1 ssante de l’intelligentsia européenne redoute (ou affecte de redouter) ce qu’elle nomme l’américanisme, ou même (selon le vocab

2 Nous ne voyons, pour notre part, aucune raison d’ affecter la pudeur dans ce domaine. Disons que la crise est grave, que le dépa

3 Grande-Bretagne et des États-Unis » — ceux qui n’ affectent pas « le régime intérieur de tels ou tels États ». On pourrait ainsi

4 uffrons tous d’une certaine pénurie d’essence qui affecte également tous nos peuples, sans distinguer entre les bons et les méc

5 prit de démission, d’autodénigrement morbide, qui affecte une bonne partie de notre « intelligentsia » trop longtemps fascinée

6 siècle, à deux mouvements de sens contraire, qui affectent ces facteurs traditionnels de division du genre humain. Mouvement de

7 dent le seul domaine de l’Université, et qu’elles affectent tout l’ensemble de la culture européenne. Mais c’est par l’Université

8 jouter des crises plus amples et dramatiques, qui affectent l’être même de plusieurs États-nations européens, et non des moins ce

9 ntestataire de son génie — mais qui nous ont tous affectés , à doses variables, et qui ont éduqué notre vision du réel, que nous

10 r dans une communauté vivante. Cette crise morale affecte l’Occident tout entier, et par lui toutes les races de la terre qui c