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ien faire état d’une culture supérieure et de ses
antiques
traditions, mais on refuse d’en payer les frais courants ; l’Américai
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ar là que l’Europe se distingue des civilisations
antiques
et asiatiques, comme des essais de civilisations totalitaires. À la v
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avec les Vieux Croyants, et au nom du ritualisme
antique
, aux efforts « éclairés » et modernistes du patriarche Nikon, au xvii
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its, faite le plus souvent d’inertie, de préjugés
antiques
et d’ignorance. Seuls, les esprits qui auront vraiment “saisi” la néc
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vilisation européenne rejoindra les civilisations
antiques
, et nos nations n’auront plus qu’à se laisser porter vers les catarac
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trée de vieille culture populaire et de souvenirs
antiques
(grecs et romains), mais qui était en voie de dépeuplement, voir si l
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seule a permise, elle n’en demeure pas moins « l’
antique
matrice spirituelle » de la civilisation qu’elle a exportée, et cela
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fausse en fait qu’en droit. La culture à la fois
antique
, chrétienne, critique et scientifique, et qui est commune à tous nos
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le dirions aujourd’hui. En revanche, au dressage
antique
, les sociétés modernes ont substitué la promotion de l’esprit critiqu
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la fois plus grande et plus complexe que la cité
antique
, mais plus dense, mieux structurée et offrant un meilleur milieu de p
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mportée de Babylone. Et tout cela fait le « Monde
antique
». Puis « viennent » à l’Empire romain les religions du Proche-Orient