devenue le continent. C’est pour un
marché
continental que le mineur extrait le charbon, que le paysan moissonne
66
d’autres privées, d’autres mixtes. Un seul trait
commun
: le désir d’occuper intelligemment les loisirs tout en suppléant à l
67
le n’en résoudrait. Mais leur offrir des services
communs
et une inspiration européenne commune paraît au contraire possible et
68
es services communs et une inspiration européenne
commune
paraît au contraire possible et souhaitable. Le CEC a donc suggéré au
69
tutions politiques, de traditions et de créations
communes
. Sur cette base d’unité, l’union peut s’édifier. L’unité est un fait,
70
ainsi appauvrie, divisée, privée d’une politique
commune
à tous ses États, soumise à l’influence des États-Unis dans sa partie
71
ique et Luxembourg) décident en 1951 de mettre en
commun
leurs ressources de charbon, de fer et d’acier. Ils signent le pacte
72
te, et qu’ils voudraient défendre et maintenir en
commun
. D’autre part, devant le foisonnement des manifestations qui se bapti
73
orces culturelles, et le besoin de représentation
commune
de ces forces vis-à-vis du reste du monde nous appellent et nous pous
74
le très dynamique abbé Martel, et englobant cinq
communes
. — Il a organisé une enquête sociologique sur la région (conduite par
75
(Sardaigne) Objectif : dans un groupe de cinq
communes
assez pauvres, d’économie agricole et artisanale, appartenant à une r
76
els et en « jumelages » de la ville avec d’autres
communes
de Suisse, Belgique, France, Algérie, Allemagne. L’action européenne
77
certaines techniques particulières (jumelages de
communes
, bibliothèques populaires, films documentaires) ; 2° de confronter le
78
nter les expériences en cours, de les discuter en
commun
, et de mieux définir ainsi les tâches précises et l’esprit qui doit l
79
Association ayant pour but notamment de lancer en
commun
une « collection européenne » comportant des ouvrages variés sur les
80
ionnelle (CECA, Marché commun, Euratom, assemblée
commune
) ; la tactique de pression politique (mouvements de militants, propag
81
leur proposant des tâches concrètes à résoudre en
commun
dans leur domaine, au-delà des impasses nationales, c’est-à-dire à l’
82
ui peuvent les grouper et qui appellent un effort
commun
ne sont pas nationales mais humaines, et ne prennent leur plein sens
83
nscience nécessaires et préalables à toute action
commune
, tandis qu’une quatrième pense qu’une technique adroite, modifiant l’
84
la situation européenne Si l’on met en facteur
commun
les risques des quatre méthodes, on découvre qu’ils se ramènent à une
85
n’ont donc de chances sérieuses d’aboutir au but
commun
que toutes ensemble. Approuver les quatre méthodes simultanément peut
86
ne Europe fédérée, capable de mener une politique
commune
au plan mondial, pourrait seule négocier avec force et succès la solu
87
argée de doter nos peuples d’un pouvoir politique
commun
. Le problème de l’union politique domine tout. Or c’est là justement
88
formes d’enseignement nouvelles et d’une mise en
commun
de nos meilleures forces à l’échelle européenne. En effet, les dernie
89
cultés), les cours généraux sur l’Europe seraient
communs
pour tous les étudiants. Le même personnel administratif pourrait éga
90
ropéen d’enseignement postuniversitaire ; mise en
commun
de leurs cours généraux d’une part, et de leurs services administrati
91
ent les artistes, plus ou moins séparés de la vie
commune
. Au xxe siècle, la culture tend à devenir une sorte de way of life.
92
eulement de produire livres et disques à meilleur
marché
, en même temps que s’accroît le pouvoir d’achat des masses ; mais sur
93
s des pays différents dont il expose les intérêts
communs
. Quant au problème de l’éditeur, il consiste d’abord à découvrir ce
94
ationale du Livre, à Francfort : « … choisir d’un
commun
accord et publier simultanément des ouvrages littéraires, encyclopédi
95
t tenir compte, en effet, de l’inégalité des huit
marchés
linguistiques représentés dans le pool, des coutumes très différentes
96
s de son histoire ne s’expliquent que par un fond
commun
… Qui veut écrire l’histoire de l’Europe doit commencer par les hérita
97
e. C’est avec sa deuxième partie, les Expériences
communes
, que Brugmans aborde vraiment la « réinterprétation » annoncée. Et ce
98
à coopérer et bientôt conditionnent des réflexes
communs
. La seconde consiste à inculquer d’une manière massive des jugements
99
éparatoires étaient terminés : choix des régions,
communes
ou circonscriptions scolaires, — plans détaillés de chaque expérience
100
mmunauté de destin historique, et de leur mission
commune
dans un monde transformé par leur faute et par leur mérite. Voilà déf
101
en favorisant leurs échanges et leurs opérations
communes
; d’autre part, de donner à l’ensemble ses meilleures chances de rayo
102
chrétienne, critique et scientifique, et qui est
commune
à tous nos peuples, se trouve cloisonnée par des barrières de préjugé
103
lieu où l’on se préoccupe de poser les problèmes
communs
et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus tard, 1955
104
orces culturelles, et le besoin de représentation
commune
de ces forces vis-à-vis du reste du monde, nous appellent et nous pou
105
t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas
commun
dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
106
corporelles, comme on le discute à la Chambre des
communes
? Faut‑il laisser plus de place à la spontanéité anarchique de l’enfa
107
e fédérer nos peuples et les doter d’institutions
communes
, il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
108
e européen dont il est une province. Problèmes
communs
et déficiences communes Ces variations ou oppositions nationales p
109
une province. Problèmes communs et déficiences
communes
Ces variations ou oppositions nationales perdent d’ailleurs beauco
110
e l’enseignement civique en Europe, ses problèmes
communs
et ses déficiences communes. Mes remarques introductives n’ayant d’au
111
Europe, ses problèmes communs et ses déficiences
communes
. Mes remarques introductives n’ayant d’autre but que d’orienter le le
112
conomiques. Cette difficulté et cette déficience,
communes
à nos enseignements civiques nationaux, vont apparaître beaucoup plus
113
it pas à inspirer et diriger une action politique
commune
, surtout lorsqu’il s’agit de regagner l’indépendance non point contre
114
devînt pas un obstacle à la conduite d’une guerre
commune
contre Hitler. Partageant les idées de Retinger, le général Sikorski
115
Pays-Bas. Dans la genèse de tant d’autres actions
communes
, fondées sur le principe du groupe complexe d’influences et de compét
116
ma femme, à propos de projets que nous avions en
commun
, lui dit : « l’année prochaine », il répondit très vite comme on sign
117
e à les faire servir, comme malgré elles, au bien
commun
. Sa franchise également paraissait incroyable : elle était si directe
118
elles entre ces interlocuteurs. — des entreprises
communes
, idéologiques ou pratiques : défense de la liberté ; recherche d’une
119
: défense de la liberté ; recherche d’une éthique
commune
; examen de problèmes politiques et sociaux replacés dans le contexte
120
érique du Nord, Amérique latine, Russie. Éléments
communs
: race blanche dominante, tradition chrétienne, origine culturelle eu
121
ar deux fois, et n’a donc pas encore de politique
commune
, répondant à sa vocation, à l’égard des régions différentes de la pla
122
nent. Il est difficile de trouver un dénominateur
commun
aux problèmes de l’Inde et à ceux du Japon, par exemple, ou de la Chi
123
er, de se connaître, et d’entreprendre des tâches
communes
. VI. Vers la création de centres culturels régionaux Les consid
124
buer à définir et à mettre en lumière les valeurs
communes
propres à toute une région, étudier les problèmes spécifiques de cett
125
s de sa culture — Séminaires sur les problèmes
communs
à tous les pays de la région : intégration économique ou politique ;
126
culture de la région, et dégageant les caractères
communs
à tous ses peuples ou pays. Ces ouvrages seraient ensuite traduits da
127
rcés, depuis onze ans, de réunir en vue de tâches
communes
ceux qui veulent agir et parler en tant qu’Européens, membres d’un mê
128
bien d’autres raisons d’être optimiste.) Défauts
communs
à la plupart de ces ouvrages : ils sont écrits à la hâte, pour « coll
129
s d’études, collections, traductions, éditions en
commun
. L’échec d’une première tentative, entreprise par le CEC voici cinq a
130
e fédérer nos peuples et les doter d’institutions
communes
, il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
131
r tel ou tel aspect de la culture fondamentale et
commune
. Quelles seront alors les fonctions possibles d’une métropole en géné
132
qu’il n’a pas encore d’institutions, de politique
commune
et de gouvernement ? Point d’Europe sans civisme européen. Mais point
133
de Babel : la disparition rapide de toute langue
commune
, remplacée par une multiplicité de langages spéciaux de moins en moin
134
évanouissement progressif de la conscience du but
commun
, des fins dernières de l’entreprise, qui se perdent dans les nuées de
135
ées de l’inconcevable. Mais dire que tout langage
commun
se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir, c’est d
136
ns cesse multipliées du savoir, c’est dire que la
commune
mesure d’une civilisation est en train de s’évanouir — j’entends par
137
, qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de langage
commun
, et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que cela v
138
disciplines diverses n’ont souvent plus guère en
commun
que des platitudes quotidiennes ou des préjugés mutuels hérités de co
139
té de ses recherches sans références à un langage
commun
. Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre
140
existence communautaire et de tout bon travail en
commun
, l’on sera conduit à préférer la multiplication de petites université
141
t un centre de type villageois, hôtels, auberges,
marché
, boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans
142
nt la bibliothèque et les salles de colloques. La
commune
, gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’exterritoriali
143
’impose pas une image du monde : on la cherche en
commun
, librement. Au sein des colloques, règne une liberté spontanément dis
144
tais jugé digne de participer aux activités de la
commune
. 1. Les options fondamentales des grandes cultures, notamment de la c
145
mmes qui méditaient sur la nécessité d’un langage
commun
aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descartes dès
146
éclat la prise au sérieux, la prise de conscience
commune
du problème symbolisé par l’ellipse Europe-Monde. Le groupe a commenc
147
tales et se concertent pour adopter une politique
commune
. Les uns nous mettent en garde contre notre orgueil, notre impérialis
148
uissent paraître, ces cinq rapports ont une vertu
commune
qui est de mettre en question les clichés de l’économisme pur et d’un
149
les plus divers par leur culture, à une sorte de
commun
dénominateur matériel ou physique, obtenu par réduction ou éliminatio
150
st la participation active de l’individu à la vie
commune
, qu’il s’agisse du cercle familial, professionnel et communal pour co
151
doit donc d’une part initier l’enfant aux règles
communes
, d’autre part le préparer à la libre initiative personnelle. Ces deux
152
our un Européen, c’est sa participation au trésor
commun
des œuvres créées depuis des siècles par l’esprit des Européens. Mais
153
on de l’Europe et à la formation d’une conscience
commune
— condition préalable de tout civisme européen — c’est le nationalism
154
qui ne résulte de mille échanges, tissant l’œuvre
commune
des Européens ; et il n’en est pas une seule que l’on puisse étudier
155
t d’une différenciation (souvent tardive) du fond
commun
de la littérature européenne. Dans ce domaine en tout cas, nous n’avo
156
passé, lequel conditionne et permet notre avenir
commun
. 3. Éléments de notre unité Les agents formateurs et spécifiant
157
donc spécifiquement européen. Quant aux éléments
communs
, relevons : a) Les civilisations que nous continuons. — Égypte, Mésop
158
procédés rhétoriques, structures. — Là, tout est
commun
: l’épopée, le roman d’aventures, puis d’amour ; la ballade, le sonne
159
tres, je veux dire sans racines ou « antiquités »
communes
. Trois Indiens dont l’un parle urdu, l’autre canada, un troisième tam
160
n, il y avait déjà la littérature et les éléments
communs
énumérés plus haut suffisent à constituer son unité, tant structurell
161
nullement à ne plus avoir qu’une seule allégeance
commune
; elle signifie bien au contraire une pluralité des allégeances. Il e
162
e la Manche, bénéficiant à la fois d’institutions
communes
(comme les cantons suisses) et de voix distinctes aux Nations unies (
163
surer le développement de toutes leurs régions et
communes
— trop grands pour que leurs citoyens puissent y exercer normalement
164
uve ici son application majeure : Développons en
commun
ce qui est neuf. Laissons de côté les héritages du passé dont l’unifi
165
de régions « immédiates à l’Europe » — comme les
communes
libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là
166
es problèmes trop complexes pour les institutions
communes
, enfin c) reste subordonnée à l’existence réelle des cent régions, qu
167
dont il les a frustrées. 69. Déjà, le député aux
communes
du parti séparatiste écossais annonce que « d’ici trois ans » son pay
168
t-cinq États et installation d’un cordon douanier
commun
, par exemple.) Il n’y a qu’une transition du projet au succès : c’est
169
es utilisables en ce domaine (unité d’habitation,
commune
, région, groupe de recherches) et les moyens requis pour les constitu
170
uelles ou affectives, qui n’ont pas de frontières
communes
, et souvent pas de frontières du tout. Si l’on exigeait que tout cela
171
ement d’un pays, c’est entre les provinces et les
communes
: faute de quoi la vie politique abandonne les extrémités pour le cen
172
ion du pouvoir entre les échelons géographiques :
commune
, province (région), fédérations restreintes, enfin fédération de fédé
173
il a vite fait de les réduire à leur dénominateur
commun
: la bureaucratie du Parti régnant. Bismarck reste le maître « object
174
ées par des populations de langues et de coutumes
communes
, sont liées d’une manière beaucoup plus stable dans le temps à des te
175
art et de pensée : c’est l’unité de notre culture
commune
. Mais qu’en est-il de nos diversités tant vantées, et à juste titre ?
176
Proudhon) à tous les étages communautaires, de la
commune
à la fédération continentale, puis mondiale. L’État supérieur (fédéra
177
veau communautaire — du plan d’urbanisation d’une
commune
aux options sur le budget de la recherche fondamentale à l’échelon eu
178
pourrait être fait à l’échelon régional : lycées
communs
là où la langue est pareille, lycées bilingues, écoles techniques et
179
sme commence au respect des forêts. VII. De la
commune
à l’Europe par la région Tous les problèmes régionaux — qu’ils soi
180
nt liés en fait à des problèmes continentaux. Une
commune
, une région, n’ont pas les moyens de recherches requis, dans aucun de
181
s proche de la personne, c’est en fait partir des
communes
. Chacune des régions fonctionnelles que nous avons énumérées serait a
182
nsi formée, administrativement par un syndicat de
communes
. (Elles seraient abonnées à la région écologique, par exemple, comme
183
’ouverture des débats. Et cependant, une doctrine
commune
, des plus précises, se dégage des cinq documents dont on vient de lir
184
a région frontalière se définit par l’exercice en
commun
de part et d’autre de la frontière, de fonctions similaires ou complé
185
si formée, administrativement, par un syndicat de
communes
. » 2. La commune, cellule de base de la région. Comment définir une
186
ativement, par un syndicat de communes. » 2. La
commune
, cellule de base de la région. Comment définir une région, si ce n’es
187
tionnelle sera simplement celle de l’ensemble des
communes
pour lesquelles un problème fonctionnel se posera, et qui choisiront
188
soi, également, à mes yeux tout au moins, qu’une
commune
pourra se rattacher à autant de syndicats différents par l’étendue et
189
alléables », l’intervention du pouvoir local, des
communes
d’abord, « peut être décisive, car, malgré tout, plus souple et plus
190
e territoire d’un autre pays », ou « groupant des
communes
de part et d’autre de la frontière ». Cette recommandation unanime s’
191
qualité et de la participation civique, donc des
communes
et des régions, une Europe fédérale qui peut être l’innovation majeur
192
uels devaient conduire à une politique économique
commune
à tous nos pays, et pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980. 3e
193
s au plan européen, débattront de leurs problèmes
communs
, et arrêteront d’un commun accord des mesures correspondant à leurs c
194
nt de leurs problèmes communs, et arrêteront d’un
commun
accord des mesures correspondant à leurs circonstances propres, mais
195
n, L’Ordre nouveau oppose la fédération à base de
communes
groupées en régions. En 1949, Bertrand de Jouvenel publie son grand o
196
mes, qui ne sont plus tenus ensemble que par leur
commun
servage envers l’État ». Depuis quelques années, le terme d’État-nati
197
le terme d’État-nation paraît entré dans l’usage
commun
des politologues anglo-saxons de tous bords (« Nation-State » dans To
198
la région n’était pas la moindre. 117. Rien de
commun
avec le mouvement de tendance fasciste qui a usurpé ce titre en 1968
199
ais deux douzaines, point de grands centres ni de
marché
intellectuel, et surtout point de langue unique qui se soit imposée à
200
t), mais plutôt qu’on pourrait l’attribuer à leur
commune
formation bâloise d’historiens scrupuleux mais imaginatifs, héritiers
201
autaires. La société des personnes autonomes, des
communes
en autogestion, des régions fédérées, voilà le But. Cette société ser
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production agricole arbitrairement séparée de ses
marchés
naturels ; obstacles multipliés, légaux et financiers, à l’éducation
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ens puissent enfin prendre en main leurs affaires
communes
— qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques, écologiques
204
ut être libre et responsable qu’à l’échelle de la
commune
. (Tocqueville l’a bien vu et bien dit.) C’est une question de dimensi
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sociales et des « impératifs » d’une économie de
marché
. C’est le cas par excellence des calculs prévisionnels portant sur l’
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és de participation des citoyens à leurs affaires
communes
, qui est la seule prévention efficace contre la délinquance générale