1 e l’esprit d’une économie désorganisée et souvent absurde . Le principe du mal étant reconnu, le principe des réformes nécessair

2 stères, revenons à la vie normale. L’argument est absurde . Mais il sera populaire. Et notre monde du xxe siècle étant ce qu’il

3 xtes à refuser l’union qui nous sauverait. Il est absurde de parler de la souveraineté d’une nation qui ne pourrait pas se défe

4 ce nationalisme qui tue les patries, ces craintes absurdes , cette ignorance, cette mauvaise éducation historique, et cette incon

5 est à quoi nous en sommes, et c’est pire. Car une absurde conjoncture veut que les décisions vitales du pays dont dépend toute

6 à son tour, n’entraîne des conclusions politiques absurdes . C’est pourquoi nous proposons des expositions discrètes (malgré le p

7 est désormais posée, et que l’idée ne semble pas absurde . Ce qui serait absurde, ce serait évidemment de prendre cette idée au

8 t que l’idée ne semble pas absurde. Ce qui serait absurde , ce serait évidemment de prendre cette idée au pied de la lettre, dan

9 nu (pour avoir été trop souvent exagéré jusqu’à l’ absurde par les propagandes que l’on sait), vient d’être replacé dans sa plus

10 27 siècles de pensée où le sublime voisine avec l’ absurde , le pittoresque avec le raisonnable, mais dont se dégage finalement u

11 57,85 en Europe. Je voudrais qu’on me démolisse l’ absurde théorie des « frontières naturelles » qui nous a conduits à couper en

12 isées interdisaient, transformaient en hostilités absurdes . Ainsi l’Europe politiquement unie pourrait revenir à ses réalités gé

13 ption n’est pas seulement responsable des guerres absurdes , justifiées aux yeux des masses par le chauvinisme culturel — les Fra

14 tions pour leur substituer des régions ? Tendance absurde à bâtir l’avenir sur un système médiéval. Dans le même discours de P

15 ment et absolument, car à tout autre égard il est absurde . Né des guerres de la Révolution française et constitué d’une manière

16 l’antinomie ne sont pas aussi radicaux. Il serait absurde de prétendre que nous ne savons rien de l’avenir, car nous en savons