1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
1 e autant que spirituel : celle d’offrir un organe commun aux diverses associations qui se sont constituées sous les auspices d
2 tés, ne se veulent liés à rien d’autre qu’au sort commun de cette patrie spirituelle qu’est l’Europe libre. Pour tous ceux-là,
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
3 décrire comme suit : la culture qui était un bien commun des Européens s’est divisée en « cultures nationales » ; celles-ci se
4 éger, étouffent en réalité ce qu’elles enferment. Marchés trop réduits (pour le film et le livre), échanges paralysés, fiscalit
5 ’Europe. Toutes nos cultures sont nées d’un fonds commun , qu’elles ont progressivement diversifié. Elles se sont nourries les
3 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
6 ce américaine, la nécessité absolue d’élargir nos marchés nationaux, la volonté de régler le vieux conflit franco-allemand, la
4 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
7 uropa Features, a placé de bons articles, mais le marché des revues existantes s’est révélé trop limité pour que l’agence marc
8 x », mais n’a pas encore entrepris les travaux en commun que l’on doit en attendre. Quant aux Plans de causerie (tirés à l’20
9 s et de festivals ; établir un plan de recherches communes pour l’AIEE ; intensifier la production des articles pour l’APEA et é
5 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
10 entre certaines activités culturelles et le bien commun des peuples ou du groupe de nations considéré). La formule fédéral
6 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
11 le style, etc., ainsi que le problème du langage commun . Après une vive discussion, le titre suivant, proposé par M. Markevit
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
12 ue ridiculement court au regard de notre histoire commune . Ce qu’il s’agit de sauver transcende par nature les intérêts de chac
13 ait Dans l’indifférence générale, notre destin commun d’habitants de l’Europe s’est gravement infléchi depuis quelques sema
8 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
14 is : l’union de l’Europe. Si quelques conclusions communes et positives se dégagent de la confrontation de nos jugements sur le
15 nés ». Les richesses de Byzance, enfin « mises en commun  », furent emportées par l’occupant. Il dépend de vous, Messieurs, et
9 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Perspectives du CEC (juillet octobre 1953)
16 n foyer de réflexion permanente sur nos problèmes communs et de diffusion raisonnée des résultats de cette recherche. Cette bas
10 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
17 l’ère des grands empires continentaux, des grands marchés , et de la stratégie mondiale. Nous nous sentons, en conséquence, trop
18 t disposer, à la seule condition de les mettre en commun . Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition p
19 dans les six thèmes proposés, l’idée d’un destin commun de tous les peuples de l’Europe, défini par leur unité incontestable
20 as ensemble leur salut. La recherche des origines communes à tous les peuples de l’Europe, nous l’avons faite sous la conduite m
21 d’une culture nouvelle et des bases d’un langage commun . Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouvernement
22 que nous avons changé, et elle a formulé les buts communs susceptibles de nous unir. Car ce ne sont pas seulement leurs origine
23 nce mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux familles d’esprits. Devant la contradiction apparente entre
24 ructures supranationales, permettant de mettre en commun ce qui doit l’être normalement, afin de garantir et de faire vivre mi
11 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
25 eprésenter. À cause de l’absence d’une conscience commune de l’Europe et de sa situation présente dans le monde. Comment combat
12 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
26 n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir commun de nos peuples. ⁂ Objectivement, la situation pouvait paraître, au le
27 périr par asphyxie à la fois physique et morale. Marchés perdus, positions atlantiques perdues, prestige perdu ; par suite, dy
13 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
28 mpuissance à adopter en temps utile une politique commune , expliquent la chute soudaine de l’ancienne confédération devant les
14 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
29 ent nationaliste une vue plus juste de l’histoire commune des Européens. Ceci n’est qu’un exemple. Si nous cherchons encore où
30 e transforme et se résout en un problème européen commun dès que l’on envisage la position de l’Europe entre l’URSS et les USA
15 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
31 es buts que je viens d’indiquer. Ce qu’ils ont en commun , du fait même qu’ils sont hommes et non pas simples animaux, c’est le
16 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
32 du sens civique d’une part, l’absence d’un idéal commun d’autre part, minent la résistance spirituelle et politique, préparan
33 extérieures de nos richesses tarissent. De grands marchés se ferment à nos produits. Des empires concurrents se dressent. Ainsi
34 lement, dans l’ère des grands empires, des grands marchés , et de la stratégie mondiale. Nous nous sentons en conséquence trop p
35 sa ruine. Nécessité de réveiller un sentiment commun des Européens Il est donc évident que le nœud du problème est dans
36 orte. Si au contraire le sentiment de leur destin commun se réveille chez les Européens, la plupart des obstacles existants au
37 écution des projets qu’ils pourraient élaborer en commun . ⁂ L’influence des Amis du Centre prendra des formes multiples et en
38 on ce que chacun décidera d’engager dans l’action commune , enfin selon le degré de cohésion éventuelle qui se manifestera dans
39 ser de personnalités très diverses, mais ayant en commun ces deux traits : d’être acquise à l’idée européenne, et d’exercer un
40 l’idéal européen qui les anime, et par les tâches communes dont ils assumeront la responsabilité. Parmi ces tâches, la création
17 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
41 n, pourquoi pas, — dans le style des jumelages de communes qui se multiplient fort heureusement dans nos pays. Mais le fait est
18 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour les grands festivals de musique l’Europe est faite ! (octobre 1955)
42 sement subi l’épreuve de quatre ans de travail en commun , d’études préparatoires, d’essais parfois manqués, et de mises au poi
43 sical sera constitué sans délai. III. Entreprises communes . — L’étude d’un projet de revue musicale européenne des festivals ser
19 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
44 on pas contre l’Occident, mais contre les valeurs communes à toutes les cultures nationales de l’Europe et qui précisément par l
45 bourgeoisie occidentale va devenir le grand thème commun aux slavophiles, aux révolutionnaires et à certains réactionnaires17.
46 les et revues « progressistes » (les autres, d’un commun accord, sont interdites aux honnêtes gens), ou par un silence obstiné
20 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
47 surtout ces pays ». Une proposition de résolution commune , déposée par l’URSS, condense ce discours de M. Molotov (pour sa part
21 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
48 oit exclue par de telles données de fait. La base commune , le minimum de présuppositions et de langage communs, semblent faire
49 mune, le minimum de présuppositions et de langage communs , semblent faire totalement défaut. Cependant, le désir d’échanges et
50 ts entreprenant des recherches ou des enquêtes en commun  ; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d
51 tes de savants Une tâche pratique, exécutée en commun , et produisant des résultats utiles pour les uns et les autres, rappr
52 et de sociologues russes pourrait entreprendre en commun des enquêtes de micro-sociologie portant sur quelques communautés en
53 umains qui peuvent s’établir au cours d’un effort commun et prolongé. C. Expositions itinérantes La visite d’un laborato
54 s abstraits, fauves, ont tous une caractéristique commune  : ils ne savent pas dessiner. » ag. Rougemont Denis de, « Propositi
22 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
55 n (plan de Messine) ou à permettre une production commune de l’énergie (Euratom). En somme, ce qu’on « relance », c’est la méth
56 des unions fonctionnelles et progressives (entre communes , régions, professions), tandis qu’à l’instar de la seconde, elle récl
23 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une deuxième table ronde de l’Europe (février 1956)
57 été confiée à M. D. de Rougemont. Une déclaration commune avait résumé la substance des conclusions unanimement acceptées. Dési
58 t écrivains, sur le thème général de « la culture commune des Européens ». M. Max Beloff, historien et professeur à Oxford, dés
24 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
59 t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas commun dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
60 ncrète — mettons l’action des communistes dans sa commune , une augmentation du chômage, un ordre de mobilisation — il a peine à
61 décrit. Les réalités qu’il perçoit n’ont rien de commun avec les grandes fictions qu’il redoutait, ou qu’il souhaitait, sur l
62 liens concrets qui unissent la plus petite de nos communes aux destinées du continent, tel est le sens, le mouvement général, du
63 ation. Il va de la réalité mondiale à celle de la commune et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de la partie au tout, n’
64 valeur du lieu, aux travailleurs d’une entreprise commune , comme autant d’occasions d’agir pour l’intérêt local mieux entendu,
25 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
65 e moderne est devenue le continent. C’est pour un marché continental que le mineur extrait le charbon, que le paysan moissonne
26 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Bureau européen de l’éducation populaire (août-septembre 1956)
66 d’autres privées, d’autres mixtes. Un seul trait commun  : le désir d’occuper intelligemment les loisirs tout en suppléant à l
67 le n’en résoudrait. Mais leur offrir des services communs et une inspiration européenne commune paraît au contraire possible et
68 es services communs et une inspiration européenne commune paraît au contraire possible et souhaitable. Le CEC a donc suggéré au
27 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
69 tutions politiques, de traditions et de créations communes . Sur cette base d’unité, l’union peut s’édifier. L’unité est un fait,
28 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
70 ainsi appauvrie, divisée, privée d’une politique commune à tous ses États, soumise à l’influence des États-Unis dans sa partie
71 ique et Luxembourg) décident en 1951 de mettre en commun leurs ressources de charbon, de fer et d’acier. Ils signent le pacte
29 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
72 te, et qu’ils voudraient défendre et maintenir en commun . D’autre part, devant le foisonnement des manifestations qui se bapti
30 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
73 orces culturelles, et le besoin de représentation commune de ces forces vis-à-vis du reste du monde nous appellent et nous pous
31 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
74 le très dynamique abbé Martel, et englobant cinq communes . — Il a organisé une enquête sociologique sur la région (conduite par
75 (Sardaigne) Objectif : dans un groupe de cinq communes assez pauvres, d’économie agricole et artisanale, appartenant à une r
76 els et en « jumelages » de la ville avec d’autres communes de Suisse, Belgique, France, Algérie, Allemagne. L’action européenne
77 certaines techniques particulières (jumelages de communes , bibliothèques populaires, films documentaires) ; 2° de confronter le
78 nter les expériences en cours, de les discuter en commun , et de mieux définir ainsi les tâches précises et l’esprit qui doit l
32 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pool européen d’éditeurs (février 1958)
79 Association ayant pour but notamment de lancer en commun une « collection européenne » comportant des ouvrages variés sur les
33 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le bulletin du Centre (février 1958)
80 ionnelle (CECA, Marché commun, Euratom, assemblée commune ) ; la tactique de pression politique (mouvements de militants, propag
34 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
81 leur proposant des tâches concrètes à résoudre en commun dans leur domaine, au-delà des impasses nationales, c’est-à-dire à l’
82 ui peuvent les grouper et qui appellent un effort commun ne sont pas nationales mais humaines, et ne prennent leur plein sens
35 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
83 nscience nécessaires et préalables à toute action commune , tandis qu’une quatrième pense qu’une technique adroite, modifiant l’
84 la situation européenne Si l’on met en facteur commun les risques des quatre méthodes, on découvre qu’ils se ramènent à une
85 n’ont donc de chances sérieuses d’aboutir au but commun que toutes ensemble. Approuver les quatre méthodes simultanément peut
86 ne Europe fédérée, capable de mener une politique commune au plan mondial, pourrait seule négocier avec force et succès la solu
87 argée de doter nos peuples d’un pouvoir politique commun . Le problème de l’union politique domine tout. Or c’est là justement
36 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
88 formes d’enseignement nouvelles et d’une mise en commun de nos meilleures forces à l’échelle européenne. En effet, les dernie
89 cultés), les cours généraux sur l’Europe seraient communs pour tous les étudiants. Le même personnel administratif pourrait éga
90 ropéen d’enseignement postuniversitaire ; mise en commun de leurs cours généraux d’une part, et de leurs services administrati
37 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
91 ent les artistes, plus ou moins séparés de la vie commune . Au xxe siècle, la culture tend à devenir une sorte de way of life.
92 eulement de produire livres et disques à meilleur marché , en même temps que s’accroît le pouvoir d’achat des masses ; mais sur
38 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Editeuropa (septembre 1959)
93 s des pays différents dont il expose les intérêts communs . Quant au problème de l’éditeur, il consiste d’abord à découvrir ce
94 ationale du Livre, à Francfort : « … choisir d’un commun accord et publier simultanément des ouvrages littéraires, encyclopédi
95 t tenir compte, en effet, de l’inégalité des huit marchés linguistiques représentés dans le pool, des coutumes très différentes
39 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
96 s de son histoire ne s’expliquent que par un fond commun … Qui veut écrire l’histoire de l’Europe doit commencer par les hérita
97 e. C’est avec sa deuxième partie, les Expériences communes , que Brugmans aborde vraiment la « réinterprétation » annoncée. Et ce
40 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Neuf expériences d’éducation européenne [Introduction] (décembre 1959)
98 à coopérer et bientôt conditionnent des réflexes communs . La seconde consiste à inculquer d’une manière massive des jugements
99 éparatoires étaient terminés : choix des régions, communes ou circonscriptions scolaires, — plans détaillés de chaque expérience
41 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
100 mmunauté de destin historique, et de leur mission commune dans un monde transformé par leur faute et par leur mérite. Voilà déf
101 en favorisant leurs échanges et leurs opérations communes  ; d’autre part, de donner à l’ensemble ses meilleures chances de rayo
102 chrétienne, critique et scientifique, et qui est commune à tous nos peuples, se trouve cloisonnée par des barrières de préjugé
103 lieu où l’on se préoccupe de poser les problèmes communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus tard, 1955
104 orces culturelles, et le besoin de représentation commune de ces forces vis-à-vis du reste du monde, nous appellent et nous pou
42 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
105 t… Le niveau éducatif s’abaisse jusqu’au plus bas commun dénominateur, et voici l’ironie : personne n’en tire bénéfice, même p
106 corporelles, comme on le discute à la Chambre des communes  ? Faut‑il laisser plus de place à la spontanéité anarchique de l’enfa
43 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
107 e fédérer nos peuples et les doter d’institutions communes , il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
108 e européen dont il est une province. Problèmes communs et déficiences communes Ces variations ou oppositions nationales p
109 une province. Problèmes communs et déficiences communes Ces variations ou oppositions nationales perdent d’ailleurs beauco
110 e l’enseignement civique en Europe, ses problèmes communs et ses déficiences communes. Mes remarques introductives n’ayant d’au
111 Europe, ses problèmes communs et ses déficiences communes . Mes remarques introductives n’ayant d’autre but que d’orienter le le
112 conomiques. Cette difficulté et cette déficience, communes à nos enseignements civiques nationaux, vont apparaître beaucoup plus
44 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
113 it pas à inspirer et diriger une action politique commune , surtout lorsqu’il s’agit de regagner l’indépendance non point contre
114 devînt pas un obstacle à la conduite d’une guerre commune contre Hitler. Partageant les idées de Retinger, le général Sikorski
115 Pays-Bas. Dans la genèse de tant d’autres actions communes , fondées sur le principe du groupe complexe d’influences et de compét
116 ma femme, à propos de projets que nous avions en commun , lui dit : « l’année prochaine », il répondit très vite comme on sign
117 e à les faire servir, comme malgré elles, au bien commun . Sa franchise également paraissait incroyable : elle était si directe
45 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
118 elles entre ces interlocuteurs. — des entreprises communes , idéologiques ou pratiques : défense de la liberté ; recherche d’une
119 : défense de la liberté ; recherche d’une éthique commune  ; examen de problèmes politiques et sociaux replacés dans le contexte
120 érique du Nord, Amérique latine, Russie. Éléments communs  : race blanche dominante, tradition chrétienne, origine culturelle eu
121 ar deux fois, et n’a donc pas encore de politique commune , répondant à sa vocation, à l’égard des régions différentes de la pla
122 nent. Il est difficile de trouver un dénominateur commun aux problèmes de l’Inde et à ceux du Japon, par exemple, ou de la Chi
123 er, de se connaître, et d’entreprendre des tâches communes . VI. Vers la création de centres culturels régionaux Les consid
124 buer à définir et à mettre en lumière les valeurs communes propres à toute une région, étudier les problèmes spécifiques de cett
125 s de sa culture — Séminaires sur les problèmes communs à tous les pays de la région : intégration économique ou politique ;
126 culture de la région, et dégageant les caractères communs à tous ses peuples ou pays. Ces ouvrages seraient ensuite traduits da
46 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue des cultures [interventions] (avril 1962)
127 rcés, depuis onze ans, de réunir en vue de tâches communes ceux qui veulent agir et parler en tant qu’Européens, membres d’un mê
47 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
128 bien d’autres raisons d’être optimiste.) Défauts communs à la plupart de ces ouvrages : ils sont écrits à la hâte, pour « coll
129 s d’études, collections, traductions, éditions en commun . L’échec d’une première tentative, entreprise par le CEC voici cinq a
48 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Enquête sur l’enseignement civique dans les pays européens [Avant-propos] (mai 1963)
130 e fédérer nos peuples et les doter d’institutions communes , il est bien clair que cette fédération ne tombera pas du ciel, et ne
49 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
131 r tel ou tel aspect de la culture fondamentale et commune . Quelles seront alors les fonctions possibles d’une métropole en géné
50 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Campagne pour l’Europe des citoyens (septembre 1964)
132 qu’il n’a pas encore d’institutions, de politique commune et de gouvernement ? Point d’Europe sans civisme européen. Mais point
51 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
133 de Babel : la disparition rapide de toute langue commune , remplacée par une multiplicité de langages spéciaux de moins en moin
134 évanouissement progressif de la conscience du but commun , des fins dernières de l’entreprise, qui se perdent dans les nuées de
135 ées de l’inconcevable. Mais dire que tout langage commun se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir, c’est d
136 ns cesse multipliées du savoir, c’est dire que la commune mesure d’une civilisation est en train de s’évanouir — j’entends par
137 , qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de langage commun , et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que cela v
138 disciplines diverses n’ont souvent plus guère en commun que des platitudes quotidiennes ou des préjugés mutuels hérités de co
139 té de ses recherches sans références à un langage commun . Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre
140 existence communautaire et de tout bon travail en commun , l’on sera conduit à préférer la multiplication de petites université
141 t un centre de type villageois, hôtels, auberges, marché , boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans
142 nt la bibliothèque et les salles de colloques. La commune , gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’exterritoriali
143 ’impose pas une image du monde : on la cherche en commun , librement. Au sein des colloques, règne une liberté spontanément dis
144 tais jugé digne de participer aux activités de la commune . 1. Les options fondamentales des grandes cultures, notamment de la c
145 mmes qui méditaient sur la nécessité d’un langage commun aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descartes dès
52 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
146 éclat la prise au sérieux, la prise de conscience commune du problème symbolisé par l’ellipse Europe-Monde. Le groupe a commenc
147 tales et se concertent pour adopter une politique commune . Les uns nous mettent en garde contre notre orgueil, notre impérialis
148 uissent paraître, ces cinq rapports ont une vertu commune qui est de mettre en question les clichés de l’économisme pur et d’un
149 les plus divers par leur culture, à une sorte de commun dénominateur matériel ou physique, obtenu par réduction ou éliminatio
53 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
150 st la participation active de l’individu à la vie commune , qu’il s’agisse du cercle familial, professionnel et communal pour co
151 doit donc d’une part initier l’enfant aux règles communes , d’autre part le préparer à la libre initiative personnelle. Ces deux
152 our un Européen, c’est sa participation au trésor commun des œuvres créées depuis des siècles par l’esprit des Européens. Mais
153 on de l’Europe et à la formation d’une conscience commune — condition préalable de tout civisme européen — c’est le nationalism
154 qui ne résulte de mille échanges, tissant l’œuvre commune des Européens ; et il n’en est pas une seule que l’on puisse étudier
54 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
155 t d’une différenciation (souvent tardive) du fond commun de la littérature européenne. Dans ce domaine en tout cas, nous n’avo
156 passé, lequel conditionne et permet notre avenir commun . 3. Éléments de notre unité Les agents formateurs et spécifiant
157 donc spécifiquement européen. Quant aux éléments communs , relevons : a) Les civilisations que nous continuons. — Égypte, Mésop
158 procédés rhétoriques, structures. — Là, tout est commun  : l’épopée, le roman d’aventures, puis d’amour ; la ballade, le sonne
159 tres, je veux dire sans racines ou « antiquités » communes . Trois Indiens dont l’un parle urdu, l’autre canada, un troisième tam
160 n, il y avait déjà la littérature et les éléments communs énumérés plus haut suffisent à constituer son unité, tant structurell
161 nullement à ne plus avoir qu’une seule allégeance commune  ; elle signifie bien au contraire une pluralité des allégeances. Il e
55 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
162 e la Manche, bénéficiant à la fois d’institutions communes (comme les cantons suisses) et de voix distinctes aux Nations unies (
163 surer le développement de toutes leurs régions et communes — trop grands pour que leurs citoyens puissent y exercer normalement
164 uve ici son application majeure : Développons en commun ce qui est neuf. Laissons de côté les héritages du passé dont l’unifi
165 de régions « immédiates à l’Europe » — comme les communes libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là
166 es problèmes trop complexes pour les institutions communes , enfin c) reste subordonnée à l’existence réelle des cent régions, qu
167 dont il les a frustrées. 69. Déjà, le député aux communes du parti séparatiste écossais annonce que « d’ici trois ans » son pay
56 1970, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
168 t-cinq États et installation d’un cordon douanier commun , par exemple.) Il n’y a qu’une transition du projet au succès : c’est
169 es utilisables en ce domaine (unité d’habitation, commune , région, groupe de recherches) et les moyens requis pour les constitu
170 uelles ou affectives, qui n’ont pas de frontières communes , et souvent pas de frontières du tout. Si l’on exigeait que tout cela
171 ement d’un pays, c’est entre les provinces et les communes  : faute de quoi la vie politique abandonne les extrémités pour le cen
172 ion du pouvoir entre les échelons géographiques : commune , province (région), fédérations restreintes, enfin fédération de fédé
57 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
173 il a vite fait de les réduire à leur dénominateur commun  : la bureaucratie du Parti régnant. Bismarck reste le maître « object
58 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
174 ées par des populations de langues et de coutumes communes , sont liées d’une manière beaucoup plus stable dans le temps à des te
175 art et de pensée : c’est l’unité de notre culture commune . Mais qu’en est-il de nos diversités tant vantées, et à juste titre ?
176 Proudhon) à tous les étages communautaires, de la commune à la fédération continentale, puis mondiale. L’État supérieur (fédéra
177 veau communautaire — du plan d’urbanisation d’une commune aux options sur le budget de la recherche fondamentale à l’échelon eu
178 pourrait être fait à l’échelon régional : lycées communs là où la langue est pareille, lycées bilingues, écoles techniques et
179 sme commence au respect des forêts. VII. De la commune à l’Europe par la région Tous les problèmes régionaux — qu’ils soi
180 nt liés en fait à des problèmes continentaux. Une commune , une région, n’ont pas les moyens de recherches requis, dans aucun de
181 s proche de la personne, c’est en fait partir des communes . Chacune des régions fonctionnelles que nous avons énumérées serait a
182 nsi formée, administrativement par un syndicat de communes . (Elles seraient abonnées à la région écologique, par exemple, comme
59 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
183 ’ouverture des débats. Et cependant, une doctrine commune , des plus précises, se dégage des cinq documents dont on vient de lir
184 a région frontalière se définit par l’exercice en commun de part et d’autre de la frontière, de fonctions similaires ou complé
185 si formée, administrativement, par un syndicat de communes . »   2. La commune, cellule de base de la région. Comment définir une
186 ativement, par un syndicat de communes. »   2. La commune , cellule de base de la région. Comment définir une région, si ce n’es
187 tionnelle sera simplement celle de l’ensemble des communes pour lesquelles un problème fonctionnel se posera, et qui choisiront
188 soi, également, à mes yeux tout au moins, qu’une commune pourra se rattacher à autant de syndicats différents par l’étendue et
189 alléables », l’intervention du pouvoir local, des communes d’abord, « peut être décisive, car, malgré tout, plus souple et plus
190 e territoire d’un autre pays », ou « groupant des communes de part et d’autre de la frontière ». Cette recommandation unanime s’
60 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Nouveau départ (printemps 1974)
191 qualité et de la participation civique, donc des communes et des régions, une Europe fédérale qui peut être l’innovation majeur
61 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
192 uels devaient conduire à une politique économique commune à tous nos pays, et pas seulement à ceux de la CEE d’ici 1980.   3e
193 s au plan européen, débattront de leurs problèmes communs , et arrêteront d’un commun accord des mesures correspondant à leurs c
194 nt de leurs problèmes communs, et arrêteront d’un commun accord des mesures correspondant à leurs circonstances propres, mais
62 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
195 n, L’Ordre nouveau oppose la fédération à base de communes groupées en régions. En 1949, Bertrand de Jouvenel publie son grand o
196 mes, qui ne sont plus tenus ensemble que par leur commun servage envers l’État ». Depuis quelques années, le terme d’État-nati
197 le terme d’État-nation paraît entré dans l’usage commun des politologues anglo-saxons de tous bords (« Nation-State » dans To
198 la région n’était pas la moindre. 117. Rien de commun avec le mouvement de tendance fasciste qui a usurpé ce titre en 1968
63 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). C.J.B. l’Européen, 1891-1974 (printemps 1974)
199 ais deux douzaines, point de grands centres ni de marché intellectuel, et surtout point de langue unique qui se soit imposée à
200 t), mais plutôt qu’on pourrait l’attribuer à leur commune formation bâloise d’historiens scrupuleux mais imaginatifs, héritiers
64 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
201 autaires. La société des personnes autonomes, des communes en autogestion, des régions fédérées, voilà le But. Cette société ser
65 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
202 production agricole arbitrairement séparée de ses marchés naturels ; obstacles multipliés, légaux et financiers, à l’éducation
203 ens puissent enfin prendre en main leurs affaires communes — qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques, écologiques
204 ut être libre et responsable qu’à l’échelle de la commune . (Tocqueville l’a bien vu et bien dit.) C’est une question de dimensi
66 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
205 sociales et des « impératifs » d’une économie de marché . C’est le cas par excellence des calculs prévisionnels portant sur l’
67 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
206 és de participation des citoyens à leurs affaires communes , qui est la seule prévention efficace contre la délinquance générale